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Alors que le PSG s'apprête à vivre un mois de février dément avec, entre autres, deux Classiques contre l'OM et un huitième de finale aller de Ligue des champions contre le Bayern Munich, l'entraîneur parisien Christophe Galtier estime ne pas ressentir plus de pression qu'à sa signature début juillet.

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Transcription
00:00 Oui, vous pouvez le voir comme ça, c'est vrai.
00:02 Je n'y avais pas pensé, mais en écoutant votre question précisément, oui, c'est un
00:06 mois très excitant.
00:07 J'ai connu dans des clubs des périodes très compactes avec des matchs très importants,
00:17 mais vous êtes l'entraîneur du Palais Saint-Germain avec une obligation de résultats, avec évidemment
00:24 une grande exposition.
00:25 Le calendrier se présente comme ça.
00:27 Vous dire que je suis sous pression pendant ce mois de février, non.
00:34 Quand vous êtes l'entraîneur du Palais Saint-Germain, vous êtes sous pression à partir du moment
00:37 où vous avez signé votre contrat avec cette obligation de résultats.
00:41 Mais c'est vrai que c'est un mois où il y aura beaucoup d'enjeux.
00:46 On va jouer évidemment nos trois compétitions, le championnat, mais après demain c'est un
00:51 match à l'élimination directe.
00:52 La double confrontation contre le Valais dans le Munich, qui est évidemment très attendue
00:56 par tout le monde, c'est aussi deux matchs à l'élimination directe.
01:00 Donc c'est un mois de février où il y a beaucoup d'enjeux, beaucoup d'attentes.
01:05 Ce dont je ne vous rejoins pas, c'est que ma saison a démarré il y a bien longtemps.
01:10 Suite par rapport aux déplacements à Marseille, évidemment que quand je suis arrivé au PSG,
01:18 je savais qu'il allait y avoir des matchs contre l'Olympique de Marseille.
01:22 On en a fait au Parc des Princes.
01:24 On va au Stade Audrobe, on va y aller même deux fois en peu de temps.
01:28 Je vais faire abstraction totale du fait que je sois né à Marseille, que je sois marseillais,
01:35 que j'ai pu jouer à l'Olympique de Marseille.
01:39 Je suis l'entraîneur du PSG, je sais ce que représentent ces matchs-là.
01:42 On n'est pas dans un huitième de finale classique, on est dans une confrontation Olympique
01:49 de Marseille-PSG.
01:50 On ne le sait jamais.
01:55 J'ai fait en sorte de fermer toutes les arrivées qu'il pouvait y avoir à la fois sur mon
02:02 portable ou même sur un plan familial pour rester très focus sur la préparation du
02:09 match et ce que nous devons faire dans le match et aller chercher cette qualification.

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