"Plus le temps passe, plus on s’affaiblit, plus on manque d’espoir. C’est inhumain."
"Plus le temps passe, plus on s’affaiblit, plus on manque d’espoir. C’est inhumain."
On est allés sur les rives du canal Saint-Denis à Paris, où près de 1 500 migrants vivent dans des conditions misérables.
On est allés sur les rives du canal Saint-Denis à Paris, où près de 1 500 migrants vivent dans des conditions misérables.