À Verdun le Dr Bruno Frémont recherche des indices. Ce médecin légiste récupère et analyse de nombreux ossements datant de la Première Guerre mondiale. Il fait parler les corps un siècle plus tard, il s'aide aussi d'autres vestiges : chaussures, habits, boutons, tous les éléments qu'il est encore possible de collecter à côté des dépouilles de poilus. Malgré ces traces du passé, les deux seuls moyens d'identifier formellement un squelette sont : la plaque militaire du soldat, ou grâce à une analyse ADN. La plupart du temps, la plaque militaire n'est plus présente sur le corps, et l'analyse ADN quant à elle ne peut s'effectuer qu'en comparant les résultats avec l'ADN d'un descendant... Une situation presque impossible. Une tâche complexe pour tenter de redonner une identité aux poilus de Verdun.
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