http://www.dailymotion.com/ds_athena/video/13537084
Avançant vers la guérison du rêve il voit des banalités prendre forme de poire les pays se détruire dans les bureaux et les chevaux se débarrasser de leurs valises tandis que transpirent les galets. J’embrasse le silence de ce sel je rends le discours du citron au citron j’allume un cierge pour les fleurs et pour le poisson séché à partir de ma blessure ouverte, les galets ont une transpiration et des miroirs le bûcheron a un cœur de colombe .Je t’oublie parfois pour que m’oublient les agents de la sécurité ô ma femme si belle, toi qui coupes le cœur et l’oignon tendre et t’en vas auprès de la violette souviens-toi de moi avant que je n’oublie mes mains. Sur le chemin de la guérison du rêve les chaises sont prises entre mes arbres et ton ombre …Ils s’abattent sur ta blessure comme des mouches saisonnières et y disparaissent comme des voyeurs souviens-toi de moi avant que je n’oublie mes mains !Mes efforts vont aux papillons les rochers sont mes messages sur terre :Troie n’est pas mon lieu Massada n’est pas mon temps je m’élève de la sécheresse du pain et de l’eau réquisitionnée du cheval perdu sur le chemin de l’aéroport et de l’air de la mer, je m’élève des éclats d’obus auxquels mon corps s’est accoutumé je m’élève des yeux de ceux qui arrivent et des couchers de soleil sur la plaine je m’élève des caisses de légumes et de la force des choses, je m’élève
j’appartiens au ciel original et aux pauvres des ruelles qui chantent qui résistent et qui tiennent et qui tiennent Le camp formait le corps d’Ahmad Damas formait les paupières d’Ahmad le Héjaz formait l’ombre d’Ahmad le Siège est devenu le passage d’Ahmad au-dessus des cœurs de millions de prisonniers le Siège est devenu l’assaut d’Ahmad et la mer sa dernière balle !ô la taille du vent ô la douce semaine !ô nom des yeux ô écho de marbre ô Ahmad qui est né de la pierre et du thym !Tu diras : non tu diras : non ma peau est l’habit du paysan qui viendra des champs de tabac abolir les capitales tu dis .....
Avançant vers la guérison du rêve il voit des banalités prendre forme de poire les pays se détruire dans les bureaux et les chevaux se débarrasser de leurs valises tandis que transpirent les galets. J’embrasse le silence de ce sel je rends le discours du citron au citron j’allume un cierge pour les fleurs et pour le poisson séché à partir de ma blessure ouverte, les galets ont une transpiration et des miroirs le bûcheron a un cœur de colombe .Je t’oublie parfois pour que m’oublient les agents de la sécurité ô ma femme si belle, toi qui coupes le cœur et l’oignon tendre et t’en vas auprès de la violette souviens-toi de moi avant que je n’oublie mes mains. Sur le chemin de la guérison du rêve les chaises sont prises entre mes arbres et ton ombre …Ils s’abattent sur ta blessure comme des mouches saisonnières et y disparaissent comme des voyeurs souviens-toi de moi avant que je n’oublie mes mains !Mes efforts vont aux papillons les rochers sont mes messages sur terre :Troie n’est pas mon lieu Massada n’est pas mon temps je m’élève de la sécheresse du pain et de l’eau réquisitionnée du cheval perdu sur le chemin de l’aéroport et de l’air de la mer, je m’élève des éclats d’obus auxquels mon corps s’est accoutumé je m’élève des yeux de ceux qui arrivent et des couchers de soleil sur la plaine je m’élève des caisses de légumes et de la force des choses, je m’élève
j’appartiens au ciel original et aux pauvres des ruelles qui chantent qui résistent et qui tiennent et qui tiennent Le camp formait le corps d’Ahmad Damas formait les paupières d’Ahmad le Héjaz formait l’ombre d’Ahmad le Siège est devenu le passage d’Ahmad au-dessus des cœurs de millions de prisonniers le Siège est devenu l’assaut d’Ahmad et la mer sa dernière balle !ô la taille du vent ô la douce semaine !ô nom des yeux ô écho de marbre ô Ahmad qui est né de la pierre et du thym !Tu diras : non tu diras : non ma peau est l’habit du paysan qui viendra des champs de tabac abolir les capitales tu dis .....
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