[…] Avant l’abattage, les poissons sont forcés de jeûner plusieurs jours, jusqu’à parfois plus du trois semaines selon les espèces), il s'agit soit d'éliminer une partie du surplus de graisse ainsi que des antibiotiques, soit tout simplement d'économiser la nourriture durant le laps de temps pendant lequel ils ne perdent pas encore de poids.
Exemple du saumon d’élevage :
Pour éviter les parasitoses, et particulièrement les poux de mer, de nombreux pisciculteurs utilisent notamment plusieurs fois par an du Dichlorvos, un pesticide organophos¬phoré de même famille que des gaz militaires neurotoxiques ; cette substance est hautement nocive pour toute les formes de vie marine, du plancton aux crustacés, même à une dose de l ppm (partie par million). Même utilisé correctement, le produit est toxique pour les saumons. Lorsqu'il est versé dans l'eau, non seulement il arrive que les poissons se blessent eux-mêmes en tentant de se mettre hors de portée, mais ils sont souvent ensuite victimes de convulsions et d’attaques d’apoplexie, parfois de cécité et même de mort en cas de surdosage ; des chercheurs de l’Université d'Aberdeen pensent que si 60 % des saumons sauvages d'Ecosse souffrent de cataracte, c'est aujourd’hui dû à l'usage de ce produit ! En France, on utilise la chloramine et le formol, qui se révèlent aussi facilement très toxiques pour les poissons.
Cela n'empêche pas autant que des parasites échappés d’une écloserie en Norvège ont entraîné la disparition complète des saumons dans une trentaine de rivières. En Irlande, une étude du début des années 90 révèle que 94% des poux de mer qui ont détruit leurs pêcheries de truites provenaient de fermes de saumons.
Et quant aux poissons OGM…
LES PRISES « DECHET » :
Les filets ne sélectionnent pas. Selon la FAO, entre 27 et 40 millions de tonnes de poissons indésirables, de crustacés, d’oiseaux de mer, de tortues marines et de mammifères marins sont capturés chaque année. […]
Exemple du saumon d’élevage :
Pour éviter les parasitoses, et particulièrement les poux de mer, de nombreux pisciculteurs utilisent notamment plusieurs fois par an du Dichlorvos, un pesticide organophos¬phoré de même famille que des gaz militaires neurotoxiques ; cette substance est hautement nocive pour toute les formes de vie marine, du plancton aux crustacés, même à une dose de l ppm (partie par million). Même utilisé correctement, le produit est toxique pour les saumons. Lorsqu'il est versé dans l'eau, non seulement il arrive que les poissons se blessent eux-mêmes en tentant de se mettre hors de portée, mais ils sont souvent ensuite victimes de convulsions et d’attaques d’apoplexie, parfois de cécité et même de mort en cas de surdosage ; des chercheurs de l’Université d'Aberdeen pensent que si 60 % des saumons sauvages d'Ecosse souffrent de cataracte, c'est aujourd’hui dû à l'usage de ce produit ! En France, on utilise la chloramine et le formol, qui se révèlent aussi facilement très toxiques pour les poissons.
Cela n'empêche pas autant que des parasites échappés d’une écloserie en Norvège ont entraîné la disparition complète des saumons dans une trentaine de rivières. En Irlande, une étude du début des années 90 révèle que 94% des poux de mer qui ont détruit leurs pêcheries de truites provenaient de fermes de saumons.
Et quant aux poissons OGM…
LES PRISES « DECHET » :
Les filets ne sélectionnent pas. Selon la FAO, entre 27 et 40 millions de tonnes de poissons indésirables, de crustacés, d’oiseaux de mer, de tortues marines et de mammifères marins sont capturés chaque année. […]
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