Le démontage extraordinaire de l'échafaudage de Notre-Dame
Extraordinaire, faramineux, technique, titanesque, minutieux... Les adjectifs ne manquent pas pour décrire le démontage de l'échafaudage de Notre-Dame de Paris. Il a débuté ce lundi 8 juin et s'achèvera à la fin de l'été. Ce sont plus de 40 000 morceaux de métal calciné, prisonniers les uns des autres, parfois situés
à 80 mètres de haut, qu'il faut retirer. Deux équipes de cinq cordistes
se relaieront pour découper les 250 tonnes
de pièces fondues pendant l'incendie. Christophe Rousselot, délégué général de la fondation Notre-Dame, sur FrancInfo. Ce monstre de métal intimide autant que son possible effondrement n'effraie. Il était devenu le symbole de la complexité du chantier de Notre-Dame. Sa démolition représente la dernière étape de la sécurisation de la cathédrale parisienne. Monseigneur Patrick Chauvet Les travaux de rénovation
pourront ensuite démarrer,
plus d'un an après l'incendie.
à 80 mètres de haut, qu'il faut retirer. Deux équipes de cinq cordistes
se relaieront pour découper les 250 tonnes
de pièces fondues pendant l'incendie. Christophe Rousselot, délégué général de la fondation Notre-Dame, sur FrancInfo. Ce monstre de métal intimide autant que son possible effondrement n'effraie. Il était devenu le symbole de la complexité du chantier de Notre-Dame. Sa démolition représente la dernière étape de la sécurisation de la cathédrale parisienne. Monseigneur Patrick Chauvet Les travaux de rénovation
pourront ensuite démarrer,
plus d'un an après l'incendie.