L’épidémie de coronavirus avait mis la Chine à l’arrêt pendant quelques mois.
Cela a entraîné une chute drastique de la pollution.
Avec la reprise des activités au début d’avril, les niveaux de pollution explosent et risquent d’empirer.
En février, la production dans les principaux secteurs industriels avait diminué de 15
à 40 % selon la NASA.
Cela avait entraîné une chute allant de 10 à 30 % des émissions de dioxyde d’azote dans l’Est et le centre de la Chine.
Les niveaux de polluants dans l’air en avril sont plus élevés qu’il y a un an à la même période.
La volonté de rattraper le temps perdu et des conditions climatiques défavorables ont contribué à faire empirer la pollution.
En Europe, la crise sanitaire a également provoqué une chute spectaculaire du taux de pollution.
Cela a entraîné une chute drastique de la pollution.
Avec la reprise des activités au début d’avril, les niveaux de pollution explosent et risquent d’empirer.
En février, la production dans les principaux secteurs industriels avait diminué de 15
à 40 % selon la NASA.
Cela avait entraîné une chute allant de 10 à 30 % des émissions de dioxyde d’azote dans l’Est et le centre de la Chine.
Les niveaux de polluants dans l’air en avril sont plus élevés qu’il y a un an à la même période.
La volonté de rattraper le temps perdu et des conditions climatiques défavorables ont contribué à faire empirer la pollution.
En Europe, la crise sanitaire a également provoqué une chute spectaculaire du taux de pollution.
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