Ce mardi matin, la thèse avancée par les parties civiles d'un viol post mortem d'Alexia Daval par son mari a été mise à mal par un expert cité devant les assises de la Haute-Saône, dans l'attente d'une confrontation cruciale entre l'accusé et ses beaux-parents. Interrogé par l'un des avocats de l'accusé, Me Randall Schwerdorffer, sur l'existence d'une « preuve d'un rapport sexuel post mortem » impliquant son client et Alexia, Antoine Tracqui, l'un des médecins légistes, a répondu par la négative : « Non seulement, je n'ai pas de preuve d'un rapport post mortem, mais je n'ai pas d'arguments positifs en ce sens ». Cette hypothèse est désormais « totalement évacuée des débats », s'est félicité lors d'une pause Me Schwerdorffer, appelant à se « recentrer sur le dossier ».
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