"La [Confédération Brésilienne de Football] a décidé d'attribuer le même montant pour les primes et les indemnités journalières pour les hommes et les femmes.
Ainsi, les joueuses vont gagner autant que les joueurs, il n’y a plus de différence de genre, la CBF traite hommes et femmes de façon égalitaire." Rogério Caboclo, président de la Confédération, en conférence de presse.
Les joueuses de l’équipe brésilienne pourront désormais prétendre aux mêmes primes que celles prévues par Neymar ou d’autres stars de la sélection masculine brésilienne !
C’était une décision attendue depuis longtemps par les joueuses, alors pour elles, c’est une victoire !
"J’espère que tout le monde arrive à voir le sourire dans mes yeux. C’est historique.
C’est très spécial de pouvoir faire partie de tout ça. Nous allons travailler avec ardeur, je suis chanceuse." Pia Sundhage, sélectionneuse du Brésil depuis juillet 2019.
Néanmoins, cette mesure n’est applicable que pour les équipes nationales féminines et masculines.
Cela signifie que les clubs ne sont pas concernés par l'instauration de cette égalité salariale.
Par exemple, Marta est
la star brésilienne
du football.
La capitaine et numéro 10 de l’équipe féminine touche 340 000 euros par an à Orlando Pride (États-Unis).
Neymar, lui, gagne
36 millions d’euros
à l’année au PSG.
Il reste donc encore de
grandes disparités
salariales mais cela reste tout de même une avancée majeure pour un pays considéré comme encore très machiste.
Le Brésil n’est pas le premier à franchir ce cap. La fédération australienne a été la première à promouvoir l'égalité salariale en novembre 2019.
Ainsi, les joueuses vont gagner autant que les joueurs, il n’y a plus de différence de genre, la CBF traite hommes et femmes de façon égalitaire." Rogério Caboclo, président de la Confédération, en conférence de presse.
Les joueuses de l’équipe brésilienne pourront désormais prétendre aux mêmes primes que celles prévues par Neymar ou d’autres stars de la sélection masculine brésilienne !
C’était une décision attendue depuis longtemps par les joueuses, alors pour elles, c’est une victoire !
"J’espère que tout le monde arrive à voir le sourire dans mes yeux. C’est historique.
C’est très spécial de pouvoir faire partie de tout ça. Nous allons travailler avec ardeur, je suis chanceuse." Pia Sundhage, sélectionneuse du Brésil depuis juillet 2019.
Néanmoins, cette mesure n’est applicable que pour les équipes nationales féminines et masculines.
Cela signifie que les clubs ne sont pas concernés par l'instauration de cette égalité salariale.
Par exemple, Marta est
la star brésilienne
du football.
La capitaine et numéro 10 de l’équipe féminine touche 340 000 euros par an à Orlando Pride (États-Unis).
Neymar, lui, gagne
36 millions d’euros
à l’année au PSG.
Il reste donc encore de
grandes disparités
salariales mais cela reste tout de même une avancée majeure pour un pays considéré comme encore très machiste.
Le Brésil n’est pas le premier à franchir ce cap. La fédération australienne a été la première à promouvoir l'égalité salariale en novembre 2019.
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