publier son enquête... Ce 30 avril, presque une semaine après les révélations de cette élue (GRS) du groupe d'opposition "Aix en partage" à Aix-en-Provence, le site d'Edwy Plenel a sorti une énorme dossier sur Eric Zemmour, aujourd'hui accusé d'agression sexuelle.
Après Gaëlle Lenfant, de nouveaux témoignages à charge
Le polémiste aurait multiplié "les baisers forcés, les gestes et les propos à connotation sexuelle" depuis des années, selon les supposées victimes, qui ont parlé "au cours des derniers mois" à Mediapart. On découvre ainsi le témoignage de Aurore Van Opstal, qui tient un blog sur le médias d'information alternatif, qui est la seule à se confier sans masquer son nom, par "solidarité féminine et féminisme". Elle soutient qu'en 2019, Eric Zemmour lui a "caressé le genou avec sa main", sous la table, et serait "remonté jusque l’entrejambe".
Outre ce récit, la publication cite aussi une jeune journaliste, "Anne", qui a noté dans son journal intime en 2005 que le polémiste l'avait "embrassé[e]" sans son consentement. Et d'ajouter : "Il a mis sa langue et tout !" De son côté, "Jade", qui était stagiaire en 2012, assure qu'il a un jour "fixé son décolleté de manière vraiment lubrique".
A la télévision, "Nathalie", une maquilleuse, assure qu'il l'a un jour "plaquée conte un mur" en lui déclarant : "mais tu comprends pas que j’ai envie de baiser avec toi". Pour finir, "Célia", hôtesse d’accueil dans les années 2010, raconte qu’il lui a "passé sa main sur [les] fesses".
Un "prédateur sexuel, un conquérant"A ces aveux, Mediapart a également apporté des extraits choisis dans les livres d'Eric Zemmour ("Le Suicide français", "Le premier sexe"), et dans ses apparitions télé, pour terminer de le présenter comme un "prédateur sexuel, un conquérant", pour qui "la virilité va de pair avec la violence" (de ses propres mots).
Après Gaëlle Lenfant, de nouveaux témoignages à charge
Le polémiste aurait multiplié "les baisers forcés, les gestes et les propos à connotation sexuelle" depuis des années, selon les supposées victimes, qui ont parlé "au cours des derniers mois" à Mediapart. On découvre ainsi le témoignage de Aurore Van Opstal, qui tient un blog sur le médias d'information alternatif, qui est la seule à se confier sans masquer son nom, par "solidarité féminine et féminisme". Elle soutient qu'en 2019, Eric Zemmour lui a "caressé le genou avec sa main", sous la table, et serait "remonté jusque l’entrejambe".
Outre ce récit, la publication cite aussi une jeune journaliste, "Anne", qui a noté dans son journal intime en 2005 que le polémiste l'avait "embrassé[e]" sans son consentement. Et d'ajouter : "Il a mis sa langue et tout !" De son côté, "Jade", qui était stagiaire en 2012, assure qu'il a un jour "fixé son décolleté de manière vraiment lubrique".
A la télévision, "Nathalie", une maquilleuse, assure qu'il l'a un jour "plaquée conte un mur" en lui déclarant : "mais tu comprends pas que j’ai envie de baiser avec toi". Pour finir, "Célia", hôtesse d’accueil dans les années 2010, raconte qu’il lui a "passé sa main sur [les] fesses".
Un "prédateur sexuel, un conquérant"A ces aveux, Mediapart a également apporté des extraits choisis dans les livres d'Eric Zemmour ("Le Suicide français", "Le premier sexe"), et dans ses apparitions télé, pour terminer de le présenter comme un "prédateur sexuel, un conquérant", pour qui "la virilité va de pair avec la violence" (de ses propres mots).
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