• il y a 2 ans
Le professeur d’histoire, Kévin Bossuet, a parlé de la nouvelle journée de mobilisation : «C’est vrai qu’il y a une unité syndicale qu’on peut qualifier d’historique. Mais quand on regarde concrètement ce qu’il se passe dans la société française, la mobilisation est forte, mais elle n’est pas historique». 

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Transcription
00:00 Il y a une contestation au sein de la société française
00:02 contre cette réforme des retraites.
00:04 Il y a une mobilisation et une unité syndicale
00:08 qu'on peut qualifier d'historique.
00:10 Mais quand on regarde ce qui se passe dans la société française,
00:13 la mobilisation est forte, mais elle n'est pas historique.
00:16 Regardez la mobilisation de mardi dernier.
00:19 On nous avait dit "vous allez voir ce que vous allez voir".
00:22 On était dans la moyenne des manifestations.
00:25 Certains secteurs n'ont pas été touchés.
00:27 Je pense notamment aux ports, aux routiers,
00:30 ou même à la jeunesse.
00:31 M. Boyard avait fait un appel au blocage
00:33 dans les lycées et les universités.
00:35 Mardi, il y a seulement 1 % des lycées de France
00:38 qui ont été bloqués.
00:40 ...
00:44 [SILENCE]

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