A la fin de l’année 2021, l’artiste guyanaise Emmelyne Octavie, sollicitée par le Labo des histoires Guyane dans le cadre de la célébration du centenaire du Goncourt attribué à René Maran pour son ouvrage Batouala, a accepté d’animer des ateliers auprès des lycéens malgré le contexte compliqué lié à la pandémie.
Elle était accompagnée de la réalisatrice Marie-Sandrine Bacoul pour ces ateliers qui se sont tenus à Saint-Laurent du Maroni (lycée Lumina Sophie), Mana (lycée Léopold Elfort) et Cayenne (lycées Félix Éboué et Melkior-Garré). Par le talent des artistes et l’implication des professeurs, 120 jeunes ont pu découvrir Batouala, le premier prix Goncourt décerné à un écrivain noir.
Ces ateliers ont été financés par la direction du livre et de la lecture de la CTG (Collectivité Territoriale de Guyane) et par la DJSCS (DRAJES). Ils n’auraient pu se tenir sans l’implication de la responsable de la bibliothèque Icek Baron (municipalité de Saint-Laurent du Maroni) et des professeures-documentalistes des lycées qui ont organisé la mise en place de ces ateliers en lien avec les professeurs.
Elle était accompagnée de la réalisatrice Marie-Sandrine Bacoul pour ces ateliers qui se sont tenus à Saint-Laurent du Maroni (lycée Lumina Sophie), Mana (lycée Léopold Elfort) et Cayenne (lycées Félix Éboué et Melkior-Garré). Par le talent des artistes et l’implication des professeurs, 120 jeunes ont pu découvrir Batouala, le premier prix Goncourt décerné à un écrivain noir.
Ces ateliers ont été financés par la direction du livre et de la lecture de la CTG (Collectivité Territoriale de Guyane) et par la DJSCS (DRAJES). Ils n’auraient pu se tenir sans l’implication de la responsable de la bibliothèque Icek Baron (municipalité de Saint-Laurent du Maroni) et des professeures-documentalistes des lycées qui ont organisé la mise en place de ces ateliers en lien avec les professeurs.
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Éducation