#Toulouse #enfantpsychiatre #nouveaususpendu
https://gotopnews.com/post/1593054
"Il s'agit d'une peine lourde et disproportionnée, ils sont sur moi depuis huit ans lorsque je viens de protéger un enfant. Eugénie Izard, un enfant psychiatre Toulouse, vient d'être condamné à trois mois d'interdiction pour l'exercice de la médecine, y comprisL'une suspendue, par la Chambre nationale disciplinaire du Conseil national l'Ordre des médecins "pour les affaires familiales d'Interference". En 2014 et 2015, cette praticienne avait fait des rapports, inquiets des mauvais traitements éventuels contre une fille de 8 ans qui a suivi. Elle a ensuite abordé le procureur et le juge des enfants déjà chargés de protéger la petite fille. Mais également auPrésident du Conseil départemental chargé de la collecte d'informations inquiétantes du département. Le père l'enfant avait alors commencé à poursuivre l'enfant psychiatre, avant retirer sa plainte, mais le Conseil l'Ordre 31 a continué poursuivre Eugénie Izard sans plaignant. La chambre disciplinaire nationale l'avait condamnée en décembre 2021 devant le Conseil l'ordre pour "Interférence "et" Violation du secret professionnel "à l'interdiction de faire l'exercice pendant trois mois. Un jugement rompu en mai dernier par le Conseil d'État pour lequel "la seule circonstance que ce rapport a été envoyée au juge des enfants ne peut, en soi, lorsque le juge des enfants a déjà été saisi la situation de cet enfant, caractériser unviolation du code santé publique. Beaucoup de soutien aux "médecins protecteurs" En novembre dernier, aux côtés d'un autre enfant psychiatre, le médecin Toulouse avait nouveau été entendu la National Disciplinary Chamber of the Order, soutenue ce jour-là par nombreuses associations protection des enfants, mais également l'Union la médecine générale, arguant que les deux pratiquants avaient "seulement seulement" seulementont fait leur travail et ont répondu à leurs obligations tant que médecins et citoyens en signalant aux enfants qu'ils avaient évalué danger ". Comme la Commission indépendante sur l'inceste et la violence sexuelle contre les enfants, le syndicat recommande de protéger les" médecins de protection "et que cette mesure est incluse dansla loi. Malgré ce mouvement de soutien, la chambre disciplinaire a donc déclaré une nouvelle condamnation d'Eugénie Izard fin janvier. Ce dernier a déjà indiqué qu'elle allait faire appel. "L'article 226-14 du Code pénal dit que la signalement des autorités compétentesne peut pas engager la responsabilité civile, pénale ou disciplinaire de son auteur, à moins qu'il ne soit établi qu'il n'a pas agi de bonne foi. Ils ne peuvent pas condamner des ingérences dans les affaires familiales pour le rapport des enfants en danger réalisé aux autorités administratives définies parLaw.Ils font toujours une erreur loi et je me demande quand cela cessera parce qu'ils condamnent nouvelles d
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"Il s'agit d'une peine lourde et disproportionnée, ils sont sur moi depuis huit ans lorsque je viens de protéger un enfant. Eugénie Izard, un enfant psychiatre Toulouse, vient d'être condamné à trois mois d'interdiction pour l'exercice de la médecine, y comprisL'une suspendue, par la Chambre nationale disciplinaire du Conseil national l'Ordre des médecins "pour les affaires familiales d'Interference". En 2014 et 2015, cette praticienne avait fait des rapports, inquiets des mauvais traitements éventuels contre une fille de 8 ans qui a suivi. Elle a ensuite abordé le procureur et le juge des enfants déjà chargés de protéger la petite fille. Mais également auPrésident du Conseil départemental chargé de la collecte d'informations inquiétantes du département. Le père l'enfant avait alors commencé à poursuivre l'enfant psychiatre, avant retirer sa plainte, mais le Conseil l'Ordre 31 a continué poursuivre Eugénie Izard sans plaignant. La chambre disciplinaire nationale l'avait condamnée en décembre 2021 devant le Conseil l'ordre pour "Interférence "et" Violation du secret professionnel "à l'interdiction de faire l'exercice pendant trois mois. Un jugement rompu en mai dernier par le Conseil d'État pour lequel "la seule circonstance que ce rapport a été envoyée au juge des enfants ne peut, en soi, lorsque le juge des enfants a déjà été saisi la situation de cet enfant, caractériser unviolation du code santé publique. Beaucoup de soutien aux "médecins protecteurs" En novembre dernier, aux côtés d'un autre enfant psychiatre, le médecin Toulouse avait nouveau été entendu la National Disciplinary Chamber of the Order, soutenue ce jour-là par nombreuses associations protection des enfants, mais également l'Union la médecine générale, arguant que les deux pratiquants avaient "seulement seulement" seulementont fait leur travail et ont répondu à leurs obligations tant que médecins et citoyens en signalant aux enfants qu'ils avaient évalué danger ". Comme la Commission indépendante sur l'inceste et la violence sexuelle contre les enfants, le syndicat recommande de protéger les" médecins de protection "et que cette mesure est incluse dansla loi. Malgré ce mouvement de soutien, la chambre disciplinaire a donc déclaré une nouvelle condamnation d'Eugénie Izard fin janvier. Ce dernier a déjà indiqué qu'elle allait faire appel. "L'article 226-14 du Code pénal dit que la signalement des autorités compétentesne peut pas engager la responsabilité civile, pénale ou disciplinaire de son auteur, à moins qu'il ne soit établi qu'il n'a pas agi de bonne foi. Ils ne peuvent pas condamner des ingérences dans les affaires familiales pour le rapport des enfants en danger réalisé aux autorités administratives définies parLaw.Ils font toujours une erreur loi et je me demande quand cela cessera parce qu'ils condamnent nouvelles d
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