L’Europe doit faire face à une hécatombe d’oiseaux depuis les années 1980.
En effet, depuis environ 40 ans, 560 à 620 millions d’oiseaux ont disparu (1 oiseau sur 6), soit une baisse de 17 à 19% depuis 1980.
Sur 378 espèces volatiles natives d’Europe, 176 espèces sont en déclin. .
Les huit espèces qui connaissent les plus fortes pertes contribuent à 69 % du déclin.
Parmi les espèces les plus menacées :
1/ Le moineau domestique : sa population a été réduite de 50% avec la disparition de 247 millions d’individus (soit 27% du déclin total)
2/ La bergeronnette printanière : sa population a perdu 97 millions d’individus
3/ L’étourneau sansonnet : sa population a perdu 74,6 millions d’individus
4/ L’alouette des champs : sa population a perdu 68 millions d’individus
Mais quels sont les facteurs ?
En campagne, les oiseaux sont menacés par l’agriculture intensive, la destruction des habitats naturels et l’essor des pesticides.
Les oiseaux des villes sont quant à eux confrontés à la réduction de la nourriture disponible, la pollution de l’air et le paludisme aviaire.
Fort heureusement, 203 espèces ont vu leur population augmenter grâce à des politiques de préservation (faucons pèlerins, pygargues à queue blanche, aigles royaux…).
La France n’est pas épargnée par ce déclin important et généralisé à l’échelle européenne : les oiseaux dans les milieux agricoles du pays ont vu leurs effectifs chuter de 30% ces 30 dernières années.
Il faut néanmoins rappeler que les oiseaux jouent un rôle essentiel dans l’équilibre des écosystèmes et
ont un impact positif sur notre santé.
Il a d’ailleurs été prouvé que le niveau de stress et d’anxiété se réduisait dans les zones où les oiseaux
y étaient très nombreux.
En effet, depuis environ 40 ans, 560 à 620 millions d’oiseaux ont disparu (1 oiseau sur 6), soit une baisse de 17 à 19% depuis 1980.
Sur 378 espèces volatiles natives d’Europe, 176 espèces sont en déclin. .
Les huit espèces qui connaissent les plus fortes pertes contribuent à 69 % du déclin.
Parmi les espèces les plus menacées :
1/ Le moineau domestique : sa population a été réduite de 50% avec la disparition de 247 millions d’individus (soit 27% du déclin total)
2/ La bergeronnette printanière : sa population a perdu 97 millions d’individus
3/ L’étourneau sansonnet : sa population a perdu 74,6 millions d’individus
4/ L’alouette des champs : sa population a perdu 68 millions d’individus
Mais quels sont les facteurs ?
En campagne, les oiseaux sont menacés par l’agriculture intensive, la destruction des habitats naturels et l’essor des pesticides.
Les oiseaux des villes sont quant à eux confrontés à la réduction de la nourriture disponible, la pollution de l’air et le paludisme aviaire.
Fort heureusement, 203 espèces ont vu leur population augmenter grâce à des politiques de préservation (faucons pèlerins, pygargues à queue blanche, aigles royaux…).
La France n’est pas épargnée par ce déclin important et généralisé à l’échelle européenne : les oiseaux dans les milieux agricoles du pays ont vu leurs effectifs chuter de 30% ces 30 dernières années.
Il faut néanmoins rappeler que les oiseaux jouent un rôle essentiel dans l’équilibre des écosystèmes et
ont un impact positif sur notre santé.
Il a d’ailleurs été prouvé que le niveau de stress et d’anxiété se réduisait dans les zones où les oiseaux
y étaient très nombreux.
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