le replay de la 5e étape - Cyclisme - Saudi Tour

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Retrouvez le replay de la 5e étape du Saudi Tour du 03/02/2023.

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00:00:00 [Musique]
00:00:10 Allez, on est vraiment sur une journée exceptionnelle aujourd'hui.
00:00:14 Le SaoudiTour, le final du SaoudiTour vous attend.
00:00:16 Vous voyez déjà les images derrière moi et puis vous le voyez aussi à côté Remco Evenpool en personne.
00:00:22 Pas seulement en photo.
00:00:23 Derrière moi sera présent sur le plateau de Savaffrotter tout à l'heure le champion du monde.
00:00:27 Oui, à 15h30 précise ou environ.
00:00:30 On verra, ce sera pendant l'étoile de Bessèges parce qu'on suivra aussi la troisième étape de l'étoile de Bessèges en direct également.
00:00:36 On se retourne vers le SaoudiTour, 65 kilomètres encore à parcourir.
00:00:41 Alors j'ai interrogé tout le monde sur le prono sauf vous Théo Barbéducil.
00:00:44 Mais j'ai l'impression que Christophe Ribelon voulait vous faire prendre Dylan Rolwegen aujourd'hui.
00:00:48 Oui, il m'a fait une passe décisive.
00:00:50 Voilà, c'était facile.
00:00:51 Franchement, on lui a laissé le meilleur.
00:00:54 On va voir ça ensemble.
00:00:57 Donc vous l'avez dit, Claire, il reste moins de 65 kilomètres dans cette étape finale de ce SaoudiTour avec Santiago Buitrago.
00:01:06 Maillot blanc de ce SaoudiTour, il est troisième le jeune Colombien, le puncher de la Bahrain Victorius.
00:01:13 On va peut être s'attarder sur le classement général.
00:01:16 Messieurs, d'ores et déjà pour le rappeler, pour qu'on l'ait tous en tête.
00:01:20 Cette étape qui a un peu bouleversé ce général hier.
00:01:24 Mais finalement, pas tant que ça, puisque aussi les sprinters sont revenus pas si loin que ça.
00:01:29 Hier, après cette bosse incroyable, c'est Ruben Guerreiro, le portugais de la formation Movistar, qui porte donc ce maillot vert de leader avec 8 secondes d'avance sur David Eformolo.
00:01:40 Santiago Buitrago est troisième à 9 secondes.
00:01:43 Félix Gros-Chartner, quatrième et le premier sprinter, c'est Jonathan Milan.
00:01:49 Il est à 24 secondes seulement du leader, sachant qu'il y a des bonifications en cours d'étape à aller chercher.
00:01:57 Il y a encore également 10 secondes à l'arrivée et il y a un secteur gravel où tout peut changer.
00:02:03 Ouais, secteur gravel qui est long, qui va faire plus de 8 kilomètres, qui va situer la sortie.
00:02:07 Elle est à peu près 28 kilomètres de l'arrivée.
00:02:09 Donc c'est clair qu'il risque de se passer des choses.
00:02:12 En tout cas, c'est pas terminé pour le classement général.
00:02:16 Mais c'est vrai que c'est intéressant à noter.
00:02:17 On a quatre profils de grimpeurs aux quatre premières places.
00:02:20 Et puis après, Jonathan Milan et Kees Ball qui sont en 5ème et 6ème position.
00:02:24 Kees Ball aussi, il est à 32 secondes.
00:02:26 On sait qu'il va bien sûr très vite au sprint.
00:02:28 Donc voilà, avec les bonifications, avec peut-être des faits de course,
00:02:31 à un moment donné, il faudra encore être vigile en cette dernière étape.
00:02:34 Et puis Johan aussi, ce qu'il faut préciser, c'est qu'on a des doublettes aussi,
00:02:37 encore bien placées au classement général pour les équipes du World Tour notamment,
00:02:41 puisque Buitrago est accompagné de Milan, puisque Formolo est accompagné de Gros-Chartner.
00:02:45 Voilà, il y a aussi quelques stratégies peut-être à mettre au point dans ces équipes-là.
00:02:50 On le répète tous les jours que le cyclisme, c'est un sport qui se court en équipe.
00:02:53 On va voir aujourd'hui un final à le temps, puisqu'il y a cette partie de gravel.
00:02:57 On va le voir, les coureurs sont partis de Haltown en direction de Maraïa.
00:03:01 On a d'abord descendu en direction du sud, puis on est remonté vers le nord.
00:03:06 Le final, il va être intéressant puisque c'est 8,5 km de gravel.
00:03:10 Et bien, on peut s'attendre à tout.
00:03:11 On peut s'attendre à de la bagarre sur le placement pour rentrer en tête sur le secteur.
00:03:16 On peut s'attendre à avoir des crevaisons.
00:03:17 On en a eu beaucoup depuis ce début de Saoudi Tour.
00:03:20 Un sprint, peut-être une deuxième victoire pour Dylan Groenewegen,
00:03:23 mais aussi Jonathan Milan, le coureur italien, qui nous a surpris hier.
00:03:26 Il a bien passé la bosse, il a limité les dégâts, il arrive à une trentaine de secondes.
00:03:30 Il est en cours en lice pour une victoire sur ce classement général.
00:03:34 Il va y avoir de la bagarre.
00:03:35 Milan, s'il veut aller chercher ce maillot de leader, il y a 13 secondes de bonification à aller chercher.
00:03:40 Ça veut dire qu'il faut qu'il arrive avec 11 secondes d'avance sur Ruben Guerreiro à l'arrivée.
00:03:44 Ou en le piégeant.
00:03:47 Après, à savoir que la bonification est située 8 km après la sortie du secteur gravel.
00:03:52 Donc ça, ça aura aussi son importance.
00:03:54 Ça va aussi donner certainement du mouvement dans cette étape.
00:03:59 Voilà, plein d'incertitudes.
00:04:01 Voilà, il va se passer des choses.
00:04:03 A noter que le sprint final, ça serait une arrivée en léger faux plat montant
00:04:09 puisque à la Franc-Rouge, on est à 816 mètres.
00:04:12 Une arrivée à 846 mètres d'altitude, ça fait un pourcentage de 3% de moyenne.
00:04:18 Donc pas de quoi inquiéter les sprinteurs.
00:04:21 En l'occurrence, Dylan Groenewegen à l'écran, qui a fait un super sprint le premier jour.
00:04:26 Très bien emmené, battu le deuxième jour par Jonathan Milan.
00:04:29 Ça sera aujourd'hui effectivement une des grosses cotes en cas d'arrivée au sprint.
00:04:33 Oui, et puis les faux plats montants, Dylan Groenewegen, il a l'habitude d'en avaler.
00:04:37 On a déjà vu victorieux sur le Tour de France en 2019
00:04:40 avec une arrivée un petit peu en légère montée comme cela.
00:04:43 Bref, pas de quoi l'effrayer aujourd'hui.
00:04:47 En revanche, il n'était pas dans le final hier avec Milan ou avec Bolle.
00:04:50 C'était trop dur.
00:04:51 Oui, il n'a même pas essayé.
00:04:52 On l'a vu rapidement se relever.
00:04:53 Non, clairement, autant Jonathan Milan, il nous a surpris,
00:04:59 mais malgré tout, il avait quand même des références dans les ascensions.
00:05:03 On pensait qu'il en était capable.
00:05:04 Casebol m'a vraiment surpris, mais Groenewegen,
00:05:07 c'était pour moi une certitude qu'il n'allait pas passer hier.
00:05:09 Mais Sgek, en revanche, il a fait une très belle montée aussi.
00:05:12 Il arrive dans le groupe à Milan.
00:05:13 D'ailleurs, il règle le groupe de Jonathan Milan devant Simone Consonni,
00:05:18 l'Italien de la Cofidis.
00:05:19 Donc finalement, il y a encore des choses à faire sur cette dernière étape du Saoudi Tour.
00:05:26 Et on a une échappée, donc je le disais tout à l'heure,
00:05:29 Cicuor qui ouvre la route avec une avance de 1,50 sur le peloton.
00:05:33 On retrouve Marcus Sönderhansen, le porteur du maillot du sprint intermédiaire
00:05:36 pour la formation Uneaux-Expro Cycling Team.
00:05:39 On a également son dauphin dans ce classement
00:05:42 pour l'équipe Euskaltele-Euskadi avec Tchomin Hvaristi.
00:05:45 Et puis, pour la Q36.5 Pro Cycling Team, on a le Polonais Kamil Malecki.
00:05:51 On a un représentant de la formation Bingole, également Belge,
00:05:54 sériel de Salle.
00:05:56 Et puis deux coureurs de la formation Koratek,
00:05:59 Alessandro Iacchi, que l'on a déjà vu à l'avant cette semaine sur ce Saoudi Tour.
00:06:03 Et puis le néerlandais Etienne Van Hempel, habitué des échappées au long cours.
00:06:09 Oui, là on a des coureurs qui sont habitués sur ce type d'échappée.
00:06:13 C'est vrai qu'il y a de l'enjeu pour ce maillot bleu
00:06:16 qui représente le coureur le plus combatif.
00:06:18 Il n'y a pas beaucoup de points qui séparent.
00:06:21 Il y a un point seulement qui sépare.
00:06:22 Il y avait un point ce matin.
00:06:23 Alors il y a eu un sprint intermédiaire que l'on n'a pas vu
00:06:25 puisqu'il a été disputé en début d'étape.
00:06:27 Et c'est Marcus Sanderhansen qui s'est imposé face à Horisti.
00:06:31 Donc ça fait maintenant deux points d'avance.
00:06:32 Il conforte son maillot bleu.
00:06:34 D'ailleurs on le voit à l'écran sur la gauche de votre écran,
00:06:37 le coureur de la formation Inhoix.
00:06:39 Formation très présente depuis ce début de Saoudi Tour.
00:06:41 Également sur les toiles de baissage.
00:06:43 Il va y avoir aussi une lutte pour le maillot rouge.
00:06:46 Le maillot rouge, c'est le maillot des points
00:06:48 puisqu'on a Jonathan Milan qui compte 27 points,
00:06:51 tout comme Dylan Groenewegen.
00:06:53 Et on a quatre coureurs en cinq points d'ailleurs dans ce classement
00:06:55 puisque derrière on a Kees Bol.
00:06:57 Et Sören Varenskog, qui ne sont pas si loin également dans ce classement.
00:07:02 À noter également pour cette formation Inhoix,
00:07:07 on a encore quelqu'un de placé au général avec Jacob Ingsdahl
00:07:12 qui est douzième à 43 secondes.
00:07:15 Pourquoi pas aller chercher un top 10 au général.
00:07:19 Et ce maillot distinctif, c'est aussi important de ramener quelque chose de ces courses.
00:07:23 Bien sûr, c'est important.
00:07:23 C'est toujours important d'aller chercher des accessites,
00:07:26 d'aller chercher des maillots pour les sponsors d'être présents.
00:07:31 Et puis ça met en confiance aussi pour les courses suivantes.
00:07:35 Ils ont gagné une étape Inhoix.
00:07:38 Ils sont allés à troisième avec Varenskog.
00:07:41 Ouais, ouais.
00:07:42 Donc clairement...
00:07:43 On aura un atelier Groschartner également.
00:07:47 Avec Ivan tout à l'heure.
00:07:49 Félix.
00:07:51 Mais clairement, pour l'instant, il est réussi ce Saoudi Tour pour l'équipe Inhoix.
00:07:55 On les a souvent vus à l'avant.
00:07:57 On est en passe d'aller chercher le classement des sprints intermédiaires.
00:08:01 On a gagné une étape.
00:08:03 On a un coureur qui est douzième au général pour l'instant.
00:08:05 Ça se joue qu'à la place pour rentrer dans le top 10.
00:08:07 Il est dans le même temps que Simone Contessoni qui est neuvième.
00:08:10 Donc voilà, tout est possible, tout envisageable pour cette équipe Inhoix.
00:08:13 Un top 10 en tout cas, c'est clairement accessible.
00:08:16 Donc voilà, franchement, ils font un très beau début de saison.
00:08:20 C'est une équipe qui grandit d'année en année.
00:08:24 Ils ont toute leur place dans ce peloton international.
00:08:26 Et on rappelle qu'ils seront invités au Tour de France.
00:08:29 Et en parlant d'invité, une image.
00:08:32 Pardon ?
00:08:32 Vous avez vu en parlant d'invité ?
00:08:34 Ah ouais, là, il y a un sacré invité ce soir.
00:08:36 Est-ce que lui, il sera au Tour de France ?
00:08:38 J'ai amené mon petit cahier pour les dédicaces.
00:08:41 15h30, c'est le soir ?
00:08:43 Non, c'est l'après-midi.
00:08:45 On rappelle donc Remco Evenpool, le champion du monde belge
00:08:49 et vainqueur de la Vuelta la saison dernière,
00:08:51 qui sera en direct avec nous sur le plateau, avec Claire Bréconne
00:08:54 et nous tous pendant l'étoile de Bessèges.
00:08:57 C'est super.
00:08:58 Et j'allais dire, on a une vue un peu surprenante, délico.
00:09:03 Habituellement, c'est l'équipe du leader qui roule en tête de peloton.
00:09:07 Normalement, ça serait l'équipe Movistar qui est censée prendre la poursuite.
00:09:12 Et pour autant, c'est la formation Bahrain-Victorioz qui roule
00:09:15 en compagnie de la formation Jayco Alula de Dylan Gronweggen.
00:09:19 Ça veut dire quoi ?
00:09:20 Des ambitions ?
00:09:21 On veut renverser les choses ?
00:09:23 C'est cette formation Bahrain-Victorioz ou c'est juste pour l'étape ?
00:09:25 Ah non, on a des ambitions pour l'étape,
00:09:27 mais je pense qu'on veut aussi arriver au secteur gravel
00:09:30 avec le moins d'écart possible avec l'échappée
00:09:33 pour tout simplement créer de la course.
00:09:34 Je pense clairement que c'est un objectif.
00:09:36 En tout cas, pour l'équipe Movistar, il n'y a pas de...
00:09:41 C'est logique, en fait.
00:09:42 Pour l'équipe Movistar, laisser se développer une échappée à l'avant
00:09:45 avec des coureurs qui sont loin au classement général,
00:09:46 c'est dans leur intérêt.
00:09:48 Par contre, ce n'est pas du tout dans l'intérêt de l'équipe Jayco
00:09:51 ni dans l'intérêt de l'équipe Bahrain.
00:09:53 C'est logique la situation qu'on voit,
00:09:55 à voir ce qu'il va se passer, si c'est que pour l'étape
00:09:58 ou si c'est aussi pour créer du mouvement sur ce secteur gravel.
00:10:01 À noter que ce secteur gravel, on découvrira des images tout à l'heure,
00:10:05 il n'y a pas de dénivelé, il n'y a pas de pente dans ce secteur gravel.
00:10:09 C'est un secteur empierré et ensablé
00:10:13 sur lequel il s'est passé des choses.
00:10:15 En tout cas, l'année dernière,
00:10:19 on va profiter de cette belle vue pour marquer une première pause.
00:10:23 On se retrouve dans quelques instants
00:10:25 pour la suite de cette dernière étape du Saoudi Tour.
00:10:27 À tout de suite.
00:10:28 La cinquième et dernière étape de ce Saoudi Tour
00:10:35 entre la vieille ville d'Aloula et Maraïa,
00:10:37 où nous avons pris le départ, notamment de l'étape Rennes d'hier.
00:10:41 Alors que vous apercevez à l'image,
00:10:42 Cazebol, le sixième du classement général,
00:10:45 qui aura un rôle à jouer, c'est en tout cas la prédiction.
00:10:48 De Johan Offredo, tout à l'heure.
00:10:50 Oui, prédiction, parce que le coureur d'Astana
00:10:53 fait un très bon début de saison sur ce Saoudi Tour.
00:10:58 Il est présent dans les sprints.
00:11:00 On rappelle qu'il est nouveau dans cette équipe Astana.
00:11:04 Qui a fait de la place pour les arrivées de Mark Cavendish et donc de Cazebol.
00:11:09 Oui, tout à fait. Ces deux coureurs risquent de courir souvent ensemble.
00:11:13 Certainement, Cazebol va être le poisson pilote de Mark Cavendish.
00:11:15 On rappelle la petite gymnastique.
00:11:17 Il y avait des coureurs prévus pour intégrer cette équipe Astana au niveau du World Tour.
00:11:23 Et on les a fait redescendre dans l'équipe développement pour laisser la place.
00:11:28 Il devait être content.
00:11:30 À Mark Cavendish et donc à Cazebol.
00:11:33 Après, c'est un peu la même chose qu'avec Axel Lorenz chez Alpecin de Caninque.
00:11:39 Mais ça ne veut pas dire que...
00:11:41 En fait, oui, c'est une petite gymnastique,
00:11:42 mais ce n'est pas parce qu'on est dans l'équipe développement.
00:11:44 D'ailleurs, ça va être le cas pour Axel.
00:11:46 Pierre nous en a parlé en avant-course.
00:11:48 Il va faire quasiment 90 % de son programme avec la World Tour.
00:11:51 Je ne savais pas que quand tu étais dans la Conti, dans l'équipe réserve,
00:11:57 tu pouvais aller courir avec la World Team.
00:11:58 Tu peux aller courir avec la World Team.
00:12:00 La groupe Amel l'a fait beaucoup l'année dernière.
00:12:01 Avec ses jeunes, notamment sur la Coupe de France.
00:12:04 Et inversement, les coureurs de la World Tour peuvent aussi aller courir sur des épreuves.
00:12:10 Je ne sais pas s'il y a un nombre de courses limités.
00:12:12 Ce qui est sûr, c'est que les équipes World Tour qui ont une équipe de développement
00:12:19 vont très régulièrement piocher dans leur équipe de développement
00:12:21 pour aller courir sur certaines courses.
00:12:23 On l'avait vu la saison dernière avec Oscar Onley,
00:12:25 notamment la formation DSM en fin de saison.
00:12:28 On avait vu accumuler les bons résultats, notamment en Croatie.
00:12:32 Et puis là, Oscar Onley, il a fait le jump.
00:12:35 Ce n'était pas forcément prévu, notamment en fin de saison dernière.
00:12:37 Il devait rester une saison de plus dans cette équipe de développement.
00:12:40 Et finalement, on l'a fait passer pro cette année.
00:12:43 C'est très bien qu'il y ait des équipes de développement.
00:12:45 C'est très bien qu'il y ait des clubs formateurs aussi,
00:12:48 à l'image du Vendée-U en France,
00:12:50 qui permettent aux coureurs ensuite d'intégrer la team Total Energy.
00:12:55 Il y a l'équipe réserve de Chambéry.
00:12:58 Formation qui ne sont pas des équipes continentales,
00:12:59 mais qui sont des équipes de DN1.
00:13:02 Mais ça permet déjà d'avoir un vivier, un berceau de coureurs qu'on forme
00:13:09 et qu'on amène vers le haut niveau petit à petit.
00:13:13 À ce propos, pour votre curiosité,
00:13:16 vous pouvez aller voir l'interview d'Anthony Ravard,
00:13:18 qui est le directeur sportif de l'équipe Nantes Atlantique.
00:13:20 Il est manager même.
00:13:21 Manager, oui, c'est vrai.
00:13:23 Manager.
00:13:24 Soyons précis, il a donné une interview à nos confrères de Direct Vélo la semaine dernière,
00:13:30 où il expliquait justement que son équipe était aussi faite pour faire monter des jeunes
00:13:34 et qu'il y avait un désir de formation.
00:13:39 On sait qu'Axel Mario, par exemple, faisait partie de cette équipe-là.
00:13:42 Il a signé chez Cofidis cette saison et il a pris la 7e place hier.
00:13:46 Belle performance.
00:13:47 Voilà, très belle performance,
00:13:48 même s'il avait malheureusement perdu un peu de temps en début de semaine.
00:13:51 Aller faire 7e sur une course, vous voyez, par l'image,
00:13:55 montre Simone Consoni de cette équipe Cofidis.
00:13:58 Mais voilà, quel enseignement pour Axel Mario,
00:14:02 qui était certes dans un second rideau hier,
00:14:05 mais c'est une solide performance à ce niveau-là pour sa première course.
00:14:09 D'ailleurs, on le rappelle avec la formation nord-ouest.
00:14:11 Oui, c'est une très belle performance.
00:14:14 Être à ce niveau-là sur l'étape d'hier,
00:14:17 on avait quand même des très bons grimpeurs à l'avant.
00:14:20 Alors certes, il se retrouve avec Jonathan Milan, Kees Ball,
00:14:24 qui ne sont pas des grands grimpeurs, mais malgré tout,
00:14:27 il n'y a pas tant de coureurs que ça hier qui passent à l'avant.
00:14:30 Et lui, il était là, donc c'est très important.
00:14:33 On en a régulièrement parlé depuis le début de ce Saoudi Tour,
00:14:35 mais commencer la saison sur des bons rails, avec déjà des résultats,
00:14:41 c'est hyper important pour la suite de la saison.
00:14:43 Et puis, ça lui donne confiance.
00:14:46 Il s'affirme au sein de sa nouvelle équipe Cofidis.
00:14:50 C'est quand même un vrai marqueur.
00:14:53 Dès le début de saison, comme ça, une recrue a des résultats.
00:14:57 Ça la positionne bien dans l'équipe.
00:15:01 C'est Cédric Vasseur qui a fait un bon choix de recrutement.
00:15:07 Ça montre au staff qu'il est présent.
00:15:10 Je trouve ça hyper intéressant.
00:15:12 On verra sur la suite de la saison ce que ça va donner.
00:15:15 Mais on sait déjà au sein de l'équipe Cofidis qu'on a fait une bonne recrue.
00:15:22 - En parlant de début, sous ces nouvelles couleurs,
00:15:25 c'est le cas d'Axel Mario, mais c'est également le cas du leader du Saoudi Tour,
00:15:30 Ruben Guerreiro, qui dispute sa première course sous les couleurs de sa nouvelle équipe,
00:15:35 la Movistar, après trois ans passés chez EF Education First.
00:15:39 Je vous propose d'écouter Ruben Guerreiro,
00:15:41 qui est au micro de l'organisation sur son début de saison,
00:15:44 et c'est sa nouvelle équipe, la Movistar.
00:15:47 On écoute Ruben Guerreiro.
00:15:49 - C'est ma première année chez Movistar.
00:15:53 Je suis super reconnaissant envers toute l'équipe, envers le directeur sportif.
00:15:59 Je suis arrivé dans une famille et je me suis tout de suite senti bien.
00:16:02 J'ai fait le bon choix.
00:16:05 L'an dernier, j'avais bien travaillé avec Education First.
00:16:08 Je suis aussi reconnaissant envers eux.
00:16:11 Mais je suis surtout très content d'avoir pu offrir cette victoire à l'équipe et à ma famille.
00:16:18 - Et Ruben Guerreiro, qui a passé trois ans, je vous le disais,
00:16:21 dans la formation de Jonathan Voters, avec des succès.
00:16:25 Un maillot de meilleur grimpeur sur le Giro, une étape également à Rocarazo en 2020.
00:16:31 Je ne sais pas si vous vous en souvenez, Christophe, il ne faisait pas très beau.
00:16:34 - Il faisait très moche, même.
00:16:36 Il faisait même très moche.
00:16:38 Non, mais Ruben Guerreiro, c'est un coureur que nous, en tant que commentateur,
00:16:43 on le coche tout le temps sur une start list.
00:16:45 On sait qu'il est précieux dans une équipe.
00:16:49 Il est capable de faire des gros résultats.
00:16:51 Quand il est dans une échappée, il est redoutable.
00:16:54 C'est un très bon coureur.
00:16:56 Et là, ce qui est aussi intéressant, on en parlait juste avant, des nouvelles recrues.
00:17:01 Il arrive dans sa nouvelle équipe et là, il est en phase de...
00:17:04 Déjà, il a gagné.
00:17:05 Et en plus, il est en phase de...
00:17:07 Voilà, on voit les images.
00:17:09 - Ça, c'est le Mont Ventoux des niveaux de challenge.
00:17:12 - Mais là, il est en phase de remporter sa première course qu'il effectue
00:17:15 avec sa nouvelle équipe Movistar.
00:17:16 Donc voilà, j'en parlais juste avant, mais c'est important quand on arrive comme ça
00:17:19 dans une nouvelle équipe de tout de suite marquer son emploi,
00:17:22 de marquer les esprits, d'autant plus que lui, en l'occurrence,
00:17:25 je pense qu'on l'a recruté pour ça.
00:17:26 Pour gagner des courses d'un jour, enfin pour gagner des étapes,
00:17:29 des courses d'un jour, mais aussi pour gagner des courses par étapes.
00:17:32 Donc s'il arrive dès la première course à scorer comme ça, c'est hyper intéressant.
00:17:36 - Il avait remporté ce Mont Ventoux des niveaux de challenge devant Esteban Chavez.
00:17:40 - Avec 53 secondes d'avance.
00:17:43 - Lui aussi qui roulait pour cette formation Indication Force, il avait eu un doublé.
00:17:47 - Il a eu un double, il a eu un double.
00:17:49 - Il a eu un double, il a eu un double.
00:17:51 - Il a eu un double, il a eu un double.
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00:18:00 - Il a eu un double, il a eu un double.
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00:26:45 - Il a eu un double, il a eu un double.
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00:28:03 - Il a eu un double, il a eu un double.
00:28:09 - Il a eu un double, il a eu un double.
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00:37:51 - Il a eu un double, il a eu un double.
00:37:57 - Il a eu un double, il a eu un double.
00:38:03 - Il a eu un double, il a eu un double.
00:38:09 - Il a eu un double, il a eu un double.
00:38:15 - Il a eu un double, il a eu un double.
00:38:21 - Il a eu un double, il a eu un double.
00:38:27 - Il a eu un double, il a eu un double.
00:38:33 - Il a eu un double, il a eu un double.
00:38:39 - Il a eu un double, il a eu un double.
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00:38:51 - Il a eu un double, il a eu un double.
00:38:57 - Il a eu un double, il a eu un double.
00:39:03 - Il a eu un double, il a eu un double.
00:39:09 - Il a eu un double, il a eu un double.
00:39:15 - Il a eu un double, il a eu un double.
00:39:21 - Il a eu un double, il a eu un double.
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00:41:09 - Il a eu un double, il a eu un double.
00:41:15 - Il a eu un double, il a eu un double.
00:41:21 - Il a eu un double, il a eu un double.
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00:42:09 - Il a eu un double, il a eu un double.
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00:42:21 - Il a eu un double, il a eu un double.
00:42:27 - Il a eu un double, il a eu un double.
00:42:33 - Il a eu un double, il a eu un double.
00:42:39 - Il a eu un double, il a eu un double.
00:42:45 - Il a tapé le genou dans la potente.
00:42:51 - Il a tapé la route.
00:42:57 - Le contact dans le nerf du genou.
00:43:03 - J'ai vu des coureurs qui abandonnent.
00:43:09 - C'est très douloureux.
00:43:15 - C'est très douloureux.
00:43:21 - Il relance, c'est échappé.
00:43:27 - C'est fini.
00:43:33 - C'est fini pour le secteur gravel.
00:43:39 - Qui va prendre la tête de ce peloton ?
00:43:45 - Est-ce qu'il y a des équipes qui vont être intéressées pour aller chercher les hommes de tête ?
00:43:51 - On a perdu près d'une minute de vent sur le peloton.
00:43:57 - Il faut chercher les hommes de tête avant le sprint de bonification qui intervient à 20 km de l'arrivée.
00:44:03 - On avait pensé à Jonathan Milane pour venir chercher 3 secondes.
00:44:09 - Il faudrait qu'il gagne l'étape pour reprendre 10 secondes de bonification.
00:44:15 - Il faudrait qu'il arrive avec une dizaine de secondes d'avance en prenant le sprint de bonification et les bonifications à l'arrivée.
00:44:21 - Ça ne lui suffirait pas pour gagner une place.
00:44:27 - Il peut doubler Groschartner qui est 6 secondes devant lui.
00:44:33 - C'est Michael Asparen de cette formation.
00:44:39 - On attaque dans ce peloton avec Marc DENOVAN.
00:44:45 - Il y a des offensives.
00:44:51 - On a encore une vingtaine de secondes qui sont dans la même minute.
00:44:57 - Sur une course de vélo, tout est jouable.
00:45:03 - C'est la première grande attaque d'envergure.
00:45:09 - On voit le britannique de cette formation.
00:45:15 - Le jeune britannique de 23 ans qui tente d'initier un mouvement de course.
00:45:21 - Malheureusement, il n'a pas été suivi par d'autres coureurs.
00:45:27 - Son objectif est de retomber sur les hommes de tête et peut-être faire la bonification.
00:45:33 - Il peut rentrer dans le top 10.
00:45:39 - S'il prend une seconde, ça le propulserait à la 9ème place du classement.
00:45:45 - Pour ces équipes nouvellement créées de cette 2ème division du cyclisme mondial,
00:45:51 - Un top 10 sur une course de cette envergure, ça se prend et ça va surtout se chercher.
00:45:57 - On va peut-être voir des équipes importantes qui vont rouler pour revenir sur un top 10.
00:46:05 - Le sprint bonif est dans 6km.
00:46:11 - Il faut déjà aller chercher les hommes de tête.
00:46:17 - Son coéquipier Kamil Maliki ne pourrait pas se relever ?
00:46:23 - Il est au courant.
00:46:29 - On a les oreillettes.
00:46:35 - Si l'objectif est d'aller chercher une bonification dans 5,6km,
00:46:41 - Il faut absolument que son coéquipier se relève à l'avant pour lui finir un coup de main.
00:46:47 - Il n'y a pas de réseau depuis le début de ce Saoudi Tour.
00:46:53 - La transmission dans les oreillettes est un peu en panne.
00:46:59 - On va tourner une première fois sur la droite et après on aura une longue ligne droite.
00:47:05 - Pour ne pas beaucoup changer, on va chercher le sprint de bonification.
00:47:11 - Et juste après le sprint de bonification, les coureurs font une épingle à cheveux.
00:47:19 - Et là on aura un nouveau changement de direction pour redescendre vers le nord.
00:47:25 - Direction l'arrivée à Maraïa.
00:47:29 - On voit l'attaque au ralenti de Marc DENOVAN.
00:47:35 - Il fait un peu la feinte de se ravitailler dans la brèche.
00:47:39 - Il a 15 secondes d'avance sur la tête de peloton.
00:47:45 - Il faudrait que son coéquipier se relève à l'avant.
00:47:51 - Il a l'air d'être en jambe, mais il a tout de suite fait le trou.
00:47:57 - Il est ancien pensionnaire du World Tour,
00:48:03 - Il était passé professionnel dans la formation Sunweb, désormais DSM.
00:48:09 - Avec une participation au Tour de France, notamment en 2021.
00:48:15 - Il avait pris la 45ème place du classement général.
00:48:21 - Regardez, changement de physionomie en tête de course, c'est désormais les coureurs de la formation Jake Cotter.
00:48:27 - Les oreillettes fonctionnent !
00:48:31 - Camille MANECCHI se relève pour attendre Marc DENOVAN.
00:48:35 - Il faut dire que les voitures sont derrière le peloton.
00:48:39 - Il y a une grosse minute entre les voitures et les hommes de tête.
00:48:45 - Les radios ont une portée. En Europe, oui.
00:48:51 - Dans les voitures, on a des radios qui portent très loin.
00:48:55 - Là-bas, on n'a pas les mêmes.
00:48:59 - Il a parlé à la radio.
00:49:03 - On est en pleine réflexion, en incompréhension.
00:49:07 - On était peut-être un peu loin pour communiquer avec les coureurs dans l'échappée.
00:49:15 - Il ne passe plus de relais, il ne collabore plus dans l'échappée.
00:49:19 - Quand on a un coureur en contre, il va falloir chasser.
00:49:23 - Il devrait se relever.
00:49:27 - Il faut aider son leader.
00:49:31 - Il est le leader de cette équipe.
00:49:35 - Il faut aller lui filer un coup de main.
00:49:39 - Il y a des bonifications à prendre.
00:49:43 - Ce serait dommage de rester là jusqu'à la bonification.
00:49:47 - Terge d'hiver.
00:49:51 - Pas de décision prise par le Polonais.
00:49:55 - Le Polonais qui se laisse glisser en queue de groupe.
00:49:59 - Le travail qui est toujours fait par Jamin Roy-Ristie, Marcus Sander-Hansen,
00:50:03 - Par Seriel Desalle, Alessandro Iacchi et Etienne Vornempel.
00:50:07 - Roy-Ristie qui lui a fait un signe.
00:50:21 - Il lui a demandé pourquoi il ne passe plus.
00:50:23 - On a la formation.
00:50:27 - La voiture du directeur de course qui est montée à la hauteur des échappées pour leur faire signe.
00:50:31 - Alors que c'est Jonathan de Milan qui a sa voiture.
00:50:35 - Il va chercher une petite barre. On se ravitaille. On prépare le final.
00:50:39 - On demande quelques conseils.
00:50:43 - C'est un des derniers moments pour se ravitailler.
00:50:47 - Dans les 21 km, on n'a plus le droit au ravitaillement.
00:50:51 - On se ravitaille un peu plus tard.
00:50:55 - Ça arrive régulièrement, surtout quand il fait chaud ou froid.
00:50:59 - La formation de Jaco Alula.
00:51:03 - De Dylan Gronovegan qui est désormais à la barre.
00:51:07 - Sur une arrivée massive, à part Jonathan de Milan,
00:51:11 - Il n'y a pas grand monde qui peut battre Dylan Gronovegan.
00:51:15 - On ne les avait pas vus collaborer avec l'équipe Bahrein depuis tout à l'heure.
00:51:19 - On a mis un coureur à rouler.
00:51:23 - L'écart est toujours de 50 secondes. Il est sur les 6 hommes de tête.
00:51:27 - Où en est Marc DENOVAN ?
00:51:31 - Il est entre les deux. Sur la vue délico.
00:51:35 - C'est pas possible. J'ai du mal à comprendre les stratégies de course.
00:51:39 - Marc DENOVAN se lance dans quelque chose qui est très valorisant.
00:51:43 - Il veut aller faire une bonne if.
00:51:47 - Il a fait un bon départ.
00:51:51 - On a vu Jonathan de Milan à la voiture.
00:51:55 - Ce n'est pas des petits efforts superflus d'aller remonter tout seul dans le vent ?
00:51:59 - Pour se remettre dans les premières positions ?
00:52:03 - C'est peut-être anecdotique.
00:52:07 - A l'échelle d'une étape de 140-145 km.
00:52:11 - C'est pas si anecdotique que ça.
00:52:15 - On a besoin de se déconnecter de la course.
00:52:19 - On a besoin de s'extraire du peloton.
00:52:23 - Descendre à la voiture, discuter de visu avec son directeur sportif.
00:52:27 - On se détache même de 1 minute de la course du peloton.
00:52:31 - On a passé le gravel.
00:52:35 - Il n'y a eu pas grand-chose.
00:52:39 - Il préfère lui-même.
00:52:43 - C'est un bon élève qui a fait le choix de descendre à la voiture.
00:52:47 - Ça lui coûte un peu d'énergie.
00:52:51 - Il a pu échanger.
00:52:55 - Et l'échappé qui passe à 500 mètres de ce sprint bonifié.
00:52:59 - Pour Marc Donovan, ce sera impossible d'aller chercher les points de la bonif.
00:53:03 - Son collègue repasse.
00:53:07 - Le Polonais Kamim Malewski reprenait des relais.
00:53:11 - C'est important les débriefings sur les courses.
00:53:15 - On part sur un début de saison avec des malentendus.
00:53:19 - Il faut corriger tout ça.
00:53:23 - Marcus Sander en scène dans la roue de Chomin Roiristi.
00:53:27 - Ces 6 hommes n'ont pas grand intérêt à aller se disputer cette bonif.
00:53:31 - C'est Roiristi qui est passé tranquillement en tête.
00:53:35 - Ces 6 hommes de tête sont en train de se battre.
00:53:39 - Ces 6 hommes de tête sont très loin au classement général.
00:53:43 - On rappelle qu'on est dans une magnifique après-midi de cyclisme.
00:53:57 - La 3e étape de l'étoile de baissage qui vous attend.
00:54:01 - Il y aura aussi Remco Evenpool, le champion du monde,
00:54:05 - qui va frotter à 15h30 pendant la 3e étape de l'étoile de baissage.
00:54:09 - On est sur un circuit autour de baissage,
00:54:13 - une étape difficile,
00:54:17 - une étape qui a parfois dessiné le classement général.
00:54:21 - Des coureurs sont en tête,
00:54:25 - qui viennent de passer la ligne d'arrivée.
00:54:29 - Yadris De Bonte, ancien champion de Belgique,
00:54:33 - qui est en forme. Thomas Chantion aussi pour l'équipe Cofidis.
00:54:37 - On retrouve d'autres Français, comme Damien Girard ou Paul Lanniquin.
00:54:41 - On se retrouvera après la fin du SaoudiTour,
00:54:45 - parce qu'on va suivre le final de cette 5e et dernière étape en direct.
00:54:49 - A tout de suite.
00:54:53 - Les 15 derniers kilomètres de ce SaoudiTour 2023,
00:54:59 - avec Ruben Guerreiro qui devrait être à la birerie,
00:55:03 - pour ce maillot de leader.
00:55:07 - On est résigné dans le peloton ?
00:55:11 - On n'a pas tenté grand diable dans ce secteur gravel.
00:55:15 - Malheureusement, c'est vrai qu'il devrait se jouer au sprint aujourd'hui.
00:55:19 - On l'a vu sur l'incruste tout à l'heure, il n'y a pas beaucoup de vent,
00:55:23 - on n'a pas pu bordurer, du coup on retrouve en tête les coureurs de la formation.
00:55:27 - Djeyko Aloula, puisque Dylan Gronewagen va essayer d'aller chercher une 2e victoire d'étape sur ce SaoudiTour.
00:55:35 - A moins qu'il tombe sur un os, en l'occurrence Jonathan Milan.
00:55:39 - Ils sont à égalité de points pour le maillot rouge, 27 points chacun.
00:55:43 - C'est le classement par points de ce SaoudiTour.
00:55:47 - C'est Alexandre Balmer, le Suisse, qui roule pour Dylan Gronewagen à l'avant de ce peloton.
00:55:51 - On a apercevé Jonathan Milan en 6e position,
00:55:55 - et on a aussi l'équipier de Ruben Guerreiro, qui sont eux un peu plus loin.
00:56:01 - C'est la seule équipe de sprint qui roule à l'avant du peloton.
00:56:05 - Tout à l'heure on avait des coureurs de l'équipe pareil,
00:56:07 - là maintenant il n'y a plus que l'équipe Djeyko Aloula,
00:56:09 - donc on laisse complètement la charge de la poursuite au coéquipier de Dylan Gronewagen.
00:56:15 - Est-ce que la DSM de Kasper Van Uden va faire un peu mieux que ses 2 premières sorties de ce SaoudiTour ?
00:56:23 - C'est la question, on ne les a pas du tout vus aujourd'hui.
00:56:27 - Non, on ne les a pas du tout vus.
00:56:29 - Je vais même corriger un peu. Est-ce que la DSM va faire mieux ?
00:56:34 - Moi je trouvais qu'elle a très bien fait la DSM, c'est Kasper Van Uden.
00:56:36 - Est-ce que Kasper Van Uden en personne va faire mieux ?
00:56:39 - Parce que franchement, il n'y a pas grand chose à reprocher à ses coéquipiers.
00:56:42 - Ils étaient là où il fallait être, ils l'ont placé où il fallait être placé,
00:56:47 - après c'était Kasper Van Uden qui était défaillant.
00:56:50 - Mais oui, c'est sûr et certain, on va les revoir à l'avant de ce peloton dans les derniers kilomètres.
00:56:56 - On les a vus tous les jours, même si notamment sur l'étape d'hier, ils n'avaient pas de grosses ambitions.
00:57:04 - On les a vus quand même à l'avant, tentés de bien se positionner.
00:57:09 - Donc aujourd'hui, clairement, on va les revoir.
00:57:11 - Et puis même si ça ne fonctionne pas, au moins on trouve des automatismes,
00:57:14 - on se rassure pour les prochaines sessions.
00:57:16 - On va noter que Marc DENOVAN a été repris par le peloton.
00:57:20 - Il y a de cela quelques instants, il n'y a plus d'homme intercalé entre ces 6 hommes de tête,
00:57:26 - qui comptent toujours 32 secondes d'avance, et le peloton.
00:57:30 - C'est ce qu'on disait tout à l'heure, c'était une belle initiative de Marc DENOVAN,
00:57:33 - d'essayer d'anticiper, de sortir pour aller chercher la bonne if et d'intégrer le top 10.
00:57:38 - Malheureusement, tentative avortée, ils ne sont désormais plus que 5 à l'avant,
00:57:42 - puisque le coureur de l'équipe Koratec a été distancé à 12,8 km de l'arrivée.
00:57:49 - Seriel Desal tente de relancer un petit peu ce groupe.
00:57:54 - Petit faux-plat-montant.
00:57:56 - On n'a pas eu beaucoup aujourd'hui, c'était assez rectiligne.
00:58:00 - Marcus Sönderhansen qui va remporter ce maillot distinctif des sprints intermédiaires.
00:58:07 - Le Danois de cette équipe InnoX.
00:58:11 - Etienne Van Hempel qui s'est relevé de ce groupe de tests.
00:58:17 - Qui se sont relevés certainement aussi.
00:58:19 - Là on est plutôt dans une situation assez limpide.
00:58:27 - On va préparer le sprint du côté de toutes ces équipes intéressées par la victoire d'étape.
00:58:32 - On rappelle la présence de Kees Bol pour l'équipe Astana,
00:58:36 - de Søren Varenskogd pour l'équipe InnoX,
00:58:39 - de Pascal Ackermann peut-être pour l'équipe InnoX qui s'est sans doute remis
00:58:43 - un petit peu de ses déboires du début de semaine et qui sera peut-être dans cet emballage final.
00:58:47 - Ça allait mieux que quand on se débute de SaoudiTour.
00:58:51 - On rappelle qu'il a été malade Pascal Ackermann,
00:58:53 - un sprinter allemand qui est très en forme normalement sur ce genre de début de saison.
00:58:58 - On a évidemment Jonathan Milan pour la Bahrein Victorious,
00:59:02 - on a cité Kasper Von Hüden pour la DSM,
00:59:05 - Simone Kondzoni,
00:59:06 - Oui, le grand favori Dylan Groenewegen,
00:59:08 - et Max Valcheid également pour la Coffee 10.
00:59:11 - On citera peut-être en fonction du travail qu'il a accompli aujourd'hui,
00:59:16 - Max Kanter pour la Movistar.
00:59:18 - Exactement, d'ailleurs j'étais en train de me demander pourquoi la Movistar roulait,
00:59:21 - puisqu'il n'y a personne de dangereux au classement général parmi les 5 hommes de tête,
00:59:26 - mais ils ont en leur sein un très bon coureur,
00:59:29 - le jeune coureur allemand Max Kanter qui a fait de beaux accès-sites depuis le début de SaoudiTour.
00:59:34 - Et du coup il y a seulement 2 coureurs qui roulent en tête de peloton.
00:59:37 - Un coureur de la formation Jayco et un coureur de la formation Movistar.
00:59:40 - Donc ça fait 2 coureurs pour boucher l'écart sur 5 coureurs qui sont en tête actuellement.
00:59:46 - Oui, Oscar Rodriguez pour la Movistar et donc je le disais,
00:59:48 - Alexandre Balmeur pour la Jayco Alhoula.
00:59:51 - On a vu qu'on y croit encore, on passe des relais bien appuyés.
01:00:01 - Le petit coup de coude pour montrer qu'on en a fait assez en tête.
01:00:08 - C'est une étherpe relativement courte, on l'appelle 143 km, mais assez intense.
01:00:15 - On met la main à la poche, très important dans le final des étapes,
01:00:20 - d'autant plus que sur une course à étapes on accumule la fatigue.
01:00:24 - Il faut faire monter la glycémie petit à petit, en tout cas pas la faire baisser.
01:00:28 - Bien s'alimenter, bien s'hydrater, très important.
01:00:31 - On résiste plutôt bien à l'avant, l'entente est bonne.
01:00:39 - Depuis le début de cette retransmission.
01:00:42 - On essaie de s'organiser, d'allier ses forces pour aller le plus loin possible.
01:00:46 - Et on commence à se replacer, regardez le petit train bleu là,
01:00:49 - pour Kaysbol sur la droite de la route.
01:00:52 - C'est un tout petit train.
01:00:54 - On a été un petit peu découpés.
01:00:55 - On a les DSM aussi, juste à côté, qui sont déjà regroupés, on en parlait tout à l'heure.
01:00:59 - Alors là, c'est une configuration vraiment dans un final,
01:01:04 - avec cette équipe du leader Ruben Guerrero, la Movistar,
01:01:08 - qui se situe en tête de peloton.
01:01:11 - Les équipiers des sprinters qui vont venir se replacer.
01:01:15 - Pourtant devant on prend quand même du vent, comparé au ventre mou.
01:01:19 - On va voir cette formation de Jayko Aloula,
01:01:22 - qui elle sait très bien faire le travail.
01:01:25 - Ils vont venir se replacer vraiment au dernier moment,
01:01:27 - pour profiter de ce peloton, de cet abri.
01:01:30 - On consomme beaucoup moins d'énergie, on développe beaucoup moins de watts,
01:01:34 - et surtout qu'on voit que les routes sont larges.
01:01:37 - On va pouvoir remonter un peu au dernier moment.
01:01:41 - Parce que regardez, on ne voit pas Dylan Groenewegen.
01:01:46 - Il est un peu plus en retrait.
01:01:48 - Il ne fait pas partie de ses corps de la Jayko Aloula,
01:01:53 - que vous apercevez en bas de votre écran.
01:01:55 - Il y a Reinders, il y a Stibart, mais il n'y a pas Dylan Groenewegen.
01:02:00 - Dylan Groenewegen a pris le parti de rester un peu plus en retrait,
01:02:05 - certainement pas très loin de Jonathan Milan,
01:02:08 - son principal adversaire sur ce sprint aujourd'hui.
01:02:11 - A noter dans cette équipe Jayko Aloula, c'est la 10ème place de Luca Mesgec,
01:02:17 - au classement général, qui est plutôt préposé poisson pilote de Dylan Groenewegen sur les sprints.
01:02:23 - Oui, complètement, il est clairement là.
01:02:26 - Et puis on l'a vu très bien faire son travail sur les deux premières étapes.
01:02:30 - Il avait déposé aux 200 mètres sur la première étape.
01:02:36 - Dylan Groenewegen, il ne lui restait plus que 180 mètres d'effort à faire en tête.
01:02:44 - Jonathan Milan, encore à l'abri dans ce peloton.
01:02:48 - Il y a dans sa roue Santiago Buitrago, le maillot blanc.
01:02:51 - Ils ne sont que 102 coureurs au départ de cette dernière étape du Saoudi Tour,
01:02:56 - ce qui permet tout simplement de remonter beaucoup plus facilement.
01:03:00 - Oui, c'est le cas maintenant avec Maciej Jouk et Andrija Pasqualone,
01:03:04 - notamment pour ramener Jonathan Milan dans les premières étapes.
01:03:07 - Et puis on a vu que les deux premiers coureurs sont très bien préparés.
01:03:11 - Andrija Pasqualone notamment pour ramener Jonathan Milan dans les premières positions.
01:03:15 - Sur la gauche de votre écran. - Avec Rayović également.
01:03:18 - 8 km/h, 30 secondes. - Oui, ce n'est pas fait encore.
01:03:29 - On a vraiment mal à aller les chercher. - On n'a pas fait, mine de rien.
01:03:31 - On va vraiment aller les chercher sur le final.
01:03:33 - Si on va les chercher, les hommes de tête...
01:03:36 - Il y a le fameux théorème de Chapate qui dit qu'il faut une minute à 10 km de l'arrivée,
01:03:42 - sauf que les hommes de tête sont depuis le début de l'étape devant.
01:03:47 - Et là on a des hommes frais qui viennent se porter à l'avant du peloton,
01:03:50 - qui eux sont restés à l'abri pour la plupart des coureurs dans le peloton au chaud.
01:03:56 - Et donc ils ont beaucoup plus de force, beaucoup plus de fraîcheur.
01:03:59 - On les voit au loin, ça leur fait un objectif en plus.
01:04:03 - Il ne va pas falloir tarder pour se mettre en rond.
01:04:07 - Oui, parce que finalement 7 km/h, 30 secondes.
01:04:12 - Ils sont quand même encore 5 devant. - Oui, ils sont 5.
01:04:16 - Après là, on le voit, on est quand même sur des routes où c'est facile de s'organiser pour un peloton.
01:04:21 - Je dirais que si on était en Europe avec une arrivée en ville tortueuse,
01:04:25 - je ne vais pas dire que c'est complètement jouable,
01:04:28 - mais en tout cas ce serait beaucoup plus jouable que là.
01:04:30 - Ça paraît beaucoup comme ça, mais malgré tout.
01:04:33 - Et puis là on le voit maintenant.
01:04:35 - Alors autant que tout à l'heure, il n'y avait que 2 coureurs qui roulaient,
01:04:37 - un de l'équipe Movistar, un de l'équipe J-E.
01:04:39 - Là on voit que maintenant, beaucoup d'équipes qui sont à l'avant.
01:04:41 - L'équipe UAE, nouvelle venue, en tête de peloton avec Gerd Langen.
01:04:44 - Donc là, naturellement, le peloton va maintenant rouler beaucoup plus vite.
01:04:48 - Il prend beaucoup de vent Jonathan Milane.
01:04:51 - Souvent on le voit bien placé, mais il n'est pas tout à fait dans la route de ses coéquipiers.
01:04:55 - Sur la droite de l'écran, maillot rouge.
01:04:57 - Là, il est d'un moitié dans le vent encore.
01:04:59 - Il n'est pas vraiment... Mais de toute façon, si on le voit, ce n'est pas bon signe.
01:05:02 - En fait, on le voit trop pour qu'il s'abrite correctement.
01:05:05 - Mais il est grand.
01:05:06 - Mais là, ce n'est même pas une question de grand, c'est qu'il est à moitié décalé.
01:05:10 - Mais souvent, même pour l'avoir commenté l'année dernière, notamment sur la Croize,
01:05:15 - il est parfois trop généreux.
01:05:17 - Il est encore jeune.
01:05:18 - Il est généreux dans l'effort.
01:05:20 - Il a 22 ans.
01:05:21 - Il est généreux dans l'effort, oui.
01:05:22 - Il faisait partie notamment de l'équipe italienne sur les Jeux Olympiques sur piste.
01:05:28 - En poursuite avec Filippo Ganna, notamment.
01:05:31 - C'est un coureur qui sait rouler très vite, on l'a vu.
01:05:33 - Il met des petits développements sur les sprints, alors que devant, on donne les dernières forces.
01:05:40 - Ça va donner un peu de baume au cœur de voir le panneau 5 km.
01:05:45 - On se rapproche petit à petit de la ligne d'arrivée.
01:05:49 - L'écart qui est tombé sous les 20 secondes, désormais pour ces 5 hommes de tête.
01:05:53 - On rappelle leur identité. Marcus Sanderhansen, le Danois de cette formation Uno X.
01:05:57 - L'équipe Euskadi qui est représentée avec Chomin Hwaristi.
01:06:01 - On a encore Kamil Malecki pour cette Q36.5 Pro Cycling Team.
01:06:05 - Cyril Desalle pour la Bingole.
01:06:08 - Et Alessandro Iacchi pour l'équipe Koratec.
01:06:11 - Regardez la vitesse où ça remonte.
01:06:13 - Comme disait Christophe, sur des routes très larges comme ça, les trains se mettent en place.
01:06:17 - On a vu la formation DSM sur la droite.
01:06:19 - Regardez les Uno X, là, on est en train de mettre un gros coup de vis sur la gauche.
01:06:22 - Tout simplement parce qu'on veut virer en tête là-bas.
01:06:25 - Je pense que là, il y a déjà un premier sprint qui est en train de s'effectuer.
01:06:28 - On aura une route un peu moins large dès qu'on va tourner sur la droite.
01:06:31 - Les Uno X savent faire ce genre d'exercice.
01:06:36 - Sur ce virage assez serré, tout de même, à droite, ça passe pour tout le monde pour l'instant, sans problème.
01:06:43 - Et donc cette équipe Uno X qui travaille pour Sören Warenschold.
01:06:47 - Un vainqueur avant hier.
01:06:53 - De la troisième étape.
01:06:55 - Quand on commence à se retourner, ce n'est pas bon signe.
01:06:57 - On sent que la pression du peloton est en train d'arriver.
01:07:00 - Warischi qui attaque de l'arrière, suivi par Kamil Malecki à la faveur de cette fin de faux plat.
01:07:07 - Les dernières forces dans la bataille de ces échappés.
01:07:13 - Derrière, c'est l'équipe Uno X qui travaille en tête de peloton.
01:07:16 - A noter qu'on aura des virages dans les deux derniers kilomètres.
01:07:20 - Aujourd'hui, c'est beaucoup plus tortueux que ce que ça pouvait être sur les autres étapes.
01:07:25 - On va retrouver une route un peu plus large désormais.
01:07:41 - Les coureurs qui sont un peu en deuxième rideau vont pouvoir remonter.
01:07:45 - On va prendre la largeur de la route.
01:07:50 - On les a en ligne de mire désormais, ces cinq hommes de tête.
01:07:54 - Ils ne sont plus que quatre désormais en tête.
01:07:56 - Warischi qui a pris le boomerang de son attaque il y a quelques instants.
01:08:02 - C'est un mano-a-mano entre l'équipe Uno X sur la gauche, plein centre l'équipe Bahrein.
01:08:07 - Sur la droite, la DSM, un peu enfermée la formation EAE.
01:08:10 - Et en deuxième rideau, comme à leur habitude, la formation J-KOL de Dylan Gronewijn qui est légèrement remontée.
01:08:16 - Ils vont faire vraiment l'effort dans les derniers hectomètres pour prendre le moins de vent possible et mettre dans les meilleures dispositions leurs sprinters.
01:08:25 - Massey-Houk pour la Bahrein Victorious, Jonas Abramsen pour l'équipe Uno X qui jettent eux aussi leur dernière force dans la poursuite.
01:08:35 - Il y a un match là à l'avant du peloton entre Uno X et Bahrein.
01:08:39 - On est deux fronts, côte à côte.
01:08:42 - C'est à celui qui s'aidera le premier.
01:08:44 - C'est Massey-Houk qui s'est je crois écarté le premier.
01:08:48 - Justement, Seriel Deyzal qui tente de relancer devant.
01:08:52 - Il reste moins de 4 kilomètres dans ce final du Saoudi Tour.
01:08:56 - Le général qui est promis à Ruben Guerreiro mais il y a une victoire d'étape encore à aller chercher.
01:09:02 - Ce sera vraisemblablement au sprint alors que Kamil Maléki tente son tour à son tour, sa chance.
01:09:08 - Il ne fallait pas trop tarder pour aller chercher les hommes de tête puisqu'on va les reprendre dans les 3 derniers kilomètres.
01:09:14 - Toujours cette formation Uno X, bien compact sur la gauche.
01:09:19 - Maléki qui a fait le trou devant, il est en train de partir tout seul.
01:09:24 - Il y a une dizaine de mètres d'avance pour le Polonais, évidemment juste derrière le plateau avec Claire Briconne, la troisième étape de l'étoile de Bessèges.
01:09:32 - Remco Evenpoel qui sera en direct avec nous.
01:09:37 - On a Abdikeh derrière, plus qu'un seul homme en tête qui fait le foreseen, Kamil Maléki, le coureur de la formation Q36.5 Pro Cycling Team.
01:09:46 - Ça va être compliqué de se battre face à un peloton.
01:09:51 - Derrière on commence à voir aussi l'équipe Astana qui est venue à l'avant du peloton.
01:10:00 - Toujours l'équipe Uno X, gros travail de cette équipe depuis tout à l'heure puisqu'on n'était pas un peu trop tôt devant.
01:10:06 - C'est exactement la question que j'allais vous poser.
01:10:09 - Je trouve qu'on s'est exposé un peu vite.
01:10:12 - On s'est exposé très vite, mais il n'y avait pas seulement le positionnement, il fallait aussi aller chercher l'homme de tête qui est à l'avant.
01:10:20 - Il y avait aussi cette donnée-là à prendre en compte.
01:10:25 - En tout cas on a bien protégé Ruben Guerreiro pour l'amener jusque dans les trois derniers kilomètres où on est un peu plus relax normalement.
01:10:32 - Ruben Guerreiro qui reste pourtant vigilant sur la droite de l'écran.
01:10:37 - Et l'écart, vous voyez, entre Maliki et la tête de peloton, il va se faire avaler. Malheureusement, vraisemblablement le Polonais.
01:10:44 - On a vu la vitesse qui s'accroît de plus en plus. On était aux alentours des 50 km/h. 55, ça va être croissant. On vient de passer le panneau des 2 km.
01:10:54 - Cette formation DSM qui va essayer de se rattraper.
01:10:56 - La formation DSM a échappé terminée pour Kamel et Maliki. Un peu plus d'un kilomètre et demi de l'arrivée. Et là, ça va jouer des coudes évidemment pour se placer.
01:11:04 - Sur la gauche, là, ils sont en train de remonter au dernier moment. On est en train de venir placer Max Canter aussi pour l'équipe Movistar. On a vu les Jaikowalula aussi qui, ça y est, on se découvre.
01:11:14 - C'est bon, c'est ce qu'on sait faire chez la Jaikowalula. C'est d'arriver dans un kilomètre et demi de l'arrivée. Chacun a son rôle clé.
01:11:20 - On va avoir The Next T-Bar dans un dernier temps avec Lucas Mesgec, le poisson pilote de Dylan Groenewegen.
01:11:26 - Et on remonte Pierre-André Côté du côté de la formation Human Power Health. Jonathan Milan qui fait son apparition également avec ce maillot rouge.
01:11:35 - Il n'y a plus qu'un équipier avec lui, Jonathan Milan.
01:11:38 - Allez, le gros travail de cette équipe Human Power Health pour le champion du Canada. Jonathan Milan bien placé.
01:11:45 - Encore un gros travail d'André La Pascualone, il est à l'un de la baragne sur la gauche de l'écran.
01:11:50 - C'est lui qui devrait lancer Jonathan Milan. On sait que parfois il peut être un petit peu...
01:11:57 - Un petit peu foufou dans son lancement de sprint.
01:12:03 - Là, ça bat très vite. On va arriver sur ce dernier virage. C'est lui qui va être le mieux placé dans cette dernière ligne droite.
01:12:09 - C'est encore André La Pascualone qui fait du gros travail.
01:12:11 - Il est encore devant. Regardez, du côté de Gronweghen, on a encore trois équipiers à ce moment-là.
01:12:17 - C'est Elmar Rinders qui fait ce gros effort derrière.
01:12:20 - Il est devant Jonathan Milan.
01:12:22 - Trop tôt devant Milan.
01:12:24 - Gronweghen un peu enfermé en plein centre de l'écran.
01:12:27 - Gronweghen qui s'est fait enfermer par Max Kanter.
01:12:29 - Pital Egerth qui accélère pour la formation Cofidis.
01:12:32 - C'est Mesgec qui est sur la droite.
01:12:34 - On a également Max Kanter pour la Movistar.
01:12:36 - Gronweghen va pouvoir reprendre la roue.
01:12:38 - Et on ne peut pas en faire en plein temps.
01:12:40 - C'est Luka Mesgec qui est allé pour Dylan Gronweghen.
01:12:42 - Ça part de loin.
01:12:43 - Il lance de très très loin avec Kessboll dans sa roue également.
01:12:45 - On a le retour de Simone Kondsoni.
01:12:47 - Dylan Gronweghen toujours en tête.
01:12:49 - Dylan Gronweghen face à Simone Kondsoni.
01:12:51 - C'est trop loin pour Gronweghen.
01:12:53 - Et Kondsoni il est en train de passer Dylan Gronweghen.
01:12:55 - Attention on a le coureur de l'équipe Bingo aussi.
01:12:57 - Et on est en fauteuil à montant, ne pas l'oublier.
01:12:59 - Simone Kondsoni qui est en train d'aller chercher cette victoire.
01:13:02 - Oui elle a raché.
01:13:03 - Victoire du sprinter italien de la formation Cofidis.
01:13:07 - Gronweghen il s'est fait avoir deux fois sur ce Saoudi Tour.
01:13:10 - Elle est partie de beaucoup trop loin.
01:13:12 - En plus faux plat montant à 250 mètres je pense il était déjà devant en train de lancer son sprint.
01:13:17 - Il a perdu une première fois la roue de ses coéquipiers.
01:13:20 - Il l'a repris, il a été ensuite enfermé par Max Kanter.
01:13:23 - Et une fois qu'il a pu lancer, il a lancé mais malheureusement de trop loin.
01:13:26 - Simone Kondsoni qui lui avait un braquet beaucoup moins élevé.
01:13:29 - Le coureur de la formation Cofidis.
01:13:33 - Kondsoni il a parfaitement manœuvré.
01:13:37 - Il était là où il fallait être, à l'abri.
01:13:39 - Il est sorti un peu au dernier moment.
01:13:41 - Il a surtout pris la roue de Gronweghen.
01:13:43 - Deuxième victoire pour cette équipe française après Brian Cocker sur le Tour Down Under.
01:13:48 - Il prend 10 secondes de bonification.
01:13:50 - Simone Kondsoni il était 9ème ce matin.
01:13:53 - A 43 secondes.
01:13:54 - A 43 secondes ce qui va le placer désormais à la 7ème place.
01:13:58 - 7ème place ouais.
01:13:59 - Alors que vous voyez à l'image le grand vainqueur du classement général.
01:14:02 - Le dernier de cette 3ème édition du Saoudi Tour c'est le portugais Ruben Guerreiro.
01:14:07 - Alors que l'on le revoit au ralenti et vu d'hélicoptère ce sprint avec Pascal Ackermann.
01:14:12 - Qui était également là pour la formation UAE.
01:14:14 - Jadja El-Minan un peu derrière mais il avait déjà fait l'effort.
01:14:17 - Regardez il est même assis déjà en bas Jadja El-Minan il n'a pas pu participer au sprint.
01:14:20 - Il est à 200 mètres encore.
01:14:21 - Il est sorti de trop trop loin.
01:14:23 - Il est à 150 mètres, Dylan Groneweghen.
01:14:25 - Fitzgoll qui se rassoit.
01:14:26 - Pascal Ackermann qui était bien mêlé dans le sprint.
01:14:29 - Marco Tizza le porteur de la formation Bingoll.
01:14:32 - C'est bien Marco Tizza le puncher, sprinter italien de cette formation Bingoll.
01:14:36 - Qui va venir mourir à quelques centimètres de Simone Consoni.
01:14:40 - Et Pascal Ackermann qui va faire 3ème.
01:14:44 - Donc ça va mieux pour Ackermann.
01:14:46 - Il s'est refait un peu la cerise sur ce Saoudi Tour.
01:14:50 - Ah ouais mais Groneweghen il a fait une erreur de débutant avec l'expérience qu'il a sur les sprints.
01:14:58 - C'est quand même curieux d'avoir voulu lancer d'aussi loin.
01:15:02 - Alors peut-être cette faiblesse aussi dans cette formation Djaneko-Alula,
01:15:06 - C'est que Zdenek Sibar n'a pas tenu très longtemps dans ce dernier kilomètre.
01:15:11 - Et Luca Mesgec a été un petit peu exposé également trop tôt.
01:15:15 - Oui sûrement, en tout cas il y a eu un petit couac dans le sprint.
01:15:19 - Et Groneweghen il a grandement participé.
01:15:21 - Et donc victoire de Simone Consoni sur cette dernière étape du Saoudi Tour.
01:15:25 - Et oui le courant italien de l'équipe Cofidis, belle victoire.
01:15:28 - D'ailleurs vous avez bien débriefé ce sprint messieurs.
01:15:32 - On voit ces images parce que c'était aussi la dernière étape du Saoudi Tour aujourd'hui.
01:15:36 - On va filer dans quelques instants sur l'étoile de Bessèges.
01:15:38 - Je vous rappelle que l'étoile de Bessèges est déjà partie depuis mercredi.
01:15:41 - Que cette étape également est en route, qu'il y a des échappés pour l'instant.
01:15:45 - Et qu'on fera un point tout à l'heure avec les commentateurs écossais.
01:15:47 - On attend sur notre plateau Remco Evenpool.
01:15:52 - On va vivre le podium ensemble avec Ruben Guerrero.
01:15:56 - Avec ce maillot vert qu'il est allé chercher hier.
01:16:00 - On disait que c'était peut-être le meilleur grimpeur de cette start list.
01:16:04 - Les trois premiers du classement général sont les meilleurs grimpeurs de ce Saoudi Tour.
01:16:12 - A l'image de Davide Formolo, deuxième du classement général.
01:16:15 - Et de Santiago Buitriago, troisième du classement général.
01:16:19 - C'est l'étape décisive, c'était celle d'hier, celle où il fallait être présent.
01:16:24 - Aujourd'hui, le maillot vert de Ruben Guerrero n'a pas été mis en danger.
01:16:28 - En revanche, on a eu des beaux sprints sur ce Saoudi Tour avec des vainqueurs différents.
01:16:32 - Jonathan Milan très en forme.
01:16:34 - Et puis une victoire presque française aujourd'hui, puisque c'est la victoire de l'équipe gophinis.
01:16:39 - C'est la deuxième cette saison, je le disais, après celle de Brian Cocker en Australie.
01:16:44 - On voit le sprint de Dylan Groenewegen qui a lancé trop tôt, assis sur sa selle.
01:16:50 - Simone Consoni lui avec un développement un peu moins gros, debout sur les pédales.
01:16:55 - Belle victoire de Simone Consoni.
01:16:58 - Il était dur ce sprint, c'était un vrai faux plat-compte.
01:17:02 - On a vu qu'on était en butée sur le final.
01:17:10 - Il y avait 3% sur 1 km, c'est peut-être aussi ce qui a fait défaut à Dylan Groenewegen.
01:17:16 - Simone Consoni, champion olympique de poursuite par équipe, champion du monde.
01:17:20 - Également avec cette équipe italienne qui a plutôt l'habitude dans cette équipe gophinis de lancer les sprints.
01:17:28 - De Brian Cocker ou de Max Valchaïd.
01:17:31 - Aujourd'hui, on a joué la carte italienne.
01:17:33 - En effet, ça convenait un peu mieux aux caractéristiques de puissance pour Simone Consoni par rapport à Max Valchaïd qui est un peu plus massif sur ce genre d'arrivée.
01:17:45 - On parle du rapport poids-puissance souvent, mais c'est vrai que même sur ce genre d'arrivée, le pourcentage est important.
01:17:57 - On se retrouve dans quelques instants avec l'officialisation du résultat de l'étape.
01:18:02 - La victoire de Consoni face à Maluccelli, étoile d'Italien avec Ackermann qui a terminé 3e et Ron Weiren 4e.
01:18:09 - On va se retrouver dans quelques instants pour faire le point sur les autres classements.
01:18:13 - Vous l'avez déjà fait, mais on le refera.
01:18:15 - Et surtout pour suivre la 3e étape de l'étoile de Bessèges avec Remco Evenpool qui sera attendue sur le plateau de Savas Frotté.
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