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00:00 la semaine dernière, c'est vrai qu'on a eu Pascal qui était là, qui est un ancien
00:03 candidat de Koh-Lanta, et c'est vrai qu'apparemment il ne partira pas en vacances avec Denis
00:08 Brognard.
00:09 Je crois que ce n'est pas prévu pour cette année.
00:10 C'est vrai que c'était fou.
00:12 On a vu derrière, c'est vrai que tout le monde a communiqué, il y a eu des anciens
00:17 candidats qui ont dit que Denis Brognard était formidable, que Denis Brognard mangeait
00:21 du manioc, que Denis Brognard aimait la vie.
00:25 Et c'est vrai que j'ai l'impression que ça a été un peu panique à bord.
00:29 Moi justement, je voulais vous entendre là-dessus.
00:30 Qu'est-ce que vous pensez justement du cas Denis Brognard ?
00:32 Le cas Denis Brognard, je trouve que ce n'est pas le bon terme.
00:36 Est-ce que vous pensez que c'est le maillon faible ? Il a quand même été, il y a quelques
00:39 semaines, dans une sorte de tourbillon médiatique, avec des accusations d'article mentale.
00:44 Et qu'est-ce que vous en pensez, vous ?
00:45 Alors moi, je peux en parler d'autant plus que ça fait 7 ans que je collabore avec
00:49 lui, que je suis patronne d'une société avec laquelle il collabore, que moi je n'ai
00:53 jamais assisté à des énervements.
00:57 Oui, il est soupolé.
00:58 Déjà, il est soupolé unisexe.
01:00 Il peut être soupolé avec un mec, une gonzesse.
01:02 Franchement, il est extrêmement exigeant.
01:06 C'est vrai.
01:07 Et que, dans des conditions de direct, parce que les deux événements se sont passés
01:11 dans des conditions de direct sur TF1, face à une collaboratrice, ce n'était pas un
01:16 lien de subordination, il est soupolé.
01:19 Donc en effet, il s'est énervé.
01:20 Je trouve ça déjà admirable qu'il se soit quand même excusé tout de suite.
01:24 Non, ça c'est normal, c'est admirable.
01:25 Il a des choses.
01:26 Non, non, non, mais tu sais très bien qu'il y en a qui ne le font pas.
01:28 Et sincèrement, ça s'est passé deux fois dans une carrière.
01:32 On a des noms de gens qui ne le font pas.
01:33 Deux fois dans une carrière de 30 ans.
01:36 Je trouve que, quand on parle de harcèlement, moi je vais aller voir la définition du harcèlement.
01:41 Le harcèlement, c'est une répétition de pression physique et psychologique sur le
01:45 même individu.
01:46 Et il n'y a pas eu ça.
01:47 Le harcèlement, c'est ce que je subis quand je donne mes cours de tennis à Mathieu Delambre.
01:50 Non, mais que les deux jeunes femmes, alors que les deux jeunes femmes, ça a été violent
01:54 pour elles.
01:55 Alors là, du coup, je ne le conteste pas.
01:56 Je l'embrasse fort.
01:57 Et je pense que Denis n'était pas conscient, en effet, de l'état peut-être de fragilité
02:02 dans lequel était la jeune femme du 14 juillet, si j'ai bien compris.
02:05 Et Charlotte Nemura, qui a un gros caractère, je pense qu'elle n'était pas fragile, mais
02:09 elle a été choquée.
02:10 Donc, quoi qu'il en soit, ça pour le coup, évidemment, ce n'est pas acceptable.
02:14 Néanmoins, on n'est ni dans du harcèlement, ni dans un lien de subordination.
02:20 Il n'a pas demandé leur tête.
02:21 À aucun moment, il n'a été question de ça.
02:24 Charlotte Nemura, elle était là la semaine suivante à ses côtés.
02:27 Elle dit tout de même qu'elle a été empêchée d'assister aux conférences de rédaction,
02:31 etc.
02:32 Ce qui est très surprenant, mais ça, je sais qu'il n'y a pas de conférence de rédaction
02:34 sur cette émission.
02:35 Il y a une conférence de rédaction sur Automoto.
02:37 Il faut bosser un peu.
02:38 En effet, sur Automoto, mais pas sur cette émission.
02:41 Donc, elle ment.
02:42 Sur l'émission, sur la Coupe du monde.
02:44 Oui, donc elle ment.
02:45 La pauvre Alexia.
02:46 Je ne suis pas des brunards.
02:47 Je ne suis pas des brunards.
02:48 Je ne suis pas des faches.
02:49 Je ne suis pas des faches.
02:50 Je ne suis pas des faches.
02:52 Non, mais ce qui est intéressant, c'est qu'on n'a pas du tout parlé de Colantin
02:55 en l'occurrence par rapport à Denis Bregnard ou de choses comme ça.
02:58 Moi, je vous dis, en effet, il peut être quelquefois un peu sous-polé.
03:00 Et voilà.
03:01 Mais sincèrement, il n'y a jamais eu de débordement.
03:04 Alors, vous imaginez-moi, patron, femme face à un débordement sur une femme.
03:09 Ce n'est pas acceptable.
03:11 Donc, voilà.
03:12 Alors, lui, il va être chiant, lui.
03:15 Non, non.
03:16 TF1 l'a convoquée quand même pour savoir ce qui s'est exactement passé.
03:20 Est-ce que vous, vous l'avez fait ?
03:21 Est-ce que vous songez, vu toutes les turbulences, à le remplacer ?
03:24 Alors, aux deux questions, non.
03:26 Pourquoi ? Parce que moi, je convoque quelqu'un quand il y a un problème sur mes tournages.
03:32 C'est vrai que ce n'était pas son tournage.
03:33 Elle a raison.
03:34 Donc, je suis là.
03:35 C'est normal.
03:36 Deux, sincèrement, si maintenant…
03:38 Enfin, je ne veux pas minimiser leur ressenti.
03:41 On est bien d'accord.
03:42 En revanche, on redescend d'un étage.
03:45 On a fait beaucoup de bruit là-dessus.
03:47 On parle de 30 secondes, deux fois 30 secondes, d'un mec qui est en direct, qui monte un
03:52 peu dans les tours parce qu'il y a une histoire d'exigence et de problème.
03:57 Donc, c'est plutôt une grosse engueulade entre collègues.
03:59 Et je pense qu'on a tous ça.
04:00 Et moi, ça m'est déjà arrivé de gueuler.
04:02 Et je pense que ça nous est tous arrivé.
04:05 Les gens qui ont assisté à la scène ont soutenu.
04:07 Moi, Alexia, jamais.
04:08 Ne gueule jamais.
04:09 Jamais.
04:10 Ne gueule jamais.
04:11 Non, mais juste.
04:12 Est-ce qu'il y a un moment TF1 où il a dit…
04:14 Il n'y a pas eu une rumeur qu'il était question de le remplacer éventuellement.
04:17 Non, non.
04:18 Ça a brûlé dans Paris quand même.
04:19 Non, mais ça, c'est…
04:20 Parce que c'est tentant.
04:21 Dès qu'il y a une icône comme ça qui est un peu attaquée, évidemment, c'est tentant.
04:25 On aime bien écraser les gens.
04:26 C'est vrai.
04:27 Et c'est un peu ça qui est difficile.
04:28 Moi, j'ai toujours beaucoup de tendresse pour les gens qui sont un peu en bas.
04:31 Ah, ben tu vas avoir de la tendresse pour des gens qui sont aussi…
04:34 On a pas mal de chroniques.
04:35 De cas en cas, tu vas avoir beaucoup de tendresse.
04:38 Non, mais…
04:39 Non, non, pas du tout.
04:40 Pas du tout.
04:41 Il n'y a aucun moment où vous avez pensé vous faire une petite étude pour voir si
04:45 ça pouvait un peu abîmer la marque, impacter la marque ?
04:47 Pas du tout.
04:48 Non, puis alors franchement, l'image de Denis…
04:51 C'est marrant parce qu'on a fait le musée Grévin qui, lui, eux ont fait des études.
04:55 Je ne savais pas de popularité avant que quelqu'un rentre dans le musée Grévin.
04:59 Ça, je ne le savais pas.
05:00 Et tous les curseurs étaient ouverts.
05:02 D'accord.
05:03 Mais ça, c'était avant.
05:04 C'était avant le tourbillon.
05:05 Oui, oui, c'était avant le tourbillon.
05:06 Maintenant, je pense que…
05:07 Et puis, il n'y a pas eu d'autres personnes qui ont…
05:11 Enfin, voilà.
05:12 Franchement, je pense qu'il faut le considérer comme deux fois 30 secondes.
05:15 Ça n'a pas été une erreur de le mettre sur un autre jeu de l'aventure qu'il a
05:17 fait sur TF1 ?
05:18 Ah bah oui, ça, c'est une énorme connerie.
05:19 Ça, moi, je te le dis.
05:20 Mais ça, ce n'est pas de la faute d'Alexia.
05:22 Non, ça, ce n'est pas de ma faute.
05:23 Ce n'était pas elle qui produisait.
05:24 Ce n'est pas le mauvais.
05:25 Non, lui, je pense que je l'aurais pu dire, puisque c'est de l'animateur phare d'une
05:29 histoire à LP, je l'aurais pu dire.
05:30 Ah bah moi, j'aurais été patron d'LP.
05:31 J'adore Alexa.
05:32 Je suis gentil que moi.
05:33 J'aurais été patron d'LP, je lui aurais dit « tu dégages, tu dégages, tu fais un
05:36 truc ».
05:37 Alors déjà, c'est fait.
05:38 Alors, déjà, Alexa, c'est…
05:39 Non, c'est bon, c'est pas une question.
05:40 Je ne sais pas.
05:41 Je peux être quelques fois d'accord au fait que je suis un peu gentille.
05:43 C'est vrai.
05:44 Et vous étiez assez désappointé par le programme.
05:46 C'est vrai, c'est ennuyeux quand même.
05:47 Très clairement.
05:48 Et je me suis largement exprimée là-dessus.
05:51 Et moi, je pense que ça a été une connerie même pour TF1 parce que si on avait mis un
05:54 autre animateur, on aurait compris que c'est deux programmes différents.
05:56 Vous avez demandé votre avis ou vous l'imposez ?
05:58 Non, non.
05:59 Et puis Denis, il est salarié TF1.
06:00 Donc, il est aussi dans des obligations.
06:03 On lui dit « voilà, tu vas… ».
06:04 Contre actuel, non.
06:05 Alexia, je te dis la vérité.
06:06 Il aurait dit non, il n'a pas fait.
06:07 Et c'est parce que Alexia, je le dis, c'est un amour.
06:09 Voilà.
06:10 Alexia, elle fait son taf, elle s'en fout, elle avance, elle la connaît par cœur,
06:13 elle s'en fout de ses conneries.
06:14 Mais Alexia, si elle avait vraiment été chiante et si ça a été un mec plus chiant,
06:18 il l'aurait dit, il lui aurait dit « écoute, je t'explique, Koh-Lanta, c'est la marque
06:21 phare, c'est la marque avec laquelle tu t'es fait connaître, c'est ta marque ».
06:25 Denis Brouillard, dans la tête des gens, c'est Koh-Lanta.
06:27 Tu vas aller faire le guignol sur un autre jeu, écoute-moi bien, tu ne vas rien faire
06:31 du tout parce que sinon Koh-Lanta, on va te remplacer.
06:33 Moi, ça aurait été mes termes.
06:35 Après, voilà, chacun fait comme il veut.
06:37 Pour le moment, je n'ai même pas eu besoin de faire ça, le programme s'est mort de
06:39 sa vie.
06:40 Oui, il aurait été bon, il aurait été mort.
06:41 Le risque aurait été…
06:42 Et moi, je te dis, moi, ça va mieux avec Arthur, on s'entend mieux, donc je m'en
06:44 fous en plus, tu vois, que ça soit X ou autre chose.
06:46 C'est même pour eux, pour TF1, je trouve que c'est con parce qu'il aurait fallu
06:49 lancer un autre animateur.
06:50 Ça brûle l'image.
06:51 Je trouve que c'était un peu, tu vois, ça a été… même pour la marque, c'était
06:54 un peu chiant, je pense.
06:55 Voilà, c'est…
06:56 Je le vois.
06:56 [Musique]