Feu vert pour les autotests. La Haute Autorité de Santé (HAS) s’est prononcée, ce mardi, en faveur de l’utilisation des autotests Covid-19 dans certains cas. Dans un avis rendu ce mardi, la HAS préconise notamment leur utilisation « chez les personnes asymptomatiques de plus de 15 ans dans le cadre d’une utilisation restreinte à la sphère privée » ou « chez les personnes asymptomatiques de plus de 15 ans, dans le cadre d’un dépistage itératif ciblé à large échelle ». En cas d’autotest positif, le résultat devra ensuite être confirmé par un test PCR.
Comme l’avait laissé entendre Jérôme Salomon, le directeur général de la Santé, ces autotests devraient donc bientôt être disponibles en France. Reste à savoir s’ils seront remboursés et où on pourra les trouver (pharmacies, supermarchés…). A titre indicatif, celui que nous avons fait tester coûte entre 5 et 7 euros dans les pays où il est commercialisé. Déjà disponibles ailleurs (Etats-Unis, Canada, Royaume-Uni, Autriche, Allemagne, etc…), ces tests sont des tests antigéniques que l’on peut faire soi-même et dont le résultat est disponible en 20 minutes environ. Autre avantage, le protocole est moins désagréable puisque l’écouvillon est introduit moins profondément.
En attendant que ces tests arrivent sur le marché français, Xavier Guérin, président d’Innova Europe, qui fabrique des autotests utilisés actuellement dans plusieurs pays, s’est prêté au jeu de la démonstration.
Comme l’avait laissé entendre Jérôme Salomon, le directeur général de la Santé, ces autotests devraient donc bientôt être disponibles en France. Reste à savoir s’ils seront remboursés et où on pourra les trouver (pharmacies, supermarchés…). A titre indicatif, celui que nous avons fait tester coûte entre 5 et 7 euros dans les pays où il est commercialisé. Déjà disponibles ailleurs (Etats-Unis, Canada, Royaume-Uni, Autriche, Allemagne, etc…), ces tests sont des tests antigéniques que l’on peut faire soi-même et dont le résultat est disponible en 20 minutes environ. Autre avantage, le protocole est moins désagréable puisque l’écouvillon est introduit moins profondément.
En attendant que ces tests arrivent sur le marché français, Xavier Guérin, président d’Innova Europe, qui fabrique des autotests utilisés actuellement dans plusieurs pays, s’est prêté au jeu de la démonstration.
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