Depuis plusieurs semaines, des voix s'élèvent pour réclamer l'annulation des épreuves de philosophie et du grand oral du bac général ainsi que l'élargissement au bac professionnel et au BTS.
A l'appel de l'Union nationale des lycéens (UNL) et du Mouvement national lycéen (MNL), des lycées étaient bloqués mercredi 5 mai pour protester contre la tenue de ces épreuves.
"La mobilisation s'étend de jour en jour. Le blocus devrait continuer et ce mercredi, plus de 220 lycées étaient bloqués en France", a expliqué Clovis, lycéen de 17 ans au lycée Xavier Mallet au Teil, en Ardèche.
En parallèle, une cinquantaine de personnes se sont rassemblées mercredi devant l'Assemblée nationale, à l'appel de la FCPE (parents d'élèves), du MNL (Mouvement National Lycéen) et de la FIDL (Fédération indépendante et démocratique lycéenne). "Nous demandons que tous les examens passent en contrôle continu, c'est la seule façon de faire en sorte que les enfants ne soient pas pénalisés par la scolarité qu'ils ont subie", a lancé Rodrigo Arénas, coprésident de la fédération des parents d'élèves.
Mathilde Panot, députée la France Insoumise et Jennifer de Temmerman, députée du groupe Libertés et Territoires étaient également venues apporter leur soutien aux lycéens.
"Je connais un étudiant en bac professionnel de cuisine qui a eu la double peine. Non seulement, il n'a pas eu les cours mais en plus, il n'a pas pu réaliser de stage car les restaurants sont fermés !" s'indigne Jennifer de Temmerman.
Le soir même, au journal de 20h sur France2, le ministre de l'Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, annonçait que la note retenue à l'épreuve de philosophie serait la meilleure entre la moyenne du contrôle continu et celle réalisée lors de l'examen en présentiel.
A l'appel de l'Union nationale des lycéens (UNL) et du Mouvement national lycéen (MNL), des lycées étaient bloqués mercredi 5 mai pour protester contre la tenue de ces épreuves.
"La mobilisation s'étend de jour en jour. Le blocus devrait continuer et ce mercredi, plus de 220 lycées étaient bloqués en France", a expliqué Clovis, lycéen de 17 ans au lycée Xavier Mallet au Teil, en Ardèche.
En parallèle, une cinquantaine de personnes se sont rassemblées mercredi devant l'Assemblée nationale, à l'appel de la FCPE (parents d'élèves), du MNL (Mouvement National Lycéen) et de la FIDL (Fédération indépendante et démocratique lycéenne). "Nous demandons que tous les examens passent en contrôle continu, c'est la seule façon de faire en sorte que les enfants ne soient pas pénalisés par la scolarité qu'ils ont subie", a lancé Rodrigo Arénas, coprésident de la fédération des parents d'élèves.
Mathilde Panot, députée la France Insoumise et Jennifer de Temmerman, députée du groupe Libertés et Territoires étaient également venues apporter leur soutien aux lycéens.
"Je connais un étudiant en bac professionnel de cuisine qui a eu la double peine. Non seulement, il n'a pas eu les cours mais en plus, il n'a pas pu réaliser de stage car les restaurants sont fermés !" s'indigne Jennifer de Temmerman.
Le soir même, au journal de 20h sur France2, le ministre de l'Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, annonçait que la note retenue à l'épreuve de philosophie serait la meilleure entre la moyenne du contrôle continu et celle réalisée lors de l'examen en présentiel.
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