Partout autour de nous il se répète que les abeilles sont en danger, que les abeilles périssent, que les abeilles disparaissent…
Il est évident que l’abeille domestique est à l’origine de 80 % de la production de fruits et légumes et qu’à ce titre elle joue un rôle économique de tout premier plan.Il est évident que si l’abeille domestique venait à disparaître ou même à se raréfier ce serait une catastrophe inouïe : toute la chaîne alimentaire humaine serait en péril grave.Il est évident que l’abeille domestique ne survit plus aujourd’hui chez nous que parce qu’elle est justement domestiquée et fait donc l’objet des soins jaloux des apiculteurs, leurs seuls amis et leurs complices.Or aujourd’hui, malgré tous nos soins, nos abeilles meurent ! On se borne généralement à ce triste constat impuissant. Aucune instance décisionnelle ne prend le taureau par les cormes et n’ose lancer une véritable politique de défense de l’abeille.Depuis quelques années aussi nous assistons à la diminution croissante du nombre d ‘apiculteurs. Beaucoup se découragent face aux aléas (intoxications, maladies, climat…) et surtout face aux contraintes administratives qui ne cessent d’amplifier.
Nous demandons :
1) Une véritable politique de protection de l’abeille au niveau fédéral, régional et européen
2) La reconnaissance de l’apiculture comme activité d’intérêt public majeur
3) Un allègement absolu des contraintes administratives qui pèsent sur l’apiculture dans les domaines fiscaux, sociaux et sécurité de la chaîne alimentaire.
4) La subsidiation des élevages d’abeilles pour faire face aux coûts importants de la santé de l'abeille
5) L’obligation absolue pour les apiculteurs de déclarer leurs ruches à l’AFSCA afin de faciliter la coordination de la lutte contre les maladies de l’abeille.
Einstein a dit : "Si les abeilles disparaissaient du globe, l'homme n'aurait plus que 4 ou 5 ans à survivre !"
http://www.lapetition.be/sign_petition.php?petid=789
Il est évident que l’abeille domestique est à l’origine de 80 % de la production de fruits et légumes et qu’à ce titre elle joue un rôle économique de tout premier plan.Il est évident que si l’abeille domestique venait à disparaître ou même à se raréfier ce serait une catastrophe inouïe : toute la chaîne alimentaire humaine serait en péril grave.Il est évident que l’abeille domestique ne survit plus aujourd’hui chez nous que parce qu’elle est justement domestiquée et fait donc l’objet des soins jaloux des apiculteurs, leurs seuls amis et leurs complices.Or aujourd’hui, malgré tous nos soins, nos abeilles meurent ! On se borne généralement à ce triste constat impuissant. Aucune instance décisionnelle ne prend le taureau par les cormes et n’ose lancer une véritable politique de défense de l’abeille.Depuis quelques années aussi nous assistons à la diminution croissante du nombre d ‘apiculteurs. Beaucoup se découragent face aux aléas (intoxications, maladies, climat…) et surtout face aux contraintes administratives qui ne cessent d’amplifier.
Nous demandons :
1) Une véritable politique de protection de l’abeille au niveau fédéral, régional et européen
2) La reconnaissance de l’apiculture comme activité d’intérêt public majeur
3) Un allègement absolu des contraintes administratives qui pèsent sur l’apiculture dans les domaines fiscaux, sociaux et sécurité de la chaîne alimentaire.
4) La subsidiation des élevages d’abeilles pour faire face aux coûts importants de la santé de l'abeille
5) L’obligation absolue pour les apiculteurs de déclarer leurs ruches à l’AFSCA afin de faciliter la coordination de la lutte contre les maladies de l’abeille.
Einstein a dit : "Si les abeilles disparaissaient du globe, l'homme n'aurait plus que 4 ou 5 ans à survivre !"
http://www.lapetition.be/sign_petition.php?petid=789
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