Nos excréments feraient un grand engrais

  • il y a 2 ans
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L'astuce est bien connue, et pendant longtemps. Les chercheurs ont examiné des engrais quelque peu spéciaux des déchets du corps humain. Par conséquent, les excréments et l'urine. [En vidéo] LombricUsage, recyclant ses déchets grâce aux vers de terre pour recycler facilement les déchets organiques, rien de mieux que le faible habitage. Cette technique basée sur l'activité naturelle des vers terre se développe de plus plus en raison ses avantages écologiques et économiques.Show, est allé rencontrer deux fabricants qui vous expliquent vidéo comment faire votre premier composteur. La pratique de l'agriculture responsable est l'un des principaux défis de notre temps. Avec cet esprit, une étude publiée dans Frontiers in Environmental Science envisage l'utilisation d'engrais à partir d'excréments et d'urine. La pratique est déjà connue, le gaspillage des toilettes sèches souventservant alors dans du compost de compost. Mais pour en savoir plus sur effets entre ces engrais naturels et d'autres qui existaient déjà sur le marché, les auteurs ont poussé le chou avec différents sols et différents engrais, puis ont comparé rendements pour chaque culture. Plus spécifiquement "deux engrais urinaires nitrifiés etUn compost fécal a été appliqué seul ou en combinaison, et comparé à l'engrais organique de la vinasse commerciale ", explique l'étude. Nos excréments feraient un très bon engrais naturel Et ils ont trouvé un rendement similaire pour les engrais d'urine, par rapport à ceux basés sur la vinasse.Résistant au climat ", enthousiasme Franziska Häfner, premier auteur de TheStudy and Agronomist. Mais une autre question se pose: y a-t-il des traces de médicaments ou d'autres produits chimiques qui sont consommés, et ont-ils un impact sur les légumes alors? La première réponse est oui, et le second, non. Les auteurs ont testé plus de 310 produits chimiques dans leurÉtude, allant des produits pharmaceutiques à différents additifs. Selon 6,5% d'entre eux étaient présents au-dessus de la limite de détection du compost, présents en très faible concentration. Selon l'étude, il faudrait environ 500 000 chou blancs pour ingérer l'équivalent d'un carbamazépinecarbamazépine,un anticonvulsivant. Il reste à tester ces engrais sur d'autres plantes, mais les auteurs semblent optimistes. "Combiné avec une transition agricole impliquant réduction la reproduction et culture des plantes pour le fourrage, même moins d'engrais synthétiques seraient nécessaires, ce qui entraînerait une consommation moins consommation fossile gaz naturel du gaz naturel, "Conclut Ariane Krause, co-auteur l'étude.

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