La procureure de
Bordeaux a fait le point ce jeudi sur les investigations menées à la suite du
féminicide perpétré mardi à Mérignac. La victime, âgée de 31 ans et mère de trois
enfants, a été brûlée vive en pleine rue, mardi, par son ex-conjoint.
Avec déjà sept condamnations à son actif, le suspect a dit vouloir « la
punir sans la tuer » et « brûler un peu sa femme pour lui laisser des
marques », a dit devant la presse la procureure de Bordeaux Frédérique
Porterie.
A la mi-mars, la victime avait porté plainte au
commissariat de Mérignac contre son conjoint pour une nouvelle agression. Mais
l'homme, recherché par la police, était « introuvable ».
Bordeaux a fait le point ce jeudi sur les investigations menées à la suite du
féminicide perpétré mardi à Mérignac. La victime, âgée de 31 ans et mère de trois
enfants, a été brûlée vive en pleine rue, mardi, par son ex-conjoint.
Avec déjà sept condamnations à son actif, le suspect a dit vouloir « la
punir sans la tuer » et « brûler un peu sa femme pour lui laisser des
marques », a dit devant la presse la procureure de Bordeaux Frédérique
Porterie.
A la mi-mars, la victime avait porté plainte au
commissariat de Mérignac contre son conjoint pour une nouvelle agression. Mais
l'homme, recherché par la police, était « introuvable ».
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