5 000 postes pourraient être supprimés chez Renault d'ici 2024
- il y a 4 ans
La crise de la pandémie du coronavirus a réellement donné un gros coup dur à l’industrie automobile.
Tout comme les autres constructeurs, Renault traverse une période très complexe en raison de la crise du coronavirus.
Le 22 mai dernier, la direction de Renault a donc présenté son plan d’économies de la somme ambitieuse de 2 milliards d’euros.
Elle a également ajouté que ce plan s’accompagnera d’un plan de suppressions de 5 000 emplois d’ici 2024.
Ces suppressions demeurent tout de même bien moins drastiques que celles de 2013 : 7 500 postes avaient été supprimés.
L’entreprise automobile français ne prévoit pas des licenciements brutaux mais des non-remplacements.
Au moins trois de ses sites devraient également fermer : Choisy-le-Roi, les Fonderies de Bretagne et l’usine de Dieppe.
Tout comme les autres constructeurs, Renault traverse une période très complexe en raison de la crise du coronavirus.
Le 22 mai dernier, la direction de Renault a donc présenté son plan d’économies de la somme ambitieuse de 2 milliards d’euros.
Elle a également ajouté que ce plan s’accompagnera d’un plan de suppressions de 5 000 emplois d’ici 2024.
Ces suppressions demeurent tout de même bien moins drastiques que celles de 2013 : 7 500 postes avaient été supprimés.
L’entreprise automobile français ne prévoit pas des licenciements brutaux mais des non-remplacements.
Au moins trois de ses sites devraient également fermer : Choisy-le-Roi, les Fonderies de Bretagne et l’usine de Dieppe.