Les américains ont-ils vraiment mérité un tel cirque ? Cheveux rasés et vêtu d’un gilet pare-balles où était inscrit «sécurité », Kanye West a livré un discours décousu, hier soir à Charleston, pour son premier meeting de la course à la Maison Blanche, quelques jours après des rumeurs d’abandon non confirmées par le rappeur milliardaire.
La réunion politique censée lancer sa candidature à l’élection présidentielle de novembre prochain aux États-Unis était réservée à des invités accrédités. Ces derniers devaient signer un formulaire de décharge de responsabilité liée au coronavirus, porter des masques et pratiquer la distanciation sociale, selon les médias américains.
En abordant le sujet de l’avortement, Kanye West a raconté qu’il avait voulu que Kim Kardashian, son épouse alors enceinte de leur fille North, avorte, puis a parlé de son père. « Mon père voulait que ma mère avorte de moi. Ma mère m’a sauvé la vie. Il n’y aurait pas eu de Kanye West parce que mon père était trop occupé », a dit le rappeur en se mettant à pleurer.
Il a ensuite parlé de manière inintelligible pendant une minute, puis a crié : « J’ai failli tuer ma fille ! J’ai failli tuer ma fille ! »
L'artiste de 43 ans est depuis le 15 juillet candidat indépendant à l'élection présidentielle américaine, uniquement dans l'État de l’Oklahoma. En effet, par manque de temps, il ne pourra pas se présenter dans huit États américains dont le Texas, l'État de New York ou encore la Floride. Jeudi, la liste pourrait même s'allonger avec le Michigan.
Lors d'un entretien accordé à Forbes, Kanye West a présenté quelques points de son programme présidentiel. De manière plutôt décousue, il a évoqué son opposition à la vaccination et à l'avortement. S'identifiant comme le «candidat de Dieu», le rappeur veut instaurer la prière dans les écoles car son absence est à ses yeux responsable du taux de suicide chez les jeunes.
Plus farfelues, d'autres idées ont été abordées comme l’internationalisation de la NBA, la suppression des produits chimiques présents dans les dentifrices et déodorants, «parce qu'ils affectent notre capacité à être au service de Dieu» ou encore la volonté que la Maison Blanche s'inspire des innovations technologiques du Wakanda, pays imaginaire du comics Black Panther.
La réunion politique censée lancer sa candidature à l’élection présidentielle de novembre prochain aux États-Unis était réservée à des invités accrédités. Ces derniers devaient signer un formulaire de décharge de responsabilité liée au coronavirus, porter des masques et pratiquer la distanciation sociale, selon les médias américains.
En abordant le sujet de l’avortement, Kanye West a raconté qu’il avait voulu que Kim Kardashian, son épouse alors enceinte de leur fille North, avorte, puis a parlé de son père. « Mon père voulait que ma mère avorte de moi. Ma mère m’a sauvé la vie. Il n’y aurait pas eu de Kanye West parce que mon père était trop occupé », a dit le rappeur en se mettant à pleurer.
Il a ensuite parlé de manière inintelligible pendant une minute, puis a crié : « J’ai failli tuer ma fille ! J’ai failli tuer ma fille ! »
L'artiste de 43 ans est depuis le 15 juillet candidat indépendant à l'élection présidentielle américaine, uniquement dans l'État de l’Oklahoma. En effet, par manque de temps, il ne pourra pas se présenter dans huit États américains dont le Texas, l'État de New York ou encore la Floride. Jeudi, la liste pourrait même s'allonger avec le Michigan.
Lors d'un entretien accordé à Forbes, Kanye West a présenté quelques points de son programme présidentiel. De manière plutôt décousue, il a évoqué son opposition à la vaccination et à l'avortement. S'identifiant comme le «candidat de Dieu», le rappeur veut instaurer la prière dans les écoles car son absence est à ses yeux responsable du taux de suicide chez les jeunes.
Plus farfelues, d'autres idées ont été abordées comme l’internationalisation de la NBA, la suppression des produits chimiques présents dans les dentifrices et déodorants, «parce qu'ils affectent notre capacité à être au service de Dieu» ou encore la volonté que la Maison Blanche s'inspire des innovations technologiques du Wakanda, pays imaginaire du comics Black Panther.
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