• il y a 2 ans
L'avocat Gilles-William Goldnadel, au sujet de la réforme des retraites : «Ce gouvernement incite à l'ironie [...] Mais je ne m'honore pas de faire partie du petit club de 30% de gens qui pensent qu'on ne peut pas rester comme ça [...] Et que l'argument de la plupart des peuples européens qui travaillent plus longtemps n'est pas non plus totalement à rejeter». 

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Transcription
00:00 Ce gouvernement incite à l'ironie.
00:02 Effectivement, vous avez raison.
00:04 Moi, je pensais, il y a trois ans, qu'il fallait déjà réformer ça.
00:07 Et je le pense toujours.
00:09 C'est vrai que je n'ai pas envie de forcément faire plaisir
00:13 à ce gouvernement qui va faire quelques économies,
00:15 alors même qu'il a utilisé l'argent magique.
00:18 Je suis d'accord avec vous, mais je vais...
00:22 Je vais vous poser des questions...
00:24 Je vais rendre aussi le même rôle ingrat que mon ami Leclerc.
00:27 Je vais vous poser des questions toutes simples.
00:29 Il a pu dire sa phrase.
00:30 Non, mais j'ai été interrompu immédiatement.
00:33 Je vais vous poser des questions toutes simples.
00:36 On n'a pas le droit de penser...
00:38 Non, mais je ne m'honore pas de faire partie.
00:41 Ce n'est pas un club, du petit club de 30% de gens
00:45 qui pensent effectivement, d'une manière ingrate,
00:48 qu'on ne peut pas rester comme ça et que l'argument,
00:51 contrairement à ce que vous dites, est que l'argument de voir
00:55 que la plupart des peuples européens, qui ne sont pas plus robustes
00:59 que les Français qui travaillent plus longtemps,
01:02 n'est pas non plus un argument totalement à rejeter.
01:06 Sous-titrage ST' 501
01:08 [Musique]

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