Dès le lendemain des résultats du premier tour, dont il est sorti grand gagnant avec plus de 28% des voix, Emmanuel Macron a effectué son premier déplacement de l’entre-deux tours, à Denain (Hauts-de-France).
Face à des françaises qui l’interrogeaient sur sa gestion de la crise du Covid, le candidat-président est revenu lundi 11 avril sur sa sortie sur les “non-vaccinés”, devant la caméra de BFMTV. Le président de la République avait déclaré le 4 janvier dans Le Parisien vouloir “emmerder” les non-vaccinés contre le Covid-19 “jusqu’au bout”.
“Je l’ai dit de manière, entre guillemets, affectueuse, y affirme le chef de l’État. Il faut le remettre en contexte, on ne va pas refaire un film (...) Ce n’était pas une insulte et c’était dans un contexte.” Depuis le début de son mandat, le chef de l’État a régulièrement fait polémique avec des expressions, calculées ou non, dont le ton, pour certains, peut détonner avec la fonction présidentielle.
Face à des françaises qui l’interrogeaient sur sa gestion de la crise du Covid, le candidat-président est revenu lundi 11 avril sur sa sortie sur les “non-vaccinés”, devant la caméra de BFMTV. Le président de la République avait déclaré le 4 janvier dans Le Parisien vouloir “emmerder” les non-vaccinés contre le Covid-19 “jusqu’au bout”.
“Je l’ai dit de manière, entre guillemets, affectueuse, y affirme le chef de l’État. Il faut le remettre en contexte, on ne va pas refaire un film (...) Ce n’était pas une insulte et c’était dans un contexte.” Depuis le début de son mandat, le chef de l’État a régulièrement fait polémique avec des expressions, calculées ou non, dont le ton, pour certains, peut détonner avec la fonction présidentielle.
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