• l’année dernière
Ce sont des profils lourds et alarmants, loin de l'image d'une victime de l’État islamique. Les enquêteurs de l'antiterrorisme constatent une évolution entre le premiers rapatriements en 2016, et ceux de cette semaine. Selon, eux, la France a désormais à faire à des femmes endurcies, vétérans de la première heure, avec un rôle majeur au sein de Dahesh.

Category

🗞
News
Transcription
00:00 Ce sont des profils lourds et alarmants, loin de l'image d'une victime de l'Etat islamique.
00:06 Celle qui rentre le fond parce qu'elle ne voit pas comment continuer leur combat sur zone.
00:10 Pour autant, elle demeure profondément ancrée dans leur radicalité terroriste et islamiste.
00:15 Sous couvert d'anonymat dans le Figaro, les enquêteurs de l'antiterrorisme constatent une évolution entre les premiers rapatriements en 2016 et ceux de cette semaine.
00:24 Selon eux, la France a désormais affaire à des femmes endurcies, vétérans de la première heure, avec un rôle majeur au sein de Daesh.
00:33 Endoctrinements, recrutements, maniements des armes ou maintien de l'ordre, certaines auraient même commis des actes de torture sur leurs esclaves domestiques.
00:42 "Nous commençons à disposer de suffisamment de matériaux pour reconstituer les parcours.
00:46 On ne compte plus les dossiers aux figures ces combattantes posant avec Kailashnikov et bébé dans les bras."
00:51 Arrivé en France, ces femmes sont systématiquement judiciarisées.
00:55 Elles peuvent parfois être mises en examen et incarcérées, tout en restant au contact d'autres détenus.
01:01 [Musique]
01:06 [SILENCE]

Recommandations