• il y a 5 ans
Retour à l’instinct primaire. La saison 2 se révèle « un calvaire pour les candidats ».

L’émission de survie Retour à l’instinct primaire revient sur RMC Découverte, dès le 5 octobre, avec douze nouvelles aventures. Dans cette deuxième saison, douze binômes inédits vont défier la nature dans des conditions climatiques imprévues et particulièrement froides.

Vivre en pleine nature, sans eau, nourriture ni vêtement (!), comme au temps des cavernes, voilà le défi que propose RMC Découverte avec son émission Retour à l’instinct primaire, en prime time dès ce samedi 5 octobre. Vingt-quatre personnes, âgées de 22 à 69 ans, ont accepté de tenter l’aventure dans la deuxième saison du programme.

« Il fallait un sacré mental pour résister »
À chaque fois, un homme et une femme, qui ne se connaissent pas (et ont été associés selon leur indice de survie), partent dans les contrées les plus hostiles de la planète pour tenter de survivre pendant trois semaines. Cette saison, les tournages avaient lieu en Bulgarie, en Afrique du Sud et aux Philippines. Si les biotopes étaient donc très différents les uns des autres, ces trois endroits avaient tous un point commun : « Il y a fait très très froid et les participants ont vécu un calvaire. Nous n’avons pas pu anticiper ça, explique Caroline Dijoud, directrice des programmes de 909 Productions. Il fallait un sacré mental pour résister à ça et ils ont réussi à tenir dans des conditions extrêmes… »

« Je n’ai plus peur de rien ! »
Dans le premier épisode, on assiste à l’aventure de Kim et Vincent, âgés respectivement de 27 et 31 ans. Le duo était en Afrique du Sud, dans la région du Limpopo, près de la frontière du Botswana et du Zimbabwe où les bêtes sauvages sont légion. Éléphants, scorpions, serpents ou encore babouins peuplent la contrée. Aguerris aux techniques de survie, les deux aventuriers se sont immédiatement bien entendus. Et il valait mieux tant l’aventure a été difficile. Les pieds pleins d’épines, ils ont dû faire face non seulement au froid mais aussi à la faim. Sans compter les animaux qui rôdaient près de leur camp. La jeune femme, qui a perdu énormément de poids durant son séjour, est, pour autant, ressortie grandie de cette expérience. « Cela m’a apporté plein de choses. Moi qui n’avais déjà pas peur de grand-chose, je n’ai désormais plus peur de rien ! », conclut-elle.

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