• l’année dernière
En Espagne, les initiatives pour redonner une autonomie aux femmes victimes de violences se renforcent. Et la fondation Ana Bella en fait partie.

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Transcription
00:00 -Viens, viens.
00:02 -Lou, viens.
00:04 -Viens, Calelo.
00:06 -Viens.
00:08 -Le plus grand de tous, le plus grand.
00:12 -Celui qui doit donner un exemple.
00:14 -L'agression physique, psychologique, économique, sexuelle, sociale, de tout.
00:22 La psychologique est la pire qu'il y a.
00:24 D'abord parce que tu ne peux pas la démontrer, et deuxièmement parce que pour t'éviter tous ces traumas, ça coûte beaucoup de travail.
00:34 -On va voir pourquoi on va mettre la vente comme une verdure.
00:46 -Il y a 75 000 femmes en Viojent qui ont besoin de protection et il n'y a que des moyens pour mettre des dispositifs pour 3 500.
00:56 Comment ça se peut que si au lieu de femmes anonymes, ce soit des footballeurs de première division, ils mettaient des gens à la rue pour les défendre et les protéger ?
01:06 -C'est la vie.
01:32 -J'ai eu un attaqué d'anxiété quand j'ai levé la chambre.
01:38 Le jour suivant, j'avais un jugement avec son égresseur.
01:42 Ils m'ont fait mal. J'avais une crise de peur, de soudure.
01:48 -Merci à tous.
01:50 (...)
01:56 [Musique]

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