Les Japonaises privées de #MeToo Le hashtag des victimes de violences sexuelles s’est diffusé partout dans le monde. Mais au Japon, celles qui brisent la loi du silence risquent menaces et exclusion sociale. Yumi Ishikawa Parmi des centaines d'actrices comme elle, Yumi Ishikawa est l'une des rares au Japon à avoir osé utiliser ce hashtag. Yumi Ishikawa A coup d'injures, sa libération a très vite laissé place à la honte. Dans un pays où les jeunes filles doivent avoir une attitude consensuelle, Yumi a brisé un tabou impensable. Par sa radicalité, #MeToo menace la doxa du consensus et du patriarcat. Mayumi Taniguchi, féministe et professeure de droit.
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