L’arbitrage a été pointé du doigt par Denis Shapovalov lors de sa défaite face à Rafael Nadal en quart de finale de l’Open d’Australie 2022. Le Canadien a accusé Carlos Bernardes d’être « corrompu » et de ne pas avoir sanctionné l’Espagnol car il prenait trop de temps au changement de côté. Les deux joueurs se sont même expliqués en plein match, au filet.
À l’issue de la rencontre, Denis Shapovalov a estimé que Rafael Nadal avait été protégé par l’arbitre de la rencontre. « Je respecte tout ce que Rafa a fait et je pense que c’est un joueur incroyable. Mais, vous savez, il doit y avoir des limites, des règles établies. C’est tellement frustrant en tant que joueur. Vous savez, vous avez l’impression que vous ne faites pas que jouer contre le joueur ; vous jouez contre les arbitres, vous jouez contre tellement plus. »
« Je pense que je me suis mal exprimé quand j’ai dit qu’il était corrompu. Mais je reste sur ma position. Je pense que c’est injuste. Combien de fois Rafa s’en tire ? Et à la fin du quatrième set, il part se faire évaluer médicalement, et après l’évaluation, il va faire une pause toilette. Mais comment pouvez-vous être évalué médicalement et avoir une pause toilette et causer autant de retard dans le jeu ? Pour la même chose l’année dernière, je n’avais pas le droit de faire une pause toilette quand j’ai demandé un examen médical. »
Dans ce nouvel épisode de « L’Oeil du Coach », Patrick Mouratoglou est revenu sur cet épisode en analysant les propos et l’attitude de Denis Shapovalov. Il a notamment expliqué que les stars du jeu mettent beaucoup de pression sur les arbitres, et qu’ils sont parfois protégés en raison de leur statut.
MOMENTS-CLÉS DE « L’OEIL DU COACH » AVEC PATRICK MOURATOGLOU
Les meilleurs joueurs mettent beaucoup de pression sur les arbitres de chaise.
Carlos Bernardes avait déjà eu des problèmes avec Nadal par le passé, et l’Espagnol était très en colère contre lui.
C’est difficile pour un arbitre d’arbitrer une superstar du jeu, surtout quand ils peuvent vous crier dessus devant des millions de gens, ce n’est pas facile à gérer.
Les meilleurs joueurs bénéficient parfois d’un traitement spécial de la part des arbitres.
Les joueurs font ce qui est bon pour eux, comme Nadal face à Shapovalov, mais c’est à l’arbitre de contrôler ça et de fixer des limites.
Il devrait y avoir une règle pour le temps pris entre le premier et le second service.
À l’issue de la rencontre, Denis Shapovalov a estimé que Rafael Nadal avait été protégé par l’arbitre de la rencontre. « Je respecte tout ce que Rafa a fait et je pense que c’est un joueur incroyable. Mais, vous savez, il doit y avoir des limites, des règles établies. C’est tellement frustrant en tant que joueur. Vous savez, vous avez l’impression que vous ne faites pas que jouer contre le joueur ; vous jouez contre les arbitres, vous jouez contre tellement plus. »
« Je pense que je me suis mal exprimé quand j’ai dit qu’il était corrompu. Mais je reste sur ma position. Je pense que c’est injuste. Combien de fois Rafa s’en tire ? Et à la fin du quatrième set, il part se faire évaluer médicalement, et après l’évaluation, il va faire une pause toilette. Mais comment pouvez-vous être évalué médicalement et avoir une pause toilette et causer autant de retard dans le jeu ? Pour la même chose l’année dernière, je n’avais pas le droit de faire une pause toilette quand j’ai demandé un examen médical. »
Dans ce nouvel épisode de « L’Oeil du Coach », Patrick Mouratoglou est revenu sur cet épisode en analysant les propos et l’attitude de Denis Shapovalov. Il a notamment expliqué que les stars du jeu mettent beaucoup de pression sur les arbitres, et qu’ils sont parfois protégés en raison de leur statut.
MOMENTS-CLÉS DE « L’OEIL DU COACH » AVEC PATRICK MOURATOGLOU
Les meilleurs joueurs mettent beaucoup de pression sur les arbitres de chaise.
Carlos Bernardes avait déjà eu des problèmes avec Nadal par le passé, et l’Espagnol était très en colère contre lui.
C’est difficile pour un arbitre d’arbitrer une superstar du jeu, surtout quand ils peuvent vous crier dessus devant des millions de gens, ce n’est pas facile à gérer.
Les meilleurs joueurs bénéficient parfois d’un traitement spécial de la part des arbitres.
Les joueurs font ce qui est bon pour eux, comme Nadal face à Shapovalov, mais c’est à l’arbitre de contrôler ça et de fixer des limites.
Il devrait y avoir une règle pour le temps pris entre le premier et le second service.
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