HYMNE À LA BEAUTÉ.
Baudelaire, la beauté il connaît : il a même été critique d’art lorsqu’il lui a fallu gagner sa vie après avoir dilapidé l’héritage de son père...
en 1842 Il rencontre la beauté en la personne de Jeanne Duval, jeune métisse, « jeune mulâtresse » avec laquelle il connaîtra les charmes les délices et les amertumes de la passion.
Dans ce poème la beauté absolue s’impose totalement et toute résistance est vaine mème si cette beauté nous entraîne parfois vers le mal et le démon : c’est la beauté du diable qui triomphe de tous les hommes.
Bien sûr, Tous les poètes ont loué la beauté féminine
mais Baudelaire va plus loin , il écrit son « hymne à la beauté »
ce qui est en quelque sorte le superlatif des hommages à la beauté féminine.
Baudelaire, la beauté il connaît : il a même été critique d’art lorsqu’il lui a fallu gagner sa vie après avoir dilapidé l’héritage de son père...
en 1842 Il rencontre la beauté en la personne de Jeanne Duval, jeune métisse, « jeune mulâtresse » avec laquelle il connaîtra les charmes les délices et les amertumes de la passion.
Dans ce poème la beauté absolue s’impose totalement et toute résistance est vaine mème si cette beauté nous entraîne parfois vers le mal et le démon : c’est la beauté du diable qui triomphe de tous les hommes.
Bien sûr, Tous les poètes ont loué la beauté féminine
mais Baudelaire va plus loin , il écrit son « hymne à la beauté »
ce qui est en quelque sorte le superlatif des hommages à la beauté féminine.
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