Luis Fernandez :, "J'aime trop ce club, je lui dois ce que je suis".
Comme joueur, entraîneur puis dirigeant, Luis Fernandez a eu mille vies au PSG.
Alors que le club parisien fêtera ses 50 ans mercredi, il revient pour le JDD sur ses souvenirs, bons et moins bons.
On me reproche d'être critique avec ce club, mais je l'aime trop. Je lui dois ce que je suis, Luis Fernandez.
Sa plus belle émotion?.
La Coupe de France 1982. Le premier titre, face au club le plus aimé du football [Saint-Étienne]. L'égalisation à la 120e minute. L'envahissement du terrain, tellement bon enfant, Luis Fernandez.
Avec l'équipe actuelle, estime-t-il, "toutes les conditions sont réunies pour faire quelque chose de grand"
Comme joueur, entraîneur puis dirigeant, Luis Fernandez a eu mille vies au PSG.
Alors que le club parisien fêtera ses 50 ans mercredi, il revient pour le JDD sur ses souvenirs, bons et moins bons.
On me reproche d'être critique avec ce club, mais je l'aime trop. Je lui dois ce que je suis, Luis Fernandez.
Sa plus belle émotion?.
La Coupe de France 1982. Le premier titre, face au club le plus aimé du football [Saint-Étienne]. L'égalisation à la 120e minute. L'envahissement du terrain, tellement bon enfant, Luis Fernandez.
Avec l'équipe actuelle, estime-t-il, "toutes les conditions sont réunies pour faire quelque chose de grand"
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