• il y a 2 ans
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Un mystère résolu. Dès les mois après la découverte de deux cercueils plombs dans les fouilles de la cathédrale de Notre-Dame de Paris, des archéologues et des anthropologues ont soulevé le voile sur l'origine de ces objets, qui avait été conduit au touloud Medical Institutefrom à y être étudié. Cette étude permet d'en savoir plus sur les rites funéraires de l'époque. Cela montre donc que c'est, d'une part, les restes de l'antoine canon de la porte décédé en 1710 à l'âge de 83 Le choix de la tête pour préserver les corps Pour Camille Colonna, anthropologue à l'Institut national de recherche archéologique préventive , ces dignitaires ont choisi des cercueils de plomb afin que leur corps soit préservé. "C'est très rare car il est très cher, car il est fabriqué sur mesure", elleRemarques au microphone de l'Europe 1. "Une fois hermétique, le cercueil de plomb maintient en plein corps, pour être présenté devant le Seigneur en parfait état", explique le chercheur. Malgré tout, le temps a attaqué ces cercueils qui ont détérioré les corps dont il ne reste que des os. La découverte surprenante de la plante reste Cependant, l'archéologue Christophe Besnier a été surpris de découvrir des restes de plantes. "Trouver des fleurs et des feuilles est associée à des pratiques d'embaumement", explique-t-il. "L'une des deux a fait scié le crâne et nous avons remplacé le cerveau et les viscères par ces plantes", décrit, décritL'archéologue, qui identifie "la nature des plantes utilisées, la nature des onguents utilisés. C'est un phénomène que nous pouvons très rarement observer en archéologie en France continentale", ajoute Christophe Besnier. Les cercueils partiront la semaine prochaine à Paris. Les archéologues chercheront alors à trouver l'identité de cet étranger dont le squelette révèle qu'il roulait à cheval et qu'il est mort à l'âge de trente ans, probablement la tuberculose.

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