Le talk-show le plus populaire de France est de retour sur C8 pour une nouvelle saison de divertissement et de surprises. Au programme : de la darka, des scoops, des infos médias, du show et bien sur la bande réunie autour de Cyril Hanouna.
Tous les extraits et émissions de "Touche pas à mon poste" sont à retrouver sur MyCANAL : https://www.mycanal.fr/c8/tpmp/touche-pas-a-mon-poste
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Du lundi au vendredi à 19h05
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00:00 Xavier Breton a interpellé la ministre de la Culture et a expliqué avoir été choqué par les menaces à l'encontre de C8 et Cnews.
00:06 Bravo ! Bravo monsieur Breton. Regardez.
00:09 Madame la ministre, de très nombreuses personnes ont été choquées par les menaces que vous avez formulées à l'encontre des chaînes C8 et Cnews.
00:20 En menaçant ces chaînes de ne pas renouveler leurs fréquences, vous avez bien sûr heurté les téléspectateurs qui y trouvent une autre manière de s'informer.
00:28 Mais vous avez aussi choqué tous ceux qui sont attachés au pluralisme de l'information.
00:35 Vous avez scandalisé tous ceux qui défendent cette grande liberté constitutionnelle qu'est la liberté d'expression.
00:42 Dans une démocratie sur un sujet aussi sensible que l'information, un gouvernement se doit d'observer une stricte réserve.
00:51 En aucun cas, il ne peut prendre parti. Et c'est pourtant ce que vous avez fait.
00:56 Et en le faisant, non seulement vous avez menacé la liberté d'expression, mais vous avez aussi remis en cause l'indépendance de l'ARCOM,
01:04 l'autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique.
01:08 Normalement, l'ARCOM devrait être une autorité publique indépendante.
01:13 Mais par vos propos, madame la ministre, vous discréditez son indépendance et son impartialité.
01:20 Alors, madame la ministre de la Culture, allez-vous observer à l'avenir une stricte neutralité pour respecter la liberté d'expression et le pluralisme de l'information ?
01:30 — Bravo ! Bravo ! Bravo ! Il est fort. Bravo, Xavier.
01:37 Et cet après-midi, aussi, il y a un autre sénateur, Roger Carucci. Ouais, sympa, Roger.
01:42 Il s'en est pris à son tour à la ministre en lui demandant de laisser l'ARCOM faire son travail. Ah non, elle s'est pas fait que des amis.
01:47 — Vous dites que l'ARCOM pourrait retirer, si cela continue, l'agrément Auchen en question.
01:55 Vous interférez avec les décisions de l'ARCOM. Vous n'avez pas... Je suis désolé, madame la ministre.
02:06 Vous pouvez commenter autant que vous voulez, tout ce que vous voulez. Vous n'avez pas à dire ce que l'ARCOM pourrait faire en 2025,
02:14 parce qu'à partir de là, c'est interférer sur l'indépendance de l'ARCOM. Alors, madame la ministre, remplissez pleinement vos fonctions.
02:22 Personne ne vous en empêche. Et laissez l'ARCOM faire son travail. — Bravo ! Bravo ! Bravo, Roger.
02:29 (Applaudissements)
02:34 Alors, vous le savez, en ce moment, à l'Assemblée nationale, ils sont en plein débat sur la réforme des retraites.
02:38 Et honnêtement, depuis le début, c'est le dawa, c'est le sebeul. C'est le sebeul total. Ça envoie des punchlines à tout va.
02:45 Ça gueule, ça se coupe la parole, ça se prend la tête. On a deux doigts de se croire ici. Regardez, on a fait une petite compil.
02:52 Ça s'appelle la dark assemblée.
02:54 (Générique)
02:56 — Au programme cette semaine à l'Assemblée nationale, c'était la réforme des retraites. Et c'était un bordel, mon vieux.
03:02 — Il est encore tôt. Donc si on pouvait avancer dans un silence relatif...
03:07 (Cris de la foule)
03:09 — Et vous êtes à l'obusé de ce que nous pouvons attendre d'un débat serein.
03:14 — Vous essayez de mettre la haute sur d'autres groupes politiques.
03:19 — C'était tellement le bordel que certains étaient en roue libre dans l'émission.
03:22 — La parole est à M. Sylvain Maillard pour le groupe Renaissance.
03:27 — Et le calme est à peine revenu qu'un député a décidé de remettre une pièce dans la machine.
03:31 — On a retrouvé un peu de calme dans cet hémicycle. Et la droite et l'extrême droite sont repartis à la buvette.
03:37 — Et forcément, à force de gueuler, ça picote la gorge.
03:40 — De la commission. (Tousse)
03:43 Et de l'assurance. (Tousse)
03:46 — Et les députés aussi ont des auteurs. Il s'appelle Stéphane Bern. Les punchlines, mama !
03:51 — Elle n'existe pas. Donc de grâce...
03:52 — Plutôt que d'invectiver et de sortir des sottises...
03:55 — On va servir peu au prou.
03:57 — Et on a des nouvelles, Dany Espagne et Runaché ?
03:59 — On aurait adhéré au B.O. du Span jusqu'au bout. (Tousse)
04:03 — Et y a pas que les députés qui s'en sont pris plein la tronche. Les micros aussi.
04:06 — Au avis défavorable.
04:08 — Évitons ce discours vexatoire.
04:10 — Cet amendement.
04:12 — Je vous remercie.
04:13 — S'il vous plaît, M. le ministre.
04:16 — Allez, Agnès, je te laisse le mot de la fin.
04:18 — C'est horrible. (Tousse)
04:21 — Tu veux que je te l'aie lissée ? (Tousse)
04:24 — Non, je vais pas pouvoir le faire. Je suis désolée.
04:26 — Ah ouais, d'accord. Ça fait pas chier. Y a pas de souci.
04:29 (Applaudissements)
04:34 — On souhaite d'abord un établissement à Agnès Pagnon et Runaché.
04:36 — C'est gentil, Agnès Pagnon et Runaché.
04:37 — Venez nous voir, une fois.
04:38 Alors, c'est un tel bordel dans l'émissive que la présidente de l'Assemblée était au bout de sa vie.
04:42 On aurait dit une preuve de 5e B.
04:44 Regardez, sans déconner, c'est l'école.
04:47 — Madame la présidente...
04:49 — Non, s'il vous plaît !
04:52 On ne...
04:56 Vous n'avez pas à frapper les pupitres. La parole est au gouvernement.
05:00 (Tousses)
05:06 Monsieur le ministre, on va suspendre 5 minutes,
05:08 le temps que ses ERSTA collègues laissent le gouvernement s'exprimer.
05:12 — Alors, c'est pas fini. Juste après, il se sont mis à chanter dans l'émissive.
05:16 Et là, c'était le coup de théâtre pour la présidente.
05:17 Elle était à deux doigts d'envoyer tout le monde chez la CPE.
05:19 (Rires)
05:20 (Applaudissements)
05:29 — Non, non, non, s'il vous plaît ! Mes chers collègues !
05:34 Non, non, non ! Vous vous croyez où ?
05:37 Non, mais c'est incroyable ! Non, non !
05:43 Votre attitude est inacceptable.
05:45 Donc on passe maintenant aux amendements après l'article 2.
05:49 Et nous avons des amendements pour être soumis à une discussion commune.
05:55 Des amendements...
05:56 (Rires)
05:59 — Elle vous tient à la peau. Elle me fait de la peine, là.
06:02 Avec cette tannée, la pauvre, qu'elle prend. C'est une tannée pour elle.
06:05 Franchement, ça fait de la peine.
06:06 Et c'est les LFI qui ont chanté hier. Je sais pas ce qu'ils ont chanté, d'ailleurs.
06:10 Alors d'ailleurs, il y a un député LFI, François Piquemal,
06:12 qui a voulu faire jeune et citer du Jul et du SCH.
06:15 Le problème, c'est qu'il s'y connaît pas du tout, en fait.
06:17 Il était ridicule. Regardez.
06:19 — Moi, je vous invite à écouter par exemple un rappeur comme SCH
06:23 qui décrit souvent les conditions pénibles qu'a vécues son père au travail
06:27 et qui a cette phrase qui, ici, prend un petit peu tout son sens.
06:32 Il dit « Se lever pour 1200 €, c'est indécent ».
06:34 (Musique)
06:38 « Se lever pour 1200 €, c'est indécent ».
06:41 (Bruit de buzz)
06:41 — Jul, qui dit « Personne ne veut soulever des palettes, tout le monde veut sa retraite ».
06:47 (Musique)
06:50 « Personne ne veut soulever des palettes, tout le monde veut sa retraite ».
06:54 (Bruit de buzz)
06:55 (Applaudissements)
06:56 — Faut qu'ils arrêtent. Faut qu'ils arrêtent.
06:58 La LFI, c'est un jour une catastrophe.
07:01 — C'est le début zéro de la police.
07:01 — Ça vient de tomber. Je vous jure que c'est vrai.
07:03 Les débats de l'Assemblée nationale viennent d'être suspendus
07:05 pour une raison totalement improbable.
07:07 Mais j'ai l'impression que ça se lâche dans l'Assemblée.
07:09 Regardez, regardez. C'est vrai. C'est pas une...
07:11 — Ah ouais ? Ah...
07:13 — Figurez-vous que les députés y débattent.
07:16 Et c'est plutôt rare depuis le début de cette réforme des retraites.
07:19 Mais alors au moment où je descends pour pouvoir être avec vous en direct,
07:23 où je quitte l'hémicycle, patatras, suspension de séance.
07:26 Non, pas pour un incident entre députés cette fois-ci,
07:29 mais parce qu'il y a une odeur bizarre.
07:32 Voilà ce que m'ont dit des députés en quittant l'hémicycle.
07:34 Je n'ai pas de précision sur l'odeur particulière.
07:38 En tout cas, tous les députés ont été appelés à sortir il y a maintenant 2-3 minutes.
07:42 Bien sûr, nous vous tiendrons au courant dès que nous aurons plus d'informations là-dessus.
07:46 Pour vous dire que décidément, on n'y arrive pas.
07:48 (Applaudissements)
07:52 — Voilà, les chéries. Apparemment, Jean-Marie Bigard est passée par l'Assemblée.
07:56 [Musique]