Des cadavres nus, alignés dans la boue d'un cimetière de Timisoara : la ville où a débuté en décembre 1989 la révolution roumaine reste associée à la duperie du "faux charnier", archétype de l'emballement médiatique, trente ans avant l'ère des fake news. A la veille de Noël, alors que le dictateur Nicolae Ceausescu est arrêté après une semaine de manifestations, le public occidental découvre avec horreur des corps, certains mutilés, attribués aux exactions de la Securitate (police politique roumaine).
IMAGES du cimetière de Timisoara en Roumanie ET SONORES d'un homme dont la femme a été tuée à Timisoara et d'un ancien procureur
IMAGES du cimetière de Timisoara en Roumanie ET SONORES d'un homme dont la femme a été tuée à Timisoara et d'un ancien procureur
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