• il y a 5 ans
Le procès pour corruption de deux anciens premiers ministres, ainsi que de plusieurs ex-hauts dirigeants politiques et de grands patrons de l’ère Bouteflika s’est terminé hier à Alger.
Pourquoi avoir attendu la veille d’une élection pour engager un tel procès ? Peut-on parler d'une justice politisée comme le dénoncent les avocats de la défense ?
Kader Abderrrahim, Maître de conférences à Science Po Paris, spécialiste du Maghreb répond aux questions des auditeurs d'Appels sur l'actualité.

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