Le roi des Belges a présenté mardi «ses plus profonds regrets pour les blessures» infligées lors de la période coloniale à l'ex-Congo belge, une première historique dans le sillage de la vague d'émotion mondiale après la mort de George Floyd aux Etats-Unis.
Faute de cérémonie à Kinshasa, capitale de l'actuelle République démocratique du Congo (RDC, ex-Zaïre), rendue impossible par la pandémie de coronavirus, le roi Philippe de Belgique a adressé une lettre au président de la RDC Félix Tshisekedi à l'occasion du 60e anniversaire de l'indépendance de son pays le 30 juin 1960.
Dans ce courrier communiqué à la presse, il évoque - sans nommer son ancêtre - l'époque de Léopold II, qui a été jugée la plus brutale par les historiens, quand le défunt roi gérait le Congo et ses richesses comme son bien privé depuis Bruxelles.
Faute de cérémonie à Kinshasa, capitale de l'actuelle République démocratique du Congo (RDC, ex-Zaïre), rendue impossible par la pandémie de coronavirus, le roi Philippe de Belgique a adressé une lettre au président de la RDC Félix Tshisekedi à l'occasion du 60e anniversaire de l'indépendance de son pays le 30 juin 1960.
Dans ce courrier communiqué à la presse, il évoque - sans nommer son ancêtre - l'époque de Léopold II, qui a été jugée la plus brutale par les historiens, quand le défunt roi gérait le Congo et ses richesses comme son bien privé depuis Bruxelles.
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