• l’année dernière
Le milieu de terrain niçois Sofiane Diop réagissait après la victoire de son équipe (3-1) face à Marseille lors de la 22e journée de Ligue 1.

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Transcription
00:00 Oui, après ces deux matchs contre Lille et Lens, qui restait ce dernier match à gagner
00:09 tout simplement.
00:10 On est venu avec des intentions, avec un plan de jeu et aujourd'hui on repart avec la victoire.
00:16 C'était quoi justement ?
00:17 On sait que cette équipe de Marseille aime bien faire du man to man.
00:24 On a pu le voir plusieurs fois, que ce soit avec Gaëtan ou avec moi ou même avec Perrem,
00:32 ils nous suivaient beaucoup.
00:33 Le but c'était de créer de l'incertitude en faisant des appels.
00:41 Derrière, ça a tenu et on a pu marquer des buts.
00:47 Sofiane, on a l'impression que depuis que Didier Diguere est là, vous êtes métamorphosé.
00:51 Qu'est-ce qui fait que ça marche aussi bien ?
00:53 On a l'impression que vous êtes déchaîné sur le terrain.
00:56 Oui, il faut voir que ça marche, que ça fonctionne bien.
01:00 Je ne sais pas quelle est sa touche, il faut lui demander.
01:04 Moi, je suis sur le terrain, je fais ce qu'on me dit et j'essaie de proposer des choses.
01:11 Mais oui, c'est sûr qu'il y a un tout autre visage que par rapport au début de saison
01:18 et ça se traduit aussi par des victoires.
01:20 On est très contents, maintenant il faut continuer.
01:22 Je ne sais pas si on travaille, non, mais on travaille les frappes.
01:29 Souvent, quand il y a un ballon qui revient, il y a toujours le coach qui est là pour
01:34 nous dire qu'il y a 80% des buts qui sont marqués dans cette zone-là.
01:40 Donc, si on n'y est pas, on ne peut pas marquer.
01:42 Et ce soir, ça a payé.
01:44 Maintenant, si on pouvait frapper de loin et marquer aussi, ce serait une autre alternative.
01:50 Oui, il y a certains passages où on peut dire qu'on est moins bien, il y a des temps
01:59 faibles.
02:00 Le but, ce qu'on essaie de faire, c'est d'encaisser le moins d'occasion dans ces temps faibles.
02:09 Et c'est comme ça aussi que les grandes équipes, je ne me compare pas à ces grandes équipes,
02:16 mais dans ces temps faibles, il faut savoir aussi ne pas prendre de but.
02:20 Et c'est ce qui a été fait.
02:22 Et par la suite, il y a Bilet qui enfonce le clou, donc c'est parfait.
02:29 Après, il y a les quatre qui sont là pour haranguer les troupes et parler.
02:37 On l'a senti.
02:38 On savait que ça n'allait pas être facile et qu'il fallait tenir toute la fin de match.
02:47 Et grâce aussi à ce troisième but, forcément, ça nous soulage.
02:53 On reculait beaucoup.
02:55 C'est pour ça qu'il a procédé à des changements assez vite.
02:59 Les changements étaient payants, donc on ne peut que lui dire bravo.

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