extrait du premier album du groupe Kabyle AFOUS.
La jeune chanson kabyle qui, au début, avait suscité d’immenses espoirs de renouveau face à certaines vieilles rengaines faisant figure d’objets de musée, a malheureusement été en de ça de ce que l’on attendait d’elle.
Elle s’est fractionnée non pour former une diversité riche et prometteuse mais pour s’installer dans un ghetto culturel rigide où les relents d’intolérance le disputent à la médiocrité.
Rendons hommage au poète chanteur « Aït Menguellet » pour sa constance dans la qualité de la mélodie et du texte.
Faut-il pour autant parler de marasme dans ce domaine ? A notre sens, il n’y a pas encore péril en la demeure pour la bonne et simple raison que nous assistons à l’arrivée massive de jeunes « chanteur-auteurs-compositeur et interprètes » quasi inconnus sur le marché discographique. Ils viennent bouleverser le statut-quo patiemment élaboré dans ce milieu. La démarche du groupe « AFOUS » s’inspire par un rejet de toutes les attitudes savamment encouragées, voire cultivées.
Après avoir écumé la Kabylie en présentant leurs propres compositions, les frères AMIRECHE décidèrent d’aller à Paris et d’y enregistrer un disque. Ils frappèrent à plusieurs portes sans résultats. Leur attente fut longue, jusqu’à ce qu’un heureux hasard leur fasse rencontrer le musicien AREZKI BAROUDI déjà aguerri par le métier. A partir de ce moment les événements prirent une autre tournure et le groupe « AFOUS » était né.
Ici les textes appuyés par une musique puissante, apportent une bouffée d’air frais dans cet univers métallisé. Ils ne prétendent nullement apporter une panacée quelconque. L’enthousiasme et le lyrisme se côtoient naturellement parce que tout est indivisible : la joie, la peine, l’absence des êtres chers, le village…. Le quotidien prend les pas à chaque instant.
… Les choses simples sont encore ce qu’il y a de meilleur ici bas…
H.B
La jeune chanson kabyle qui, au début, avait suscité d’immenses espoirs de renouveau face à certaines vieilles rengaines faisant figure d’objets de musée, a malheureusement été en de ça de ce que l’on attendait d’elle.
Elle s’est fractionnée non pour former une diversité riche et prometteuse mais pour s’installer dans un ghetto culturel rigide où les relents d’intolérance le disputent à la médiocrité.
Rendons hommage au poète chanteur « Aït Menguellet » pour sa constance dans la qualité de la mélodie et du texte.
Faut-il pour autant parler de marasme dans ce domaine ? A notre sens, il n’y a pas encore péril en la demeure pour la bonne et simple raison que nous assistons à l’arrivée massive de jeunes « chanteur-auteurs-compositeur et interprètes » quasi inconnus sur le marché discographique. Ils viennent bouleverser le statut-quo patiemment élaboré dans ce milieu. La démarche du groupe « AFOUS » s’inspire par un rejet de toutes les attitudes savamment encouragées, voire cultivées.
Après avoir écumé la Kabylie en présentant leurs propres compositions, les frères AMIRECHE décidèrent d’aller à Paris et d’y enregistrer un disque. Ils frappèrent à plusieurs portes sans résultats. Leur attente fut longue, jusqu’à ce qu’un heureux hasard leur fasse rencontrer le musicien AREZKI BAROUDI déjà aguerri par le métier. A partir de ce moment les événements prirent une autre tournure et le groupe « AFOUS » était né.
Ici les textes appuyés par une musique puissante, apportent une bouffée d’air frais dans cet univers métallisé. Ils ne prétendent nullement apporter une panacée quelconque. L’enthousiasme et le lyrisme se côtoient naturellement parce que tout est indivisible : la joie, la peine, l’absence des êtres chers, le village…. Le quotidien prend les pas à chaque instant.
… Les choses simples sont encore ce qu’il y a de meilleur ici bas…
H.B
Category
🎵
Musique