Le Vidéo Club de Michael B. Jordan

  • l’année dernière
De son tout premier rôle dans Les Sopranos à son admiration pour Denzel Washington en passant par l’impact de Black Panther dans l’industrie cinématographique : Michael B Jordan se raconte dans le Vidéo Club

Il est à l'affiche de Creed III disponible en salle ce mercredi.
Transcript
00:00 Les blancs, les blancs, ils savent pas s'entendre.
00:03 Les héros n'ont jamais abandonné.
00:07 Chadwick, un gars que j'ai très, très manqué.
00:10 Pas de blague, il devient le Dragon Ball.
00:12 Parce que nous voulions qu'il soit bien, tellement mal à l'époque.
00:15 C'est une collection OG.
00:18 Ne touche pas, laisse-le seul. Pourquoi ?
00:22 Tu as un profit ici ?
00:23 Ce film a changé le monde.
00:24 C'est un film qui a changé la vie.
00:26 C'est un film qui a changé la vie.
00:28 C'est un film qui a changé la vie.
00:31 C'est un film qui a changé la vie.
00:33 C'est un film qui a changé la vie.
00:35 C'est un film qui a changé la vie.
00:37 C'est un film qui a changé la vie.
00:39 C'est un film qui a changé la vie.
00:41 C'est un film qui a changé la vie.
00:43 C'est un film qui a changé la vie.
00:45 C'est un film qui a changé la vie.
00:47 C'est un film qui a changé la vie.
00:49 C'est un film qui a changé la vie.
00:51 C'est un film qui a changé la vie.
00:54 C'est un film qui a changé la vie.
00:56 C'est un film qui a changé la vie.
00:58 C'est un film qui a changé la vie.
01:00 C'est un film qui a changé la vie.
01:02 C'est un film qui a changé la vie.
01:04 C'est un film qui a changé la vie.
01:06 C'est un film qui a changé la vie.
01:08 C'est un film qui a changé la vie.
01:10 C'est un film qui a changé la vie.
01:12 C'est un film qui a changé la vie.
01:14 C'est un film qui a changé la vie.
01:16 C'est un film qui a changé la vie.
01:18 C'est un film qui a changé la vie.
01:20 C'est un film qui a changé la vie.
01:23 C'est un film qui a changé la vie.
01:25 C'est vraiment bien.
01:27 J'adore l'exploration de l'esprit et du but.
01:34 J'aime les univers et le multivers.
01:39 Mais celui-ci est phénoménal.
01:41 Il revient à soi-même.
01:43 C'était un très bon film.
01:45 Est-ce que tu vas toujours au cinéma ?
01:48 C'est dur.
01:50 Pendant la pandémie,
01:52 quand les gens pouvaient porter des masques,
01:54 j'ai pu les mettre sur le masque
01:56 et m'en sortir plus facilement.
01:58 Maintenant, si je dois aller au cinéma,
02:00 je dois rentrer au cinéma.
02:02 C'est un peu plus extrême.
02:04 Je trouve mon moyen d'y arriver.
02:06 J'ai hâte de faire ce tournée.
02:08 Pendant que Creed est en tournée,
02:10 je veux essayer de me déguiser
02:12 et de rentrer au cinéma
02:15 et de pouvoir regarder le film avec tout le monde.
02:17 C'est là que tout a commencé.
02:19 Pour moi, j'étais un extra.
02:21 J'étais un petit garçon.
02:23 Hey, qu'est-ce que tu fais ?
02:25 Je suis allé sur le set
02:28 et j'ai compris le travail.
02:30 J'ai passé des heures avec ma mère.
02:32 J'ai eu un petit récupérage
02:34 pour beaucoup de travail.
02:36 C'était la première fois que j'ai compris
02:38 le processus de la télévision
02:40 et comment filmer ces deux,
02:42 trois co-stars pour Journey.
02:44 C'était l'un des premiers shows
02:46 que j'ai fait, "Friday Night Lights".
02:48 Elle a évolué et a exploré.
02:50 Elle est une super actrice.
02:53 J'ai eu la chance de connaître Jonathan
02:55 au cours d'un certain temps.
02:57 J'ai vu qu'il avait développé un arc
02:59 et sa physique.
03:01 C'était la première fois que j'ai eu la chance de le voir.
03:03 C'était un show qui a exploré la culture noire
03:05 et la fantaisie,
03:08 et notre histoire, et l'a raconté de façon réelle.
03:10 Les riots de Tulsu et les bombes,
03:12 c'était un show très puissant.
03:14 Je suis triste qu'il n'y ait pas continué.
03:16 Je voulais en voir plus.
03:18 Westworld a toujours été très bon.
03:21 Tessa, oui, c'est vrai.
03:23 J'ai vu comment elle a développé ses personnages
03:25 au cours des saisons.
03:27 J'adore les choses de la sci-fi.
03:29 Ma soeur et moi,
03:31 on regardait la série originale,
03:33 les premières saisons.
03:35 Je n'ai pas eu la chance de continuer,
03:38 mais je suis un grand fan de Jeffrey Wright.
03:40 Je suis un grand fan de lui.
03:42 Les couches, les personnages complexes qu'il joue.
03:44 Il est un chameleon.
03:46 Il peut jouer n'importe qui.
03:48 C'est incroyable. Tessa était phénoménale.
03:50 Je pense qu'elle avait une force à elle,
03:52 une individualité et une force
03:54 que Bianca avait vraiment besoin.
03:56 On ne s'est pas mis
03:58 sur le chemin des personnages
04:00 dans le monde du boxe,
04:03 dans les combats professionnels,
04:05 dans la fame de la série,
04:07 dans le succès et l'argent.
04:09 Bianca savait toujours qui elle était
04:11 et était forte, comme Philly,
04:13 et était une femme forte.
04:15 J'adore travailler avec Tessa.
04:17 Elle me dénonce beaucoup.
04:19 J'aime beaucoup.
04:21 On a beaucoup à faire,
04:23 donc tu dois te concentrer sur toi
04:25 et je vais me concentrer sur moi.
04:28 C'est là que ça a commencé.
04:30 C'est d'Alexa Fogel,
04:32 qui était la directrice de casting.
04:34 Elle m'a casté dans ce film.
04:36 Elle était ma directrice de casting
04:38 dans Creed III.
04:40 Je lui avais promis
04:42 que si je dirigeais mon premier film,
04:44 elle serait la directrice.
04:46 J'ai dû me tenir à mon mot.
04:48 Je suis parti de Wallace.
04:50 C'était comme si je n'avais pas
04:52 de connaissances sur l'acte,
04:55 que je ne savais pas.
04:57 C'était plus Michael que Wallace.
04:59 C'était la première fois
05:01 que je devenais un personnage.
05:03 Andre Roya, qui jouait Bubbles,
05:05 était un grand mentor.
05:07 À la fin de la saison,
05:09 Wallace a commencé à prendre des drogues
05:11 et à devenir un peu plus à l'extérieur
05:13 des choses que je connaissais.
05:15 Quand je suis arrivé sur le set,
05:17 il n'était pas en train de travailler.
05:20 Il m'a parlé de ce que ça me sentait.
05:22 J'imaginais la chaleur
05:24 de la tête jusqu'à la hauteur de mes doigts.
05:26 Un fiende génial
05:28 me parlait de ce qu'il allait vivre.
05:30 Je me souviens de ce que je pensais.
05:32 Je ne savais pas ce qu'il parlait.
05:34 Je me souviens de ce que je pensais.
05:36 La première fois que je me suis perdu
05:38 dans un personnage, c'était Wallace.
05:40 J'ai pris ce processus et j'ai commencé à le construire.
05:42 C'est comme ça que j'ai commencé
05:45 à créer des personnages différents.
05:47 C'était le début.
05:49 Et tous mes grands-frères et oncles
05:51 étaient sur le set.
05:53 Tu as un prophète ?
05:55 C'est génial.
05:57 C'est un des films que Ryan m'a dit
05:59 de regarder avant de filmer "Fruitvale Station".
06:01 Je l'aime.
06:03 C'était un prophète.
06:05 C'est devenu un de mes films préférés.
06:07 Un film avec tellement de cultures
06:09 et de langues et d'environnement.
06:11 En prison,
06:14 un homme est devenu un garçon
06:16 vraiment naïf, mais un boss.
06:18 Il a utilisé son cerveau,
06:20 il a pensé sa façon de sortir,
06:22 il a utilisé son temps de manière saine
06:24 pour faire des erreurs et faire des choses.
06:26 Il a dû se rendre compte de sa situation.
06:28 Ça m'a vraiment créé
06:30 un "comment jouer avec la personnalité
06:32 dans des situations".
06:34 Ça m'a toujours stimulé.
06:36 C'est vraiment un bon film.
06:38 Avez-vous donné la confiance à Ryan Coogler
06:41 pour faire le direct de "Crit Freak" ?
06:43 Oui.
06:45 Voir quelqu'un qui ressemble à moi,
06:47 à mon âge, faire un film,
06:49 je me suis dit, "Oh, d'accord."
06:51 Il a toujours l'air plus mature
06:53 et plus vieux que moi.
06:55 Je me suis fasciné.
06:57 Il a toujours dit qu'il n'avait pas les réponses,
06:59 mais je lui ai toujours confié la réponse.
07:01 C'est quelque chose
07:03 que j'ai toujours regardé et admiré.
07:06 Il m'a aussi dit qu'il pouvait le faire.
07:08 J'ai toujours voulu avoir cette confiance.
07:10 Ça m'a vraiment aidé.
07:12 Je voulais faire ce film pour moi-même
07:14 et que les autres acteurs me sentent confiants.
07:16 C'est là que ça a commencé.
07:18 "Le Joie".
07:24 C'est...
07:26 Hey, viens !
07:28 Ne sois pas un bébé.
07:31 "Where to Begin", Matt Damon, Ed Noren.
07:33 Une histoire de frère,
07:35 un garçon qui ne pouvait pas s'en sortir.
07:37 C'était smart, avec beaucoup de potentiel.
07:39 Il aimait le poker
07:41 et il voulait toujours les faire en trouble.
07:43 Mais ils avaient un amour et une bonnesse pour eau.
07:45 C'était très fort.
07:47 J'ai vu comment ils ont travaillé
07:49 sur le système et son ambition
07:51 pour chasser ce rêve qu'il avait.
07:53 J'ai adoré la manière dont c'était filmé,
07:56 les textures, le sentiment,
07:58 le dialogue intérieur,
08:00 et la narration de Matt Damon.
08:02 C'était toujours très fort.
08:04 John Tuttoro est un de mes gars.
08:06 C'est un acteur phénoménal. Il est toujours là.
08:08 John Malkovich, c'est une légende.
08:10 Un personnage iconique.
08:12 Et un acteur.
08:14 La façon dont il portait
08:16 les russes, les gangsters,
08:18 dans la salle.
08:20 Ne t'inquiète pas, fils.
08:23 Tout ira bien.
08:25 "Meryl Streep" est mon préféré.
08:27 C'est un film magnifique.
08:29 Il y a deux personnages iconiques,
08:31 Clint et Meryl,
08:33 qui travaillent ensemble.
08:35 C'est magique. Elle était si timide.
08:37 Ce que j'aime de elle,
08:39 c'est qu'elle fait l'image facile.
08:41 Si tu sais, tu sais que c'est difficile.
08:43 C'est difficile de faire ça,
08:45 d'être confortable devant la caméra.
08:48 Elle est géniale.
08:50 La mort devient elle.
08:52 [Rire]
08:54 [Rugissement]
08:56 C'est un superbe film.
08:58 Même les effets spéciaux,
09:00 les écrans verts,
09:02 c'était dans les stages.
09:04 C'était une mauvaise comparaison
09:06 avec ce qu'on a maintenant.
09:08 Ma mère et ma soeur ont regardé ça.
09:10 C'était cool.
09:12 C'était génial.
09:15 Danny est un directeur que j'ai toujours adoré.
09:17 Il est vraiment intelligent.
09:19 Il est intelligent et il regarde les gens.
09:21 Il capture l'esprit intérieur.
09:23 C'est quelque chose de très fort de Danny.
09:25 "Slumdog" est un super film.
09:27 [Bruit de film]
09:29 C'était un film de l'année.
09:31 Avec toutes les nominations et les prizes,
09:33 c'était un super film.
09:35 C'était un film magnifique.
09:38 Et puis, vous avez ces gars-là.
09:40 Vous avez le boss, le mec lui-même.
09:42 Mon gars.
09:44 [Rire]
09:46 Denzel est un homme qui m'a beaucoup appris.
09:48 Je le suis toujours.
09:50 En tant qu'homme, acteur et directeur,
09:52 Anthony Fuqua est un directeur formidable.
09:54 Ils ont capturé ce qu'ils avaient dans LA.
09:56 Ils ont vraiment montré ce qu'il y avait
09:58 dans LA, ce que ça ressemblait et ressemblait.
10:00 Le personnage, Corruption,
10:02 c'est un personnage qui est très fort.
10:04 Il est très fort.
10:07 Il est un personnage de corruption
10:09 et de désespoir.
10:11 Il y a aussi de la naïveté
10:13 et de l'avoidance.
10:15 J'aime les histoires qui commencent d'un côté
10:17 et que le film te force à devenir autre chose.
10:19 Il te prend sur une voyage.
10:21 Je pense que ce film le fait.
10:23 - As-tu rencontré Denzel Washington
10:25 dans "Journal for Jordan"?
10:27 - Oui, et c'est là que j'ai appris beaucoup
10:29 de lui, la façon dont il commande son set,
10:32 la façon dont il s'occupe de ses acteurs,
10:34 la façon dont il demande de la grandeur.
10:36 Il a élevé mon processus de pensée,
10:38 mon processus d'acteur,
10:40 comment on communique et travaille avec son équipe.
10:42 J'ai appris ça de lui.
10:44 "Bad Boys", à tout moment,
10:46 c'est toujours sur la télé.
10:48 - Hey, arrête, putain !
10:50 - Arrête, putain ! - Oh, merde !
10:52 - C'est un rire, c'est émotionnel,
10:54 la musique, Michael Bay a fait un travail incroyable.
10:56 C'est là que tu as ces lins flares.
10:59 C'est ça, là-bas.
11:01 Les lignes iconiques,
11:03 Martin Lawrence et Will Smith,
11:05 c'est la chimie.
11:07 Ça vous montre combien l'acteur est important.
11:09 C'est un sport d'équipe.
11:11 Il faut tout le monde ici pour se rassembler
11:13 et faire un truc.
11:15 C'est ton cercle, c'est génial.
11:17 Ils avaient leur cercle, c'est vraiment important.
11:19 Je peux passer tout le jour ici.
11:21 Je vais là-bas.
11:24 Vous savez quoi ?
11:26 Les White McCann Jumpers sont géniaux.
11:28 Les blancs ne savent pas sauter.
11:30 - Les blancs ne savent pas sauter.
11:32 - Sauter ? - Sauter.
11:34 Sauter.
11:36 Je vais essayer.
11:38 C'est un super film, j'aime.
11:40 Vous regardez moi,
11:42 vous voyez le casque de gauche,
11:44 les sacs gris, l'outfit,
11:46 et vous vous dites que c'est un jumper.
11:48 Sydney et Billy, ils sont dynamiques.
11:51 C'est un couple étrange.
11:53 C'est génial.
11:55 Rosie Perez a fait un travail incroyable.
11:57 Ils capturaient le basketball.
11:59 J'aime le basketball, j'aime jouer au sport.
12:01 Le fait qu'ils capturaient les deux-à-deux,
12:03 et qu'ils ont fait un film sur personnalité et cœur,
12:05 j'ai vraiment aimé ce film.
12:07 Que pensez-vous des remakes ?
12:09 J'en suis intéressé.
12:11 Les remakes sont difficiles.
12:13 Je suis un des vieux gars.
12:16 Je me rends compte des films originaux.
12:18 Je n'aime pas les remakes,
12:21 mais j'ai hâte de voir
12:23 ce qu'ils feront avec ça.
12:25 Senghwa est un ami.
12:27 Je l'ai connu depuis des années.
12:29 Quand on a commencé à auditionner,
12:31 et à essayer de le faire.
12:33 Quand on voit des acteurs qui ont fait leur chemin,
12:35 et qu'ils donnent des opportunités
12:37 à de nouvelles vies, à des films comme ça,
12:39 je suis curieux. C'est comme ça que tu pousses le cinéma.
12:41 Il faut donner de nouvelles opportunités.
12:43 Parfois, c'est dans les véhicules.
12:45 Regarde-moi.
12:48 Quand "Creed" est sorti, ou "Fantastic Four",
12:50 ou "Thomas Crown", je suis en train de le faire.
12:52 Il y a quelqu'un qui dit, "Thomas Crown, non !
12:54 Ne touche pas ! Laisse-le seul ! Pourquoi ? Pourquoi ?"
12:56 Mais je le comprends.
12:58 On y va. Je suis en train de voir ce qu'ils feront.
13:00 "Warriors",
13:02 c'est un des films que j'ai regardé
13:04 avant de faire "Creed 3".
13:06 C'est un travail phénoménal, la histoire.
13:11 Je pleure comme un bébé.
13:13 Parce que j'ai un frère. Notre relation,
13:15 les choses que nous avons vécues,
13:17 les frères, la famille, on se bat, on s'aime,
13:19 c'est compliqué.
13:21 Tout est compliqué dans la famille.
13:24 Mais cette histoire de frère m'a vraiment touché.
13:26 Tu as mis le stinger aussi.
13:28 Oui, le sting, mon gars.
13:30 Mon producteur, Liz, m'a dit, "Voyez-le."
13:32 J'ai dit, "OK, je vais le regarder."
13:35 Je lui ai dit, "C'est un super film."
13:37 Newman, Redford, c'est juste...
13:39 Cette dynamique...
13:41 J'ai vu beaucoup d'acteurs que j'aime et que j'admire.
13:44 J'ai pu voir comment ils auraient pu être inspirés
13:47 par eux aussi.
13:49 Et ça m'a vraiment fait
13:52 prendre un pas en arrière
13:54 du monde où j'ai passé tant de temps.
13:56 Et je pense que c'est un des meilleurs moments
13:58 où j'ai pu me rassurer.
14:00 J'ai passé tellement de temps
14:02 et j'ai vu la histoire du cinéma,
14:04 des acteurs, des directeurs, des films.
14:06 Et je vois le pattern plus.
14:08 Je vois le flux de la communauté
14:10 dont nous sommes tous des membres.
14:12 Nous contribuons tous
14:14 au monde du cinéma et du film.
14:16 Nous sommes tous inspirés par les uns des autres,
14:18 que nous le disons ou pas.
14:21 Ça m'a donné un bon contexte.
14:23 C'était génial.
14:25 "Raging Bull", c'est l'un des...
14:27 [Coups de feu]
14:29 [Cris de la foule]
14:31 Erwin Winkler, vous savez,
14:33 étant un de ces projets,
14:35 c'est incroyable.
14:37 En entendant les histoires de la réalisation,
14:39 les décisions,
14:41 ce qui s'est passé et ce qui n'a pas marché,
14:43 pourquoi il n'y a pas de noir et de blanc,
14:46 la couleur, le tout, la sang,
14:48 c'est un grand détail.
14:50 J'apprécie ce film plus
14:52 maintenant que j'ai réalisé.
14:54 "Watchmen" est génial, mais "Black Panther"...
14:56 C'est pas comme ça.
14:58 Ça m'a fait beaucoup.
15:00 Chadwick...
15:02 C'est un mec que j'ai très, très manqué.
15:04 Je ne me souviens jamais de ce moment.
15:06 Je pense à lui souvent.
15:08 Ce que ce film a signifié pour la culture,
15:10 pour le monde,
15:13 ce film a changé le monde.
15:15 C'est très spécial.
15:17 C'est un sujet très pitiéux.
15:19 Je me sens très heureux par ça.
15:21 Ça me fait pauser en souffrance,
15:23 en réfléchissant à mes souvenirs.
15:25 "Killmonger" est un des meilleurs.
15:27 Il a tapé dans une conversation
15:29 qui doit être entretenue
15:31 entre les Américains et les Blancs
15:33 dans les Etats-Unis.
15:35 La conversation est beaucoup plus proche
15:38 que ce que nous pensons,
15:40 que nous avons dit,
15:42 que nous avons pensé trop
15:44 sur la diaspore noire.
15:46 Je me sens que ce film est un pont
15:48 pour que cette conversation se déroule.
15:50 En récentes années,
15:52 on voit les mouvements, les conversations,
15:54 l'acceptance de leur culture
15:56 et de vouloir retourner à la Gana,
15:58 l'année de la retournée.
16:00 En étant là, on voit ça se réunir.
16:02 Je ne sais pas si ça aurait eu lieu
16:05 si vite ou dans ce moment.
16:07 Ça aurait été...
16:09 Ça aurait été différent.
16:11 Ça aurait été le catalyste.
16:13 Mais ce film a donné de la prière universelle.
16:15 Je suis très heureux d'être parti de ça.
16:17 Oui, Josh Trank, on a fait
16:19 "Fantastic Four".
16:24 C'est la première fois que je joue un personnage de Marvel.
16:26 Je voulais toujours être Johnny Storm.
16:28 Tu vois ? C'était un personnage cool
16:30 que j'ai toujours adoré.
16:32 Et être un de ces personnages était incroyable.
16:34 J'ai appris tellement de choses.
16:36 Les effets visuels, le CGI,
16:38 tout ce qui est un film à grand budget.
16:40 Et en retour à "Chronicle",
16:42 c'était un autre de mes films préférés.
16:44 Regarde ça.
16:48 L'innocence d'un super-héros,
16:50 l'idée d'un super-héros,
16:52 et le film à grand budget.
16:54 J'ai aimé la croissance entre les deux.
16:56 C'était un super moment.
16:58 Je pense qu'on peut passer au film d'animation.
17:00 On va faire ça.
17:02 Non, celui-ci est vraiment spécial.
17:04 C'est l'un des premiers films animés que j'ai vu.
17:09 Je ne me souviens pas comment j'ai trouvé ça.
17:11 Je ne me souviens pas quand j'ai vu ça.
17:13 Mais c'est quelque chose que,
17:15 si je suis en longue volée,
17:17 ou si je n'ai rien d'autre à faire,
17:19 je vais mettre ça sur la table.
17:22 C'est un film qui m'a vraiment inspiré.
17:24 L'idée de ce super-héros,
17:26 de l'utilisation de son noble stade,
17:28 de la classe,
17:30 avec le feu et le démon
17:32 qui sont englobés dans la nature,
17:34 le esprit de forêt,
17:36 le guide de forêt,
17:38 la relation entre l'homme,
17:40 la machine et la nature.
17:42 On détruit la Terre, on détruit la planète.
17:44 On doit respecter
17:46 l'esprit de la nature,
17:49 de la planète,
17:51 et c'est ce qui m'a inspiré.
17:53 Mizuyaki est incroyable.
17:55 "Spirited Away" est fantastique.
17:57 C'est un super film.
17:59 Il a vraiment été le mec
18:01 qui a mis le ton pour...
18:03 -Tu sais ce film ? -Celui-là ?
18:05 -Oui. -Oui.
18:07 C'est le mec.
18:13 Je l'ai beaucoup regardé.
18:15 C'est un des films
18:17 qui m'a inspiré
18:19 de Creed III,
18:21 de la boxe.
18:23 Tyson, la roulade de Dempsey,
18:26 c'est un des films
18:28 que j'ai un peu écouté.
18:30 J'ai un peu écouté.
18:32 C'est un super film.
18:34 Je peux le regarder
18:36 toute l'année.
18:38 Je veux juste montrer quelque chose.
18:40 Quand j'ai vu Creed III,
18:42 la lutte entre toi et Dame,
18:44 ça m'est arrivé.
18:46 C'est la lutte.
18:48 C'est la lutte.
18:50 C'est la lutte.
18:52 C'est la lutte.
18:55 C'est la lutte.
18:57 C'est la lutte.
18:59 C'est la lutte.
19:01 C'est la lutte.
19:03 C'est la lutte.
19:05 C'est la lutte.
19:07 C'est la lutte.
19:09 C'est la lutte.
19:11 C'est la lutte.
19:13 C'est la lutte.
19:15 C'est la lutte.
19:17 C'est la lutte.
19:20 Même la relation
19:22 entre Dame et Adonis me fait penser
19:24 à Naruto et Sasuke.
19:26 Oui, c'est une partie
19:28 de cette lutte.
19:30 Il y a quelques autres
19:32 qui sont mélangés,
19:34 mais c'est ça.
19:36 Les héros ne se dépassent jamais
19:38 peu importe le fait
19:40 de l'absurdité.
19:42 Si tu lui promets de te faire un ami,
19:45 il te ramène.
19:47 Sasuke, je vais le ramener.
19:49 C'est un promi.
19:51 C'est différent
19:53 de l'adonis,
19:55 mais c'est le spirite de l'amitié
19:57 qui a poussé les deux.
19:59 Je voulais incorporer
20:01 ce sentiment dans cette relation.
20:03 Je vais terminer avec Dragon Ball.
20:05 C'est un peu une blague.
20:07 C'est un peu une blague.
20:09 Je sais que tu aimes Dragon Ball,
20:12 mais je voulais te demander
20:14 si tu aimerais faire
20:16 cinq adaptations.
20:18 C'est un bon point.
20:20 C'est la difficulté.
20:22 On n'a pas vraiment
20:24 lancé le jeu.
20:26 On attend encore.
20:28 C'était pas moi.
20:30 Je voulais juste
20:32 commencer un peu.
20:34 Je voulais voir si je pouvais
20:36 lancer le jeu
20:38 sans devenir Dragon Ball.
20:40 On voulait que ça soit bien.
20:42 L'anime est si riche
20:44 et il y a tellement de thèmes.
20:47 L'animation permet de faire des choses
20:49 de façon à laquelle
20:51 notre technologie et nos caméras
20:53 et cinéma n'ont pas encore été conçus.
20:55 Les gens pensent que
20:57 dans un bureau,
20:59 on prend une IP
21:01 et on fait des acteurs.
21:03 Ils n'ont pas encore capturé
21:05 l'essence des thèmes
21:07 et ce qui fait l'anime.
21:09 Je pense qu'il faut un vrai fan,
21:12 un vrai fan
21:14 qui l'aime pour le faire.
21:16 En combinaison
21:18 avec l'élément cinématique
21:20 et la nouvelle technologie
21:22 et les filmmakers.
21:24 James Cameron
21:26 est en train de pousser
21:28 l'enveloppe.
21:30 Je ne sais pas quand,
21:32 mais je veux juste
21:34 que tout le monde le voit.
21:36 Merci beaucoup.
21:38 Je vous apprécie.
21:41 (rires)
21:43 (musique)
21:45 (musique)
21:47 (musique)
21:49 [Musique]

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