UMBERTO GIORDANO
ANDREA CHÉNIER
Opéra
Réserver
http://www.forumsirius.fr/orion/niceopera.phtml?spec=530
Date(s)
22 nov. 2019 à 20:00
24 nov. 2019 à 15:00
26 nov. 2019 à 20:00
28 nov. 2019 à 20:00
Lieu
Opéra Nice Côte d'Azur
Durée
2h env.
Tarifs
de 12€ à 95€
étudiants 5€
Présentation
Drame historique en quatre actes
Livret de Luigi Illica
Création à la Scala de Milan le 28 mars 1896
Nouvelle production en coproduction avec l’Opéra de Tours
Distribution
Direction musicale György G. Ráth
Mise en scène Pier Francesco Maestrini
Assistante mise en scène Daniela Zedda
Scénographie Nicola Boni
Costumes Luca Dall’Alpi
Lumières Bruno Ciulli
Chorégraphie Elodie Vella
Andréa Chénier Luciano Ganci
Gérard Carlos Almaguer
Madeleine de Coigny Cellia Costea
Bersi Kamelia Kader
Comtesse / Madelon Emanuela Pascu
Roucher Frédéric Cornille
Pietro Fléville /Fouquier Tinville Richard Rittelmann
Matthieu Serban Vasile
L’incroyable Luca Lombardo
L’abbé Frédéric Diquero
Orchestre Philharmonique de Nice
Chœur de l’Opéra de Nice
Le poète André Chénier, d’abord favorable aux idées de la Révolution française, en dénonça bientôt les excès. Il écrivit une Ode à Charlotte Corday, meurtrière de Marat, participa au complot qui devait arracher Louis XVI à l’échafaud, avant de mourir lui-même guillotiné. « La République n’a pas besoin de poètes », lui lança, dit-on, l’accusateur public.
Mêlant habilement les personnages de fiction et les figures historiques, comme Robespierre qui traverse la scène, Andrea Chénier, l’opéra, brosse la fresque grandiose d’une époque violente dans laquelle se débattent les individus qu’animent leurs passions.
La gavotte aristocratique est interrompue par le chant des miséreux ; à la séance bruyante du Tribunal révolutionnaire succède dans la prison l’hymne exalté à la Poésie qu’écrit Chénier, tandis qu’on entend la Marseillaise au-dehors.
Les « tranches de vie » véristes alternent avec les scènes d’amour romantiques : Madeleine de Croisy rejoint André Chénier dans sa prison pour mourir avec lui en un geste d’amour suprême. Le poète français devient en 1896 le visage d’un Opéra italien emporté par un lyrisme irrésistible.
ANDREA CHÉNIER
Opéra
Réserver
http://www.forumsirius.fr/orion/niceopera.phtml?spec=530
Date(s)
22 nov. 2019 à 20:00
24 nov. 2019 à 15:00
26 nov. 2019 à 20:00
28 nov. 2019 à 20:00
Lieu
Opéra Nice Côte d'Azur
Durée
2h env.
Tarifs
de 12€ à 95€
étudiants 5€
Présentation
Drame historique en quatre actes
Livret de Luigi Illica
Création à la Scala de Milan le 28 mars 1896
Nouvelle production en coproduction avec l’Opéra de Tours
Distribution
Direction musicale György G. Ráth
Mise en scène Pier Francesco Maestrini
Assistante mise en scène Daniela Zedda
Scénographie Nicola Boni
Costumes Luca Dall’Alpi
Lumières Bruno Ciulli
Chorégraphie Elodie Vella
Andréa Chénier Luciano Ganci
Gérard Carlos Almaguer
Madeleine de Coigny Cellia Costea
Bersi Kamelia Kader
Comtesse / Madelon Emanuela Pascu
Roucher Frédéric Cornille
Pietro Fléville /Fouquier Tinville Richard Rittelmann
Matthieu Serban Vasile
L’incroyable Luca Lombardo
L’abbé Frédéric Diquero
Orchestre Philharmonique de Nice
Chœur de l’Opéra de Nice
Le poète André Chénier, d’abord favorable aux idées de la Révolution française, en dénonça bientôt les excès. Il écrivit une Ode à Charlotte Corday, meurtrière de Marat, participa au complot qui devait arracher Louis XVI à l’échafaud, avant de mourir lui-même guillotiné. « La République n’a pas besoin de poètes », lui lança, dit-on, l’accusateur public.
Mêlant habilement les personnages de fiction et les figures historiques, comme Robespierre qui traverse la scène, Andrea Chénier, l’opéra, brosse la fresque grandiose d’une époque violente dans laquelle se débattent les individus qu’animent leurs passions.
La gavotte aristocratique est interrompue par le chant des miséreux ; à la séance bruyante du Tribunal révolutionnaire succède dans la prison l’hymne exalté à la Poésie qu’écrit Chénier, tandis qu’on entend la Marseillaise au-dehors.
Les « tranches de vie » véristes alternent avec les scènes d’amour romantiques : Madeleine de Croisy rejoint André Chénier dans sa prison pour mourir avec lui en un geste d’amour suprême. Le poète français devient en 1896 le visage d’un Opéra italien emporté par un lyrisme irrésistible.
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