Classée au 13ème rang mondial des "smart cities", Nice est devenue un fleuron de l'optimisation urbaine grâce à l'intelligence artificielle.
La ville s'est dotée de logiciels qui aident à équilibrer la gestion des transports, de la sécurité publique ou encore de la productivité.
Nice est armée de près de 3000 micro-capteurs capables de mesurer la qualité de l'air ou de détecter une place de stationnement vide.
L'IA peut également ajuster l'éclairage public en fonction de la luminosité naturelle et piloter le chauffage des logements sociaux.
Mais cette technologie pose des questions. Ses détracteurs s'inquiètent pour le respect de la vie privée des Niçois.
En plus des 2000 caméras publiques, la capitale azuréenne vient de tester un système capable de reconnaître un visage dans une foule.
Mais Christian Estrosi, maire de Nice, veut aller plus loin. Il souhaite surveiller les mouvements des personnes fichées S de sa commune. Une demande qui n'a, pour le moment, pas été suivie par les autorités.
Cette surveillance accrue de la vie urbaine n'est pas nouvelle. La CNIL avait déjà critiqué Nice pour son utilisation de l'application Reporty.
Une application permettant aux citoyens de dénoncer les incivilités avec son téléphone portable puis de les communiquer à la police.
La ville s'est dotée de logiciels qui aident à équilibrer la gestion des transports, de la sécurité publique ou encore de la productivité.
Nice est armée de près de 3000 micro-capteurs capables de mesurer la qualité de l'air ou de détecter une place de stationnement vide.
L'IA peut également ajuster l'éclairage public en fonction de la luminosité naturelle et piloter le chauffage des logements sociaux.
Mais cette technologie pose des questions. Ses détracteurs s'inquiètent pour le respect de la vie privée des Niçois.
En plus des 2000 caméras publiques, la capitale azuréenne vient de tester un système capable de reconnaître un visage dans une foule.
Mais Christian Estrosi, maire de Nice, veut aller plus loin. Il souhaite surveiller les mouvements des personnes fichées S de sa commune. Une demande qui n'a, pour le moment, pas été suivie par les autorités.
Cette surveillance accrue de la vie urbaine n'est pas nouvelle. La CNIL avait déjà critiqué Nice pour son utilisation de l'application Reporty.
Une application permettant aux citoyens de dénoncer les incivilités avec son téléphone portable puis de les communiquer à la police.
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