Un fragment d’ADN néandertalien triplerait le risque de développer une forme grave du Covid-19.
C’est ce que révèle de nouveaux travaux publiés dans la revue Nature.
Environ 16 % des Européens et la moitié des Sud-Asiatiques seraient aujourd’hui porteurs de ces gènes.
Ces gènes auraient persisté chez l’Homme moderne parce qu’ils l’aidaient à combattre d’autres infections.
Les auteurs de l’étude admettent ne pas savoir exactement comment ces gènes peuvent aggraver le Covid-19.
100 000 personnes seraient mortes au cours de la pandémie en raison de la contribution génétique des Néandertaliens.
C’est ce que révèle de nouveaux travaux publiés dans la revue Nature.
Environ 16 % des Européens et la moitié des Sud-Asiatiques seraient aujourd’hui porteurs de ces gènes.
Ces gènes auraient persisté chez l’Homme moderne parce qu’ils l’aidaient à combattre d’autres infections.
Les auteurs de l’étude admettent ne pas savoir exactement comment ces gènes peuvent aggraver le Covid-19.
100 000 personnes seraient mortes au cours de la pandémie en raison de la contribution génétique des Néandertaliens.
Category
🗞
News