Elodie Marcon est une jeune aventurière de l'entrepreneuriat. Elle teste son projet dans le cadre d'un contrat CAP avec Arcoop. Et si on peut louer le courage de se lancer dans une aventure, qui plus est solidaire, ce n'est pas le terme à utiliser. Elle a cette flamme dans son verbe. En convaincue, elle explique son parcours mais surtout ses motivations. Elles sont nombreuses mais toutes tendent vers le "ne pas gacher", "donner du bonheur ou encore le "ëtre utile". Si elle ne connait pas un sujet, elle se forme. Si un problème se présente, elle trouve une solution. Elle fait même des plans et a des objectifs mais elle est heureuse là, maintenant.
Elle a créé une librairie solidaire à Portes-lès-Valence. Le local est prété par la mairie et elle paye les charges. La boutique est en tout point identique à une librairie, en plus charmant et accueillant. Les livres qui devaient finir à la déchèterie sont repris. ceux qui méritent de trouver un nouveau lecteur se retrouvent sur les étagères. Les autres , Il trouveront une nouvelle vie entre ses mains ou d'autres dans le cadre d'ateliers de décoration ou de fabrication d'objets. Des ateliers réguliers permettent d'animer le lieu et d'ajouter encore un peu de lien social.
Son ambition est bien sûr de pérenniser le lieu et de créer une vraie entreprise mais derrière son visage toujours souriant, il y a la volonté de créer un lieu pour tous, utile, qui promeut l'échange et l'expérience. Ouvert en plein milieu du confinement, l'impression en entrant laisse plutôt imaginer que le lieu est là depuis longtemps et que les visiteurs sont des habitués. Bien intégrée dans la kyrielle d'intiatives porteuses de sens, elle va au devant de changements profonds de la société ou l'entraide prend le pas sur l'économie pure et dure. On ne peut que souhaiter sa réussite mais prenez un instant avec elle et vous comprendrez qu'aucune inquiétude n'est de mise pour cette jeune femme motivée.
Philippe
Elle a créé une librairie solidaire à Portes-lès-Valence. Le local est prété par la mairie et elle paye les charges. La boutique est en tout point identique à une librairie, en plus charmant et accueillant. Les livres qui devaient finir à la déchèterie sont repris. ceux qui méritent de trouver un nouveau lecteur se retrouvent sur les étagères. Les autres , Il trouveront une nouvelle vie entre ses mains ou d'autres dans le cadre d'ateliers de décoration ou de fabrication d'objets. Des ateliers réguliers permettent d'animer le lieu et d'ajouter encore un peu de lien social.
Son ambition est bien sûr de pérenniser le lieu et de créer une vraie entreprise mais derrière son visage toujours souriant, il y a la volonté de créer un lieu pour tous, utile, qui promeut l'échange et l'expérience. Ouvert en plein milieu du confinement, l'impression en entrant laisse plutôt imaginer que le lieu est là depuis longtemps et que les visiteurs sont des habitués. Bien intégrée dans la kyrielle d'intiatives porteuses de sens, elle va au devant de changements profonds de la société ou l'entraide prend le pas sur l'économie pure et dure. On ne peut que souhaiter sa réussite mais prenez un instant avec elle et vous comprendrez qu'aucune inquiétude n'est de mise pour cette jeune femme motivée.
Philippe
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