«La police en France ne fait pas peur, elle rassure», a déclaré Christian Jacob le président des Républicains dans «Le Grand rendez-vous» Europe 1/Cnews/Les Echos. «Les violences policières en France ça n'existe pas, c'est un mensonge, ça n'existe pas... En revanche on a vu des violences de manifestants», a-t-il assuré. «Il y a du racisme en France contre lequel il faut lutter, mais on n'a pas une police raciste en France, ça n'existe pas», a ajouté le chef du parti de droite.
Christian Jacob s'est aussi dit «profondément choqué par les slogans, la police traitée de raciste et les policiers noirs de vendus par de prétendus manifestants antiracistes» dans les cortèges cette semaine. Dans certains cas, «s'il y a eu dérapage (d'un policier), la justice est saisie, les sanctions tomberont. Mais on assiste à un amalgame invraisemblable», s'est-il indigné.
«La comparaison avec les Etats-Unis n'a pas de sens, car ils ont un système fédéral où les policiers sont placés sous l'autorité des maires ou de shérifs élus alors que nous avons une police unifiée qui correspond à la diversité, une école de police, un code de déontologie», a-t-il argué.Il a dénoncé le «silence assourdissant du président de la République et du Premier ministre, au moment où la police nationale est humiliée» et où «on a entendu des gens appeler à la révolution et prendre les armes».
Christian Jacob s'est aussi dit «profondément choqué par les slogans, la police traitée de raciste et les policiers noirs de vendus par de prétendus manifestants antiracistes» dans les cortèges cette semaine. Dans certains cas, «s'il y a eu dérapage (d'un policier), la justice est saisie, les sanctions tomberont. Mais on assiste à un amalgame invraisemblable», s'est-il indigné.
«La comparaison avec les Etats-Unis n'a pas de sens, car ils ont un système fédéral où les policiers sont placés sous l'autorité des maires ou de shérifs élus alors que nous avons une police unifiée qui correspond à la diversité, une école de police, un code de déontologie», a-t-il argué.Il a dénoncé le «silence assourdissant du président de la République et du Premier ministre, au moment où la police nationale est humiliée» et où «on a entendu des gens appeler à la révolution et prendre les armes».
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