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#SébastienRaoult #ONU
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Jean-Christophe Verhaegen / AFP Jean-Christophe Verhaegen / AFP Justice - Six jours de retard. Le comité des droits l'homme des Nations Unies, saisi par la défense du jeune Français Sébastien Raoult accusé de cybercriminalité, a demandé le mardi 31 janvier, la suspension son extradition du Maroc aux États-Unis, quelques jours qui ont été intervenus. Selon des sources concordantes, comité a enregistré demande faite le 17 janvier pour examiner cas de ce jeune homme, arrêté au Maroc en mai sur la base d'un avis rouge émis par Interpol à demande de l'American Justice. Le comité des Nations Unies a également déclaré qu'ils avaient demandé "de ne pas extrader l'auteur aux États-Unis tant que sa demande en cours d'examen", selon une lettre consultée mercredi par l'AFP. Sébastien Raoult néanmoins été extradé le 25 janvier et a présenté trois jours plus tard devant un tribunal de Seattle, où il plaidé "non coupable". Il est accusé d'être membre des "ShinyHuters", un groupe de "cybercriminels" soupçonnés par l'AméricainLe juge d'être derrière les cyberattaques commerciales. Le million de dollars auraient été en jeu. Il risque 116 ans de prison pour la cybercriminalité L'étudiant informatique a été arrêté en mai dernier à l'aéroport de Rabat alors qu'il tentait de retourner en France. «Il était en phase de rupture avec des études. Il voulait vivre, découvrir le monde et voyager et avoir l'impression de perdre son tempsÀ l'école ", a déclaré son père Paul à l'AFP. "Nous pouvons nous demander, le Maroc étant informé notre demande, si la précipitation l'extradition Sébastien n'était pas une stratégie pour échapper à une injonction du comité", a déclaré Paul Raoult après l'annonce la décision l'ONU. Mais pour l'avocat français du jeune homme, moi Philippe Ohayon, qui a envoyé une lettre mercredi au ministre des Affaires étrangères Catherine Colonna, "ce n'est plus une affaire bilatérale qui ne concerne que les États-Unis et Morocco, mais aussi la France" parce que laLe comité des droits de l'homme est "saisi sur la base du pacte international relatif aux droits civils et politiques". Aux États-Unis, l'ex-étudiant risque jusqu'à 116 ans de prison s'il est reconnu coupable, selon son avocat. Il nie les faits et s'assure que ses comptes "ont été utilisés à son insu".

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