« Je ne me sens pas protégée par la France. » Une marche blanche en hommage à trois militantes kurdes assassinées à Paris en janvier 2013 a eu lieu ce mercredi 4 janvier dans la capitale. Une commémoration qui survient dans la foulée d’un nouvel événement tragique pour la diaspora kurde. Le 23 décembre dernier, trois personnes ont été victimes d’une tuerie à caractère raciste devant un centre culturel kurde du 10e arrondissement.
Il y a 10 ans, dans la nuit du 9 au 10 janvier 2013, ce sont trois militantes du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) – Sakine Cansiz, 54 ans, Fidan Dogan, 28 ans, et Leyla Saylemez, 24 ans – qui avaient été tuées de plusieurs balles dans la tête dans l’enceinte du Centre d’information du Kurdistan (CIK), dans le Xe arrondissement de Paris.
Les manifestants, principalement des femmes, sont encore, une décennie après le drame, sous le choc de ces événements. À notre micro, plusieurs militantes décrivent le sentiment d’insécurité au sein de leur communauté et dans les milieux militants kurdes. Elles réclament aussi à la France transparence et justice sur ces affaires.
Concernant l’assassinat de 2013, le Conseil démocratique kurde en France (CDK-F), qui fédère 26 associations de la diaspora kurde dans l’Hexagone, demande aux autorités françaises de lever le secret-défense protégeant « des informations détenues par les différents services du renseignement français ».
Il y a 10 ans, dans la nuit du 9 au 10 janvier 2013, ce sont trois militantes du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) – Sakine Cansiz, 54 ans, Fidan Dogan, 28 ans, et Leyla Saylemez, 24 ans – qui avaient été tuées de plusieurs balles dans la tête dans l’enceinte du Centre d’information du Kurdistan (CIK), dans le Xe arrondissement de Paris.
Les manifestants, principalement des femmes, sont encore, une décennie après le drame, sous le choc de ces événements. À notre micro, plusieurs militantes décrivent le sentiment d’insécurité au sein de leur communauté et dans les milieux militants kurdes. Elles réclament aussi à la France transparence et justice sur ces affaires.
Concernant l’assassinat de 2013, le Conseil démocratique kurde en France (CDK-F), qui fédère 26 associations de la diaspora kurde dans l’Hexagone, demande aux autorités françaises de lever le secret-défense protégeant « des informations détenues par les différents services du renseignement français ».
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