• l’année dernière
De leur titre ensemble à Manchester City à leur rivalité actuelle au sommet de la Premier League, Pep Guardiola et Mikel Arteta nourrissent une relation quasiment unique dans le monde impitoyable du football moderne. À la veille d’un Arsenal-City décisif qui pourrait éloigner ou rapprocher les deux équipes dans la course au titre, retour sur plusieurs années de tutorat, d’apprentissage et enfin de concurrence. L’élève Arteta va-t-il enfin dépasser le maître Guardiola ?

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Sport
Transcription
00:00 Son influence sur moi a été énorme.
00:03 C'était si important pour moi de devenir un meilleur manager.
00:06 Je ressens la gratitude.
00:08 Tout d'abord, parce qu'il m'a inspiré comme joueur.
00:10 Et il m'a inspiré et m'a donné l'opportunité de devenir coach.
00:14 Ce que j'ai appris, c'est que vous devez être impudent,
00:22 consistant, et que vous devez vous adhérer à la culture du club.
00:28 Et c'est ce qui nous a permis de créer une mentalité de victoire.
00:31 Son rythme de travail est incroyable.
00:33 Comment il inspire les gens est incroyable.
00:35 Quand vous avez un rêve, vous ne pouvez pas l'arrêter.
00:39 Vous devez suivre vos rêves.
00:41 Je le souhaite tout de suite.
00:43 Je suis certain que les résultats vont lui donner un bon emploi.
00:47 On avait un rêve de faire quelque chose en Angleterre avec Pep.
00:51 Les gens disaient "Ah, tu ne peux pas faire ça, c'est impossible,
00:54 tu vas te faire tuer."
00:57 Et on l'a fait, de la manière dont on pensait qu'on pouvait le faire.
01:01 C'est tellement satisfaisant.
01:03 On a partagé ce sentiment pour la restaurant de notre vie,
01:05 le moment où nous vivons ensemble.
01:07 C'était une partie incroyable et importante de notre succès ces dernières années.
01:17 Il était une personne importante pour nous.
01:20 Il nous a aidé à être qui nous sommes.
01:22 Je ne peux pas parler d'une personne sans son valeur,
01:25 de la façon dont il m'a traité,
01:27 de la façon dont il m'a connu avec les joueurs et les personnes autour de lui.
01:31 C'est phénoménal.
01:33 Parfois, je pense que les managers sont fous pour faire leur travail.
01:42 Ils ont beaucoup confiance en Mikkel
01:46 parce qu'ils ont mis de l'argent pour le renforcer,
01:51 pour le faire mieux.
01:53 Et c'est juste deux Jeux.
01:55 Pourquoi ne pas donner un peu plus de temps aux équipes
02:01 pour construire ce qu'ils veulent construire ?
02:03 Je pense que nous avons été très clairs,
02:05 probablement plus clairs que jamais,
02:07 pour essayer d'expliquer ce que l'équipe de Clubs est en train de faire,
02:10 ce que nous sommes en train de faire.
02:12 Et maintenant, c'est de faire le mieux possible
02:15 tout en s'entendant,
02:17 mais en sachant que dans ce club,
02:19 il n'y a qu'une chose qui est acceptable,
02:22 et c'est d'être le meilleur.
02:24 Je préfère jouer avec quelqu'un d'autre,
02:31 pour être honnête,
02:32 parce que je veux le meilleur pour lui.
02:34 C'est un sentiment étrange,
02:36 c'est ce que c'est.
02:37 On le savait,
02:39 quand il était là,
02:40 ses capacités, ses capacités, tout ça.
02:43 Et je pense que c'est le plus important compliment pour l'Arsenal aussi.
02:46 Pour l'hierarchie, pour le directeur de sport,
02:48 pour le club,
02:49 pour les moments de réconciliation.
02:51 Ça ne va pas changer les amitiés,
02:53 les moments que nous avons,
02:55 l'importance qu'il a dans ma vie,
02:57 l'importance qu'il a dans ma profession.
02:59 Mais nous sommes tous prêts à gagner
03:01 et à défendre nos clubs de la meilleure façon possible.
03:04 Et ça a toujours été le cas depuis la première journée.
03:06 Nous avons failli,
03:07 j'ai failli,
03:08 mais je pense que si un équipe pouvait,
03:10 vous savez,
03:11 pour qu'il soit directeur de sport,
03:13 il y serait.
03:14 Je ressens la gratitude, d'abord,
03:15 parce qu'il m'a inspiré comme joueur,
03:17 et il m'a inspiré,
03:19 et m'a donné l'opportunité de devenir coach.
03:21 Je me souviens que quand nous étions ensemble ici,
03:23 quand nous avons tiré de nombreux buts,
03:25 avec nos adversaires,
03:26 il a toujours sauté et célébré,
03:27 sauf un équipe.
03:28 Et une équipe, chaque fois qu'elle a tiré un but,
03:32 je sautais, je revenais,
03:33 il était là.
03:34 C'était l'Arsenal.
03:35 Donc à ce moment-là, je me suis dit,
03:37 ce gars,
03:38 ce gars aime l'Arsenal.
03:40 ♪ ♪ ♪

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