Cette semaine sort enfin le film qui a divisé Cannes. “Sans filtre”, troisième long métrage de Ruben Östlund, a aussi créé des vagues au sein de la rédaction de Télérama. La seconde Palme d’or du réalisateur suédois, déjà récompensé pour “The Square” en 2017, raconte le naufrage d’une croisière ultra-luxueuse où se croise une galerie de personnages pas forcément sympathiques.
Pour certains, cette satire sociale est capable de provoquer un rire franc, notamment lors d’une scène houleuse qui sert de point culminant au film. “Sans filtre” est aussi servi par un casting idéalement choisi, notamment Harris Dickinson et Charlbi Dean dans le rôle de Carl et Yaya, un couple de jeunes influenceurs.
Pour d’autres en revanche, la misanthropie de Ruben Östlund plombe le message politique de ce film trop long, qui aurait mérité de sérieuses coupes dans son scénario.
Pour une raison ou pour une autre, “Sans filtre” est sans doute l’un des événements de cette rentrée ciné.
Pour certains, cette satire sociale est capable de provoquer un rire franc, notamment lors d’une scène houleuse qui sert de point culminant au film. “Sans filtre” est aussi servi par un casting idéalement choisi, notamment Harris Dickinson et Charlbi Dean dans le rôle de Carl et Yaya, un couple de jeunes influenceurs.
Pour d’autres en revanche, la misanthropie de Ruben Östlund plombe le message politique de ce film trop long, qui aurait mérité de sérieuses coupes dans son scénario.
Pour une raison ou pour une autre, “Sans filtre” est sans doute l’un des événements de cette rentrée ciné.
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Court métrage