Les NFT entrent au musée. Un établissement entièrement dédié à ces œuvres d’art numérique certifiées, a été inauguré à Seattle, aux Etats-Unis.
Son ambition : simplifier l’accès à ces objets virtuels authentifiés, et mieux comprendre le monde des NFT, des «Non-Fungible Token», comme l’a expliqué à l’AFP son cofondateur Peter Hamilton.
«L'intérêt d'avoir un lieu physique est de faciliter l'accès à tous», a ainsi expliqué Peter Hamilton. «Vous pouvez entrer et peu importe ce que vous savez ou non à propos de l'art numérique, des NFT, car vous pouvez voir les œuvres présentées en grand format, d'une manière qui vous rappelle une exposition dans un musée», a poursuivi ce dernier.
Le musée, inauguré le 29 janvier dernier, dévoile ainsi des œuvres originales accompagnées d'explications sur les technologies utilisées et les artistes exposés. Pour rappel, les NFT sont des jetons non fongibles, qui permettent d’authentifier un objet virtuel en le rendant ainsi unique. Comme pour d’autres œuvres, ce dernier pourra être copié à l’instar des reproductions de toile de maître mais le NFT, en lui-même, reste l’original, grâce à la technologie de la «blockchain», également utilisée pour le bitcoin ou d'autres cryptomonnaies.
Une nouvelle approche qui affole les compteurs du marché de l’art et l’intérêt des collectionneurs. Ainsi en mars dernier, le tout premier tweet de l’histoire a été vendu sous forme de NFT par Jack Dorsey, cofondateur de Twitter pour près de 2,6 millions d’euros. Mais le record est détenu par l'artiste Beeple pour son œuvre numérique «Everyday : the first 500 days» : une toile numérique composée d’un assemblage de dessins et d’animations adjugée par la maison Christie’s en mars dernier pour plus de 61 millions d’euros, un record. Une technologie qui dépasse le monde de l’art contemporain, investissant des domaines aussi variés que les jeux vidéo et la musique.
Et le nouveau monde des NFT suscite la curiosité, comme le souligne une visiteuse du musée à l’AFP : «C'est un peu un phénomène mondial et on est en train de le voir émerger». Un art qui bouscule les frontières classiques et auquel le NFT Museum veut donc donner accès, précisant par l'entremise de son cofondateur que cette technologie «n'en est vraiment qu'à ses débuts». Un work in progress en quelque sorte.
Son ambition : simplifier l’accès à ces objets virtuels authentifiés, et mieux comprendre le monde des NFT, des «Non-Fungible Token», comme l’a expliqué à l’AFP son cofondateur Peter Hamilton.
«L'intérêt d'avoir un lieu physique est de faciliter l'accès à tous», a ainsi expliqué Peter Hamilton. «Vous pouvez entrer et peu importe ce que vous savez ou non à propos de l'art numérique, des NFT, car vous pouvez voir les œuvres présentées en grand format, d'une manière qui vous rappelle une exposition dans un musée», a poursuivi ce dernier.
Le musée, inauguré le 29 janvier dernier, dévoile ainsi des œuvres originales accompagnées d'explications sur les technologies utilisées et les artistes exposés. Pour rappel, les NFT sont des jetons non fongibles, qui permettent d’authentifier un objet virtuel en le rendant ainsi unique. Comme pour d’autres œuvres, ce dernier pourra être copié à l’instar des reproductions de toile de maître mais le NFT, en lui-même, reste l’original, grâce à la technologie de la «blockchain», également utilisée pour le bitcoin ou d'autres cryptomonnaies.
Une nouvelle approche qui affole les compteurs du marché de l’art et l’intérêt des collectionneurs. Ainsi en mars dernier, le tout premier tweet de l’histoire a été vendu sous forme de NFT par Jack Dorsey, cofondateur de Twitter pour près de 2,6 millions d’euros. Mais le record est détenu par l'artiste Beeple pour son œuvre numérique «Everyday : the first 500 days» : une toile numérique composée d’un assemblage de dessins et d’animations adjugée par la maison Christie’s en mars dernier pour plus de 61 millions d’euros, un record. Une technologie qui dépasse le monde de l’art contemporain, investissant des domaines aussi variés que les jeux vidéo et la musique.
Et le nouveau monde des NFT suscite la curiosité, comme le souligne une visiteuse du musée à l’AFP : «C'est un peu un phénomène mondial et on est en train de le voir émerger». Un art qui bouscule les frontières classiques et auquel le NFT Museum veut donc donner accès, précisant par l'entremise de son cofondateur que cette technologie «n'en est vraiment qu'à ses débuts». Un work in progress en quelque sorte.
Category
🗞
News